Mon pathétique histoire d'amour. Suivez mon récit.
Mon pathétique histoire d'amour. Suivez mon récit.
Chap 1: Mon monde
Moi : (déposant mon sac) tu fais quoi couchée à cette heure de la journée ? Tu es censée être au cours.
Amou (ma sœur) : mouais, mais maman ne voulait pas participer à la réunion avec le directeur du coup, je ne veux pas y aller me faire expatrier.
Moi : krkrkrkr toi la fille d'ADJA, tu ne veux pas laisser la dame en paix juste en 3 mois ça fait ton 5e affront avec les profs, tu ne peux pas faire profil bas une fois ?
Amou : mais de faire quoi ? Moi, je ne suis pas comme toi, toujours là à ruminer dans ton cœur, c'est comme ça que tu es partie t'acheter une maladie des gosses de riche nous ne savons même pas comment te soigner.
Moi : et ça recommence ! (prenant mes écouteurs) Je préfère sortir avant que ça ne devienne un discours de grande prêtresse.
Amou : ouais, c'est ça, fuis comme d'habitude.
Je suis Nahia ADJA, une ado de 16 ans, je suis en 1re A cette année, je prépare mon Baccalauréat 1re partie. J'ai une sœur Amouchka mon ainée, en année de licence management et gestion des entreprises, et comme vous l'avez déjà constaté elle a le sang chaud tout comme son géniteur, Monsieur Nayo ADJA. J'ai toujours détesté avoir pris le caractère laxiste de maman, Mme Shaïa TRAORE épouse ADJA, je voudrais bien être rebelle parfois, mais je n'ai juste pas le courage de blesser mon entourage pourtant, ils me le font bien dur.
Nous sommes une famille musulmane modeste, nous ne sommes que 2 filles, et même si maman voudrait avoir un garçon, papa n'a pas ce temps (trop occupé avec ses princesses comme il le dit souvent). Nous ne vivons pas dans le grand luxe, mon père Directeur Adjoint de la société de transport KOK (KEBIR OUL KARIM) et maman a son propre magasin de pagnes. Ils font de leur mieux pour que ma sœur et moi ne manquions jamais de rien.
Moi : hooo la fille de DIA (ma voisine et confidente) tu es où ? Mouri ! Mouri ! Tu te caches où ?
Mouriath DIA, ma pupuce depuis nos couches (rire), nos parents ont toujours été voisins et nous sommes nées à un mois de différence, bien sûr je suis la plus grande ! Cadette d'une fratrie de 2 filles et 3 garçons. Je l'ai toujours envié parce que l'idéal pour moi est d'avoir un frère. Je trouve que frère et sœur ça forme le duo d'enfer ! lol
Nous sommes complices depuis nos berceaux, c'est la petite sœur que j'aurai pu avoir et je remercie à chaque fois le ciel pour sa présence dans ma vie. Je peux compter sur elle et elle aussi sur moi.
Mouri : Y'a quoi mon ange ? J'imagine qu'Amou est dans les parages vu ta mine.
Moi : tu parles ! Elle s'est encore embrouillée avec un prof, il en a après elle pour le coup de la dernière fois.
(pour la petite histoire, la grande Amou et ses formes rendent fous les hommes de son école, contrairement à moi qui aie pris la forme squelettique de papa, elle a plutôt opté pour les rondeurs de maman, ce qui ne lui rend pas toujours la vie facile krkrkrkr)
Mouri : ah ça ! Elle n'y est pas allée de mains mortes cette fois, elle aussi ! Comment peut-elle embarquer Fao (sa grande sœur) à un rendez-vous ? C'est le suicide, le monsieur a vu son compte en banque en péril, juste l'entrée faisait 100.000 et c'est rien que des feuilles.
Moi : hahaha quand c'est ainsi elles ne pensent même pas à nous embarquer, mais lorsqu'il s'agit de faire leurs lessives, elles savent jouer aux grandes. Non mais cette fois, il ne l'a pas raté, il l'a carrément traité de pute devant ses camarades et tu connais la fille de son père, comme d'habitude.
