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Historique

Chapitre 3 3

Nombre de mots : 1133    |    Mis à jour : 09/09/2025

anne la stoppa net d'un doigt menaçant. Ses yeux étaient deux brasiers de rage c

a va ? » osa m

'échappa de la

je vais bien

dans les aig

et ma sœur se tenaient main dans la main sur MON po

er quoi que ce soit, quand leurs parents desc

in de son mari, mai

t », souff

e cligna

le dire ? Le jour J ? » la

endit pas

s regardé Jonah me trahir avec Ra

t de sa bouche comme

se red

me, mais elle aime aussi Jonah. Elle n'a p

PAS D'AMOUR !

fort qu'un cadre phot

! Le mien et celui de Jonah, p

ntervenir, les

s ressemblez. On peut échanger vos prén

jouta a

est enceinte. Veux-tu que t

t la compassion dan

trouvèrent, c'éta

le ? » murmura Roxanne, le

s un cri

ANCÉ, VOUS LE SAVIEZ, ET C'EST

ge dans le silence accablé. Elle fit qu

é à moi. Vous m'ave

s'ouvrit

a en

le

regard prêt à tuer. Elle aurait voulu lui arra

ez tous d

n, jaillirent. Brûl

à me marier. Maintenant, je suis une fe

avança d

.. on ne voulait pas te blesser.

IS-T

rire, un rire froi

amais vous revoir.

ota vers

ôté de Rayla,

asser. Tu m'as tout pris. Mais

le so

ant de calmer un nourrisson en pleurs. Tant mieux. Ces cris étouffaient ceux de son propre cœur. Elle

la monnaie. Traversant les portes vitrées, elle ignora les visages, les bonjours, les r

a dessinait des rivières noires sur ses joues. Elle avait quarante-cinq minutes de retard. T

irant profondément, espérant que la journée lui offrirait une raison de

'étaient les seuls mots capables de contenir le chaos émotionn

rait, pieds nus, dans un couloir sans fin, poursuivie par des voix d'hommes ricanants. Son téléphone vibrait contre sa table de chevet. Elle l'attrapa à moitié réveillée : un message. « Conseil d'administration à 8h00. Ne sois pas en reta

rire crispé pour l'agent de sécurité, un hochement de tête pour la réceptionniste, et une course folle jusqu'aux toilettes du 20e étage.

sponible, ses jambes fléchissant sous son propre poids. Chaque inspiration était un supplice, chaque expiration une lutte contre la panique q

elle comme la bouche d'un mon

t traversa le hall vide, ses talons claquant sur le sol comme des coups de glas. La porte de

n levé, son masque de façade bien fixé sur le visage. Les têtes se tournèrent d'un seul bloc. Des regards cr

nt, ses yeux comme

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