e commotion cérébrale. Personne de la famille ne vint le voir. Sophie était trop occupée par ses œuvres de charité et Manon par

séduisant nommé Léo, souriant tous les trois lors d'une garden-party. La légende disait : « Un après-midi parf

ne fois dans sa chambre, qui ressemblait plus à une chambre d'amis qu'à celle du maître de maison, il commença à rassembler ses maigres affaires pers

qu'on ait frappé. Manon se tenai

« Arrête de traîner. Maman veut que tu ailles dans le bureau de pap

ontinuant de plier un pul

toute l'organisation. Je veux le meilleur traiteur, un groupe de musique live et un feu d'artifice.

iser la fête de sa tortionnaire. C'était la dernière insulte. Il acquiesça pour lui-même, un sourire sans joie aux lèvres. Très bie

sans un mot, contactant les prestataires, supervisant les installatio

té pour l'occasion, lacéré en plusieurs endroits, comme si quelqu'un s'était acharné dessus avec des ciseaux. Il n'eut au

faussement. « On dirait que t

une homme des photos, apparut. I

en lui tendant un costume suspendu à un cintre. « Celui-c

remerciant Léo d'un signe de tête. Dans les yeux du jeune homme, il crut déceler une lueur de

trange se fit parmi les invités les plus proches de la famille. Tous les regards se tournèrent vers lui, des regards remplis de

nu. Et un merci spécial à mon beau-père, Damien. » Elle marqua une pause, le fixant. « Merci d'avoi

s. C'était un piège. Il se tenait là, au milieu de la foule, habillé comme le fantôme de l'homme qu'il avai