Nous 2 ensemble : congés pressés !!!! Et c'est partie pour le fou rire....
Mouri (se calmant) : dit moi comment ça avance le dossier Bil ?
Moi : pfff quel Bil ?
Mouri : ne m'énerve pas ! Tous les jours, tu me casses ici les tympans avec ton amour secret.
Moi : laisse ça comme ça, tu sais toi-même que jamais j'aurai le courage de faire ce que tu me demandes, humm humm compte pas sur moi, mgbé (je refuse en éwé). Tiens j'ai même rédigé un texto hier nuit tellement j'étais inspirée.
Mouri : yoaaa Nahia, mais c'est quoi, tu me fais là ? Ça te coûte quoi de l'affronter une bonne fois pour toute ? S'il t'envoie balader, c'est que lui-même ne sait pas ce qu'il rate. Notre African queen du quartier, tu as vu comment Van te reluque à chaque fois qu'on passe devant lui ?
Moi : laisse les choses d'Ivanovich et puis c'est où ils sont partis trouver ce nom de Russe même ? Ou bien, la maman a fait dans les poutines en son temps ?
Mouri : lol Naho tu as commencé ? Laisse l'enfant des gens tranquille. Bof n'essaye pas d'esquiver le sujet, je refuse de te voir souffrir chaque fois d'un amour à sens unique. Tu le croises tous les jours, c'est le frère à Kamo (amie de ma sœur) si tu ne peux pas lui dire, dit à Amou de te faire le plan !
Moi : non mais tu es folle ! Je ne peux simplement pas et puis oublie Amou, elle est occupée à faire la belle avec Saïd (son gars). Je ne veux pas me briser le cœur, pour le moment, l'examen me préoccupe plus c'est dans 3 mois(soupire.)
Mouri : et ça fait quoi ? Au moins tu aurais essayé, il n'a plus de petite amie, c'était ça ton prétexte depuis un an ! Naho comment tu peux aimer un homme en silence depuis 2 ans et tu ne fais rien pour que ça change ? Il n'a pas des cornes voyons, tu n'es pas repoussante non plus et puis si j'étais un homme y a longtemps, je t'ai marié moi.
Moi : c'est ça ! Qui t'a dit que je voudrais d'un homme obstiné comme toi, toujours là à me casser les pieds tsssrrr
Mouri : c'est parce que je t'aime et je veux ton bien ma chérie, si mes frères n'étaient pas si jeunes, tu crois que je t'aurai laissé pour un quelconque Bilal SOLLOU ? Tu restes dans ma famille piam !
Moi : je te dis bae ! Tu me vois Abdel, le petit me casse trop !
Mouri : ekieee ne me pervertis pas l'enfant, il n'a que 5 ans, suggar mamy va
Moi : krkrkrkr........
C'est l'histoire de ma vie, je suis la fille typique qui n'a jamais eu de chance en amour, celle-là qui se donne toujours corps et âme pour satisfaire les autres, mais ne reçoit toujours que le désespoir et la trahison en retour. C'est moi Nahia ADJA dans « My pathetic love story ».
Dans la vie il y a ce qui est et ce qui devrait être, il y a la forme et le fond. On est la rose mais elle porte des épines, peut-être plus pointues ou moins pointues mais elle en porte quand même. Quand la pauvreté, la cupidité, le meurtre et la vengeance se croisent on vit un enfer luxieux où le sang est source de breuvage. Mais n'oubliez pas: il y a toujours la justice et l'injustice. Une oeuvre écrite par Plume légère
Il n'est personne à qui l'amour n'offusque la raison, et l'homme le plus sensé, et l'homme le plus faible d'esprit, sont également exposés à ce malheur. Cette histoire pleine de déraison, que l'on a mis du temps à construire, qui nous a surpris à un instant T de notre vie, ou qui a su nous faire chavirer à nouveau, nous redonner l'espoir, le goût, l'envie. Cet autre, qui a su se faire cette place que l'on ne voulait plus accorder, qui s'est faufilé imperceptiblement au fin fond de notre âme, en pleine conscience le disait-on, ou bien le pensait-on. Aimer à en perdre sa fierté, sa dignité, sa raison. Que sommes-nous prêts à supporter au nom de cette histoire ? Pour cet autre ? En amour, faut-il écouter le cœur ou la raison ? Du Bénin au Burkina Faso passant par le Gabon pour échouer au Togo, jusqu'où iront- ils pour préserver leur Amour, leur raison de vivre??
