en T
, Afriqu
la chaleur étouffante. Un vent frais souffle à travers les arbres, fouettant ma peau. Un peu plus et
ce d’avoir emprisonné cette clope achetée au marché aux puces. J’ai une envie pressante de fumer ! Une envie que je n’ai pas ressentie depuis des lustres. Se débarrasser d’une addiction n’est pas facile. Pourtant, je peux me ta
ogramme qui ne correspondait pas à l’idée que je me faisais de ma journée parfaite : dormir jusqu’au coucher du soleil avant de m’abandonner aux plaisirs de la ville. Je n’avais certainement pas en tête, qu’une soi
t noire, mais ils n’y arrivent jamais. C’est indéniablement le moment où les vices se révèlent le plus. D’une gorgée d’alcool, on tombe dans le coma éthyl
cul, de quoi me rendre dingue ! J’ai besoin de flirter avec le danger, c’est mon addiction. Et quand je regarde ce satané genou qui me vaut cette longue période loin de l’action, j
ntre mecs est supposée m’aider à me déconnecter, mais jusqu
r une autre. Une technique imparable pour s’en sortir. J’aurais bien voulu m’enfoncer dans cette pénombre, afin de découvrir ce que valent les nuits dangereuses dans cette ville. Cependant, je n’ai pas envie de faire le con dans un pays qui n’est pas le mien. Je n’essayerai
e. Je ne suis toujours pas résolu à laisser filer ma solution back-up en cas de force majeure. Qui s
d soir ? hurle Ross
is contre un minou depuis notre arrivée dans ce pays. Je n’ai pas encore digéré les quatre heures de marche qu’ils m’ont infligées,
où mon pied a foulé le sol
riblement absent chez moi. Ils emballent les nanas en un temps record, car ils manient les mots avec dextérité. Très peu pour moi, je ne suis pas loquace. De plus, draguer est un supplice. Je n’ai pas envie d’emballer une fille avec des formules à dormir debout. Je n’ai rien en stock de toute façon, comme ça, c’est réglé de ce côté-là ! Mais ça ne m’empêche pas de mettre des filles dans mon lit. Elles doivent être attirées par mon profil un peu mystérieux et cherchent à
s-nous ? q
de nuit prisée dans le coin, dit Ross. On pourrait commencer
une. Mais je vous préviens, je vous abandonne sur les l
xeront de limites ce soir. Mais ils me connaissent assez pour percevoir le sé
ssible de faire un pas sans que quelqu’un ne me marche sur les pieds ou renverse son verre s
est pas comme si j’avais le choix, non plus. Mes amis roucoulent déjà dans les bras de deux minettes qui n’ont pas hésité à leur tomber dans
t une montée fulgurante. Je porte le briquet à mes lèvres et protège mon bijou le plus précieux du vent qui souffle. Alors que la flamme allait embraser le bout de la cigarette pour délivrer mon être de ce supp
sine immédiateme
! dis-je d’une voix sonore sans lever les yeux sur
épond une vo
rop grosse, ni trop chétive. Des formes bien marquées qui ne sont en rien dissimulées par cette mini-jupe. Elle laisserait apparaître son dessous au moindre mouvement. Elle ne porte pas de T-shirt, du moins j
and quelqu’un vient perturber ma tranquillité d’esprit. Je fais quelques pas de plus vers elle afin d’annuler les quelques mètres qui no
xige à quelques mill
e mouche orgueilleuse devant la Majesté d’un lion. Et comme si son air hautain ne suffisait pas, elle esquisse un souri
s ! répété-je en me rap
nçant au passage. L’homme qui me donnera des ordres