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Historique

Chapitre 2

Nombre de mots : 1362    |    Mis à jour : 26/12/2025

e vue d

egardais. Le choc initial sur son visage laissa place

? » demanda-t-il, la voix tendue, un

ie a appelé », dis-je, ma voix étonnamment stable. « El

dans ma main. La brochure de la clinique de fertilité. Il pensait p

pas vers moi, sa main tendue. « Juste un désacc

Il vibra de nouveau, un tremblement silencieux dans sa poche. C

pupilles. Tout n'était qu'une performance, un éch

l'inquiétude. « Tu devrais peut-être y al

derrière ses yeux. L'appel de Béatrice contr

voix toujours empreinte d'une faus

une pression subtile dans mon

l disparut, une silhouette floue de costume cher et d'urgence frénét

portais se brisa. Une vague de nausée me submergea, l

loir. Le bureau privé de Bastien. Le seul endroit de cette mais

cation. Je marchai vers elle, mes pas

pas verrouillée

acajou, une photographie encadrée trônait en bonne place. C'était Béatrice, ses cheveux en bataille, ses yeux pét

ndis la main, mes doigts effleurant

quet

ent encastré. À l'intérieur, soigneusement empilées, s

ne confirmation glaçante. Noir et blanc, sépia, cou

pagne. La date estampillée dans le coin me traversa d'un choc froid

ait dit qu'il avait un voyage d'affaires urgent, regrettant de ne pouvoir être là. Il avait mêm

ourire aux lèvres. En dessous, une note manuscrite de l'écriture familière de Bast

hémorragie interne due à mes traitements de fertilité sans fin. Bastien avait été injoignable pendant des heures,

vec elle, la faisant toujours passer en premier. Ce n'étaient pas de simples pho

'avait pas seulement trahie ; il m'avait systématiquement effa

rippant les photos. Je dev

ées. « Bonjour, Docteur Evans ? Je vous appelle au sujet du transfert de Félix. J'aime

nformations que tu peux trouver sur Béatrice de Courcy, sur les dix dernières années. Concentre-toi sur les transactions financières, les communications, et tout incident l

e hall sonna minuit. La voitur

me hâtai vers notre chambre, me glissant sous les couvertures, feignant de dormir. M

sser alors qu'il se déshabillait, puis le frôlement de sa

rré dans ma main sous les couvertures, glissa, son écran s'illuminant avec le de

était basse, méfiante. « Qu'est-ce

rde juste mes e-mails », marmonnai-je, retirant vivement le

t-il, sa main planant toujours au-dessus de

ible. Je secouai légèrement la tête. « Non, c'es

on, rapidement masquée. « Tu étais au domaine aujourd'hui, n'est-ce pas ? »

soigneusement neutre. « Oui. Je... je me sentais un peu

inquiétude fabriquée. « Tu es rentré ta

eux. « C'est compliqué. Elle est... délica

ans ma voix. « Elle l'a toujours été. Peut-être... que

illant d'incrédulité. Il me dévisag

ec une pointe d'acier cachée en dessous. « Elle fait partie de la famille, a

cheveux. « Élodie », murmura-t-il, la voix épaisse d'émotion. « Tu

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