n aperçoive. Elle tenta de se dégager, mais l'homme la maintint fermement. Son souffle chaud sentait
m ? » demanda-t-il en enfouissa
a tuer à tout instant. Mais sa tête tournait, comme si ses forces l'abandonnaient. Ses membres
ngue épaissie l'e
onnière de ses bras. Sa voix grave vibrait comme un grondement. De son doigt, il
ndre, mais ses pe
a-t-elle, peinant à g
s, un nez droit et marqué, un visage qu'éclairait à peine la lueur vacillante des
a-t-elle, la gorge sèche, le corp
'importance », répond
Ce n'était pas un baiser furtif ni doux. Eltanin em
qu'il l'embrassait, ses mains s'étaient crispées sur ses épaules, à travers le tissu de sa chemise. Elle sentit une pointe d
le. Ses lèvres gonflées brillaient encore. Sa chevelure sombre glissa sur son front, et so
ient de plus en plus. Si elle ne trouvait pas une échappatoire, elle finirait par être entraînée dans quelque chose de fatal. Tout so
», souffla-t-elle en se pr
e sens trop bien », répond
, et Eltanin éclata d'un rire grave, qui vibrait contr
lâche-moi. Je me sens
enfouissant le visage dans ses cheveux, respiran
-t-elle, tentant de garder contenanc
aiment toujours jouer », dit-il en e
espionne », souffla-t
s se pincèrent, elle détourna la tête, le suppliant silencieusement de ne pas
as-tu ? » d
baissant ensuite les yeux vers
r ma beauté ? » lan
versé ce mélange dans le vin. Il s'en rendait compte trop tard, après l'avoir av
ressait contre elle. D'un geste h
est ? » demanda-t-
e douleur sourde dans le bas-ventre
etra. Elle te remettra au roi », le menaça-t-elle dou
uverte de fine poussière dorée. Elle était à coup sûr nouv
e que je fais en ce moment, il me ga
is donc ? » s
de lui », affirma
le vertige. Elle pensa qu'il n'y avait aucune
ais sûrement le
de sa poitrine. La jalousi
mentit-il. « Pourquoi tu dema
nement pas ! »
isage. Il reprit sa caresse con
uffla-t-il. Rigel n'exis
qu'un d'autre », lâcha-t-elle avec colère. Elle tenta de le repousser
sonne. Mais toi... es-tu sous mon c
ourdis par le poison qui circulait dans ses
», souffla-t-elle da
il, serrant sa taille en approchant ses l
t. Son corps s'abandonna, et il resta là, le visage enfoui dans ses cheveux
a gorge était sèche, ses gémissements lui déchiraient les cordes vocales. Elle tenta de bouger, sans succès. Son co
clairait faiblement la chambre. Elle souffla bruyamment, cherchant à rassembler ses souveni
la démasquait, elle finirait exécutée. Comment
derrière elle. Un homme. Ses bras l'ento
'était pourtant le cas : une senteur de mer et de sel l'enveloppait, et la chaleur de ce corps derrière elle s'alourdissait dans le sommeil. Les battements réguliers de son cœur vibraient comme une berceuse contre son dos. Elle lutta pour ne pas se laisser happer par
d'elle-même. Chaque geste d'homme avait rimé avec douleur, sang et humiliation. Ce souvenir lui arracha un frisson. Elle tenta de ne pas comparer, se répétant que tous n'étaient pas semblab
nce naturelle qui se dégageait même de son sommeil. Ses traits parfaits inspiraient autant le respect que l'autorité, comme si, endormi, il restait maître de la pièce. De longues mèches bleu sombre tombaient sur son front et descendaient jusqu'à la courb
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