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Historique

Chapitre 4

Nombre de mots : 952    |    Mis à jour : 30/09/2025

vue d'Ami

ns pas du trajet, seulement de la sensation de mon cœur essayant de s'échapper de ma poitrine. J'ai

d'une blancheur cadavérique, sa

mes mains planant au-dessus d'elle, terrifiée de la toucher, de lui faire plus de ma

eur. « C'est l'heure de pointe, c'

a mère n'avait pa

attirés par l'agitation. « Que s'est-il passé ? » ai-je

utre femme était là », a-t-elle dit à voix basse. « La femme chic. Elle criai

devenue roug

de l'ascenseur. Elle était vêtue d'un peignoir en soie moulant et inapproprié

i. « Quel terrible dommage. Elle semblait si agitée quand elle m'a vue sortir de l

ejetait la faute de l'effondrement

ement dehors. Il a couru dans l'immeuble, le visage

s, m'accrochant à lui comme à mon dernier espoir. « On

C'était horrible. Je crois que quelqu'un essayait de s'introduire dans mon appartement. J'ai eu si peur. » Elle

allongée sur le sol. J'ai vu le calcul dans ses yeux, l

e supplié, ma voix se brisant.

nt secoué ma main de son bras. « Pour l'amour de Dieu, Amira, tu ne vois pas qu

, et a passé un bras réconfortant autour des épau

se a regardé par-dessus son épaule. Elle a croisé mon regar

a plus cruelle que

nt dans le couloir. J'ai supplié. J'ai imploré les voisins, quiconque voulait bien m'écouter. Finalement

s à l'hôpital, mais

ésolé, Mademoiselle Dubois. Nous avons fait tout notre possible.

minu

ginaire de Françoise plutôt que les dix minu

n rugissement sourd dans mes oreilles. Je ne pouvais plus respirer. Je les ai regardés e

s traçaient des chemins sur mon visage. Je ne ressentais pas de chagrin. Je ne ressentais pas d

branché pour moi, s'est allumé avec un SMS. Il provenait d'un num

supporté la concurrence. Ne t'inquiète pas,

i rauque, guttural, de pure agonie et de rage. J'ai projeté le téléphone contr

ffondrée sur le sol, le vide en moi cédant finalement la

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