: La nuit d
T DE VU
digne d'un palace, mais mon âme hurlait dans une cage invisible. Je sentais encore l'
sa nuit de noces. J'étais une proie, et je
e me sui
La poignée en argent brillait sous la lumière tamisée. Mon cœur tambo
a porte ne grince pas. Mais dè
ic.
s dans ce silence absolu, il m'a s
ÉE. Une second
e voix. Pas de menaces. Juste le silence
ils touchaient à peine le sol de marbre glacé. Mes yeux fo
e irréelle. Les murs étaient couverts de tableaux anciens, de visages figés, témoins silencieux de c
tir d'ici.
e pensée me se
rais
enlevée, j'avais
e pas dans que
e. Chaque porte était peut-être verrouillée. Et les gardes... oh, je les avais vus, tous ces ho
t ça, ou attendre que demain vienne
l pendait du plafond comme un soleil maudit. Deux hommes en costume noir étaient en bas, parlant à voix
t une autre direction. Un au
tait rapide, incontrôlable. Pourtant
déclaration de guerre. Et moi, je n'avais pas d'armée. J'étais seule. Une fille d
spirerais, je che
e que je trouvais...
a poussée à tourner à ga
mbre, avec des gravures anciennes. Rien de spécial... s
émiss
ini
nds. Presque
Des soupirs "ahhhh !! Ouhhh" . Des râles. Des chuchotements obscènes. Le bruit d
vas-y baise-moi plus fort ohh.
eiller tout le manoir ? » a
restée
follement. Mes
reculée, ch
-ce que c'est lui... qui est en t
ntie glacée d
. Je n'avais jamais connu d'hom
de plaisir. Comment pouvait-on crier ain
n'était pas mon problème.
us ?! Va-t'en ! » me suis-je c
'éloigner quand deux voix d'h
! Qui e
. Grands. En costume noir. Br
! Arrête
sur le sol en marbre. Mon souffle s
.. c-c-cherchai
s ici ?! Cette aile est
une phrase. Mon cœur battait si
s s'est tourné
t qui ce
é les yeux, puis so
ouvelle. La fe
rrière moi s'est o
eur, une serviette autour du cou. Ses cheveux étaien
'est que ce bordel
no. Je n'avais jamais vu cet homme. Ses yeux sont venus se po
e sont redre
ur Raffaele. On a trouvé cette
sourire en coin. Il s'est approché, dou
petite ? Tu veux voir ce que c'e
nstinctivement, pris
ait. J'étais paralysée. Les mains moites.
garde à ses côtés. Il s
levé les ma
ffe à elle... La femme du patron n'a pas le
térieur en ricanant, p
terrifiée. Mes yeux piquaient
mbre. Immédiatement. » a
ait un poids de plus sur mes épaules. Mon corps n'était