e de Joséph

boiseries d'un vieil hôtel du centre-ville. Ce soir-là, l'appartement semblait

le salon, nettoyant et pansant méticuleusement la petite éraflure sur mon genou, là où je m'étais agenouillée dans

t recroquevillé sur le rebord de la fenêtre, serrant ses genoux contre sa poitrine, et a reg

et l'ai drapée autour de lui. « T

es. « Est-ce qu'ils vont t'emmener loin de moi ? » a-t-il murmuré, l

r une légèreté dans ma voix que je ne ressentais p

« Tu es bonne. Et cet homme... on aurait dit que le monde lui ap

e suis pas quelque chose que les gens comme ça

que tu arrives, Papa et moi... on était juste deux personnes silencieuses dans une maison silencieuse. C'était bien. Mais ensuite tu

Ce garçon, Iggy... et son père... ce ne sont pas de bonnes personnes. Ce son

erdict d'Hadrien. J'étais une erreur, une honte, une tache sur sa vie

acier, Joséphine », m'avait-il dit une fois, traçant la ligne de mon dos. « Et un cœur aussi tendre q

yait aussi. Il voyait au-delà des vêtements usés et de

toujours pensé qu'il était juste timide, mais maintenant je voyais ce que c'était : un esprit brillant, qui observait, écoutait, compre

e. « Tu feras de grandes choses un jour, Léo

omis. « Je trouverai un bon travail et je gagnerai beaucoup d'argent, et je t'a

ai pas besoin d'une grande maison. J'ai juste besoin que tu g

s. Il a essuyé son nez sur sa manche. « D'accord. Mais tu dois

, ai-je murmuré, le

t doigt. « Promess

igt au sien. « Prome

e tendre étreinte. À cet instant, en tenant mon fils – mon fils de cœur – j'ai senti une vérité profonde s'instal