plus de route
Elle s'était tue, des siècles auparavant, lors de la grande Chute du Chant. On disait qu'elle était tombée sans bruit, engloutie non par le f
r soubresauts, par éclats. Une cadence irrégulière, désa
a fracture s'était déplacée : elle n'était plus sous leurs pas. Elle était en eux. Et c
emière à ressen
légèrement. Non pas comme un Chant audible. Plutôt comme une mémoire réveillée. Un b
ici, d
onça les
e vois
pas voir. Tu
oirs, du lichen figé dans des postures trop régulières pour être naturelles. Et pourtant, à chaque pas, la
ancela
n. Des femmes voilées. Et au centre, un feu.
vision s
le rat
s vu A
qu'il
s du terrain, les vides entre les arbres. C'était une architecture dissimulée. Une cité intégrée au silence. Il avait lu des réc
t encore, murmura-
rent un seu
ut ch
es battements de leurs cœurs se synchro
es silhouette
. Comme formées de
a re
t les Ré
Fragment puls
hantent s
s'age
gardiennes. Ce sont
ilhouettes
n translucide sur
ut ch
it A
va
nta
l'air, tissant la mémoire des peuples disparus. Il vit des femmes et des hommes, des enfants aussi, tous
vision s
devin
nt se
larn
iora sanglotait en silen
rn brisée par le Reflet. Une silhouette noire, aux yeux blancs,
ra les
lieu. C'est une fract
mura à la
vons-nou
e parl
brume se
porte a
e dans
ve
chirent
dans la spi
evaient. Parfois riantes. Parfois hurlantes. Des bribes de chan
ndirent.
ndre la Salle
s sur toutes les parois. Au
évélait une vers
ortant une torche da
olitaire, chantant seul
ersé. Mais c'était
ne vi
l'obsc
re de la sall
ragm
ti
u
pen
approc
eut pas de voix. Pas de
nt... u
endit
iora l
st pas l
urqu
. c'est une clé
approcha
clé ouvre
rent pas l
s l'éco
pirale d'Aelarn, portait déso
onance
certi
cture ne serait
erait