si désagréable au quotidien que mignonne à admirer. Passé le moment euphorique où j'étais fier de moi pour avoir réussi à soutirer des faveurs sexuelles de manière aussi vile à ma patronn
toire de cul, non, je ne me vois pas faire ça, et même si ça a été un pied pas possible, je ne peux pas m'empêcher de m'en vouloir d'avoir agi de la sorte. Justement, à ce propos, une pensée me traverse l'esprit : depuis le temps que je bosse ici, tout le monde me connaît. J'ai toujours été quelqu'un de serviable, sympa, disponible et je ne s
sens, non pas que je m'attends à débriefer avec elle sur ce qu'il s'est passé ou bien encore à ce qu'elle m'invite tous les deux jours dans son bureau pour la sauter, mais au moin
la tête, c'est sans doute mieux comme ça après tout. On a passé
éparer, bref, pas le temps de s'ennuyer ni de cogiter, ce qui tombe plutôt bien pour le coup. Dans
te voir dan
de mon écran, l'ai
Moi ? P
elle en haussant les épaules
es à lamelles de ses vitres. Elle est le regard plongé dans son écran et n'a pas l'ai
toq
ntr
e refermée, elle me dit, san
ue chose de p
ous a déjà fait le coup, et après la semaine qu'on a passée, franchement, j
je dois passer la soiré
moi ce soir, rendez-vous à 19h,
e m'a s
sse, inutile de te dire qu'elle n'a pas intér
as ! Bredouillai-je, est-ce qu
écran, me regarde et me
, ta
nge les yeux da
e temps sans rien me dire, elle m
ajoute
dre racine devant ma porte, tu m
ées par sa remar
K, tu le veux
avant
rrache un petit rictus am
le voulait ? Me l
ue je lui apporte
ller se le chercher elle
-je, l'air fausse
her d'être de nouveau excité par ce qui se préparait, même si je ne sais pas du tout à quoi m'attendre. Ma bite se met alors à gonfler dans mon pantalon, ce qui me tire bien vite de mes pensées. Il faut que je me calme, la journée est encore longue, je ne vais pas bande

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