img Effacé par ses mensonges et son amour  /  Chapitre 2 | 11.76%
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Historique

Chapitre 2

Nombre de mots : 1205    |    Mis à jour : 29/09/2025

ue d'Ariel

légère et enjouée, empreinte de la satisfacti

tu avais signé. Je savais que tu

. On aurait dit que je venais d'accepter de changer de fou

-t-il dit, sa voix débordant d'excitation. « Notre endroit. P

de réponse. Il ne

e scintillant en contrebas comme un tapis d'étoiles tombées. C'est ici qu'il m'avait annoncé pour la première fois que sa sociét

de l'introduction en bourse, des capitalisations boursières et des stock-options, de la couverture de Challenges qu'il devait fa

», ai-je dit, ma voix étonnamment stable. «

tre le mien. « À nous, Arielle. Nous

ité dans mon toast. Il n'a p

ant un goût de cendre dans ma bouche. Pour moi, Ari

oi », a-t-il dit, d'un ton magnanime. « Un petit merci. Dix pour cent de mes actions personnelles. Une fois que nous

r tout entier, distillés en un portef

je l'ai ravalé. J'ai juste hoché la tê

aire. Il y a jeté un coup d'œil, un léger

hose d'urgent à propos des documents pour l'AMF. » Il s'est levé, enfilant déjà sa veste.

ciel et distrait. Puis il est parti, me laissant seule avec le

a table et je me suis dirigée vers les ascenseurs. Alors que les portes s'o

ner avec elle ce soir, de tous les soirs ? » La voix d

e bas et apaisant. « Elle a signé les papiers. Je devais lui donner le transfert

se cacher. Ça fait trois ans, Dam. J'en

is

ois ans de ses mensonges, de ses assurances, de s

plateau se trouvait une assiette de coquilles Saint-Jacques poêlées avec un risotto au safran – exactement le m

s deux. Je ne valais même pas l'effort d'un choi

titubant, ma main cherchant le mur pour me stabiliser. Mes doigt

de a b

en marbre. Un éclat de verre, aussi tranchant qu'un rasoir, a traversé la paume de ma main. Du

a ? » ai-je enten

isages illuminés par l'éclairage tamisé. Les yeux de Damien se

amien a refait surface. Panique. Inquiétude. Il a fait u

e regard vif et interrogate

lace. Ses yeux ont balayé ma simple robe rouge, mon visage choqué,

, remplacée par un masque froid et terrifiant d'indifférence. Il a regardé

la connais pas », a-t-il dit, sa voix plate et dédaigneuse. « Juste

a conna

e ma vie, dix ans d'amour et de sacrifice, effacés en une seule phrase brutale. Il m'a

une ét

ore au loin, son bras solidement autour de sa taille, l

douleur dans ma main un battement sourd et lointain comparé à

-

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