ue de Kian
de la nuit. Les blessures existantes de Greg étaient clairement exacerbées. Son visage était tiré, un masque pâle sur ses cheveux sombres, mai
dans le calme du soir. « Traîner Greg dans un endroit aussi dangereux ! Tu as vu à quel point il souffrait. Il
nd elle était arrivée, une fille timide et tremblante, j'avais sincèrement compati. Je lui avais offert ma chambre, mes vêtements, mon temps. Je me souvenais lui avoir acheté des livres, essaya
é progressive, je le réalisais maintenant, en la regardant. Lentement, subtilement, elle était devenue plus audacieuse, plus exigeante. Chaque fois que je l'avais comblée, pens
x plate, dénuée de toute cha
un choc authentique. Personne, et surtout pas moi, ne lui avait jamais parlé comme ça
devant elle. Un petit changement de posture protecteur. Mon cœur, déjà
rné les talons et je suis entrée dans ma chambre, fermant la po
s les néons, un contraste saisissant avec son costume sombre. Son bras gauche était étroite
primandée. Elle comprend que ses actions d'hier étaient inappropriées et ont
pas demandé ce que « réprimandée » signifiait. Je savais que ce serait une t
ère pointe de défense dans son ton. « Et je me suis assuré qu'elle ne perturbera pas votr
nger et t'avoir manipulé dans une situation potentiellement fatale ? » Ma voix était calme, mais ell
peccable, évitant mon regard. Un soupçon de honte,
due lentement, une main sur la rampe, l'autre pressée sur son front. « Oh, Greg, j'ai si mal à la tête », a-t-elle gémi, sa voix faible et haletante. « Je cro
hors du lit ? Tu devrais te reposer. » Sa voix était empreinte d'inquiétude, un contraste saisissant avec le t
lui, sa marionnette consentante. Mon cœur s'est tordu, non de douleur, mais d'une profon
nt à manger à Daria un bol de flocons d'avoine, la tête baissée, murmurant de douces paroles de réconfort. Elle lui a souri, un sourire authentique et
hommes. Si facilement dupés par un joli visage fragile. Si f

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