Noelle était la fille perdue depuis longtemps que tout le monde avait recherchée, mais à son retour, sa famille l'a rejetée et a préféré choyer sa remplaçante. Lassée d'être méprisée, elle est partie et a épousé un homme dont l'influence pouvait bouleverser le pays. Danseuse de génie, championne de course automobile, compositrice talentueuse, restauratrice hors pair... Chaque de ses triomphes secrets faisait la une des journaux, et les sourires arrogants de sa famille se fissuraient. Son père est revenu précipitamment de l'étranger, sa mère pleurait pour un câlin, et ses cinq frères se sont agenouillés sous la pluie pour la supplier. Sous le ciel étoilé, son mari l'a serrée contre lui, sa voix veloutée lui murmurant une promesse. « Ils n'en valent pas la peine. Allez, rentrons à la maison. »
Le jour de leur anniversaire de mariage, la maîtresse de Joshua a drogué Alicia qui s'est retrouvée dans le lit d'un inconnu. Du jour au lendemain, Alicia a perdu sa virginité et la maîtresse de Joshua est tombée enceinte de lui. Le cœur brisé et humilié, Alicia a demandé le divorce, mais Joshua ne l'a pas pris au sérieux. Lorsqu'ils ont fini par se séparer, Alicia est devenue une artiste célèbre, recherchée et admirée de tous. Joshua, pris de remords, est arrivé sur le pas de sa porte dans l'espoir de se réconcilier avec elle, mais il l'a trouvée dans les bras d'un puissant magnat, son frère, qui lui a dit : « C'est ma femme. »
Elena, ancienne héritière choyée, a soudain tout perdu lorsque la vraie héritière l'a piégée, que son fiancé l'a ridiculisée et que ses parents adoptifs l'ont jetée dehors. Tous voulaient la voir tomber. Mais Elena a dévoilé sa véritable identité : l'héritière d'une fortune colossale, une hackeuse célèbre, une créatrice de bijoux de premier plan, une auteure secrète et un médecin doué. Effrayés par son retour en force, ses parents adoptifs lui ont réclamé la moitié de sa nouvelle fortune. Elena a dénoncé leur cruauté et a refusé. Son ex l'a suppliée de lui donner une autre chance, mais elle s'est moquée : « Tu crois que tu le mérites ? » C'est alors qu'un puissant magnat lui propose gentiment : « Tu veux m'épouser ? »
Les rumeurs disent que Lucas a épousé une femme sans attrait et sans passé. Pendant les trois années de leur vie commune, il est resté froid et distant avec Belinda, qui l'a supportée en silence. Son amour pour lui l'a obligée à sacrifier son amour-propre et ses rêves. Lorsque le vrai amour de Lucas est réapparu, Belinda a compris que leur mariage n'était qu'un leurre depuis le début, un stratagème pour sauver la vie d'une autre femme. Elle a signé les papiers du divorce et est partie. Trois ans plus tard, Belinda est redevenue un prodige de la chirurgie et un maestro du piano. Perdu dans ses regrets, Lucas l'a poursuivie sous la pluie et l'a serrée contre lui. « Tu es à moi, Belinda. »
Dix-huit jours après avoir renoncé à Brendan Maynard, Jade Rousseau a coupé ses cheveux qui lui tombaient jusqu'à la taille. Elle a ensuite appelé son père, lui annonçant sa décision de partir en Californie pour étudier à Berkeley. Son père, stupéfait, l'a interrogée sur ce changement soudain, lui rappelant à quel point elle avait toujours insisté pour rester auprès de Brendan. Jade a esquissé un rire forcé, révélant la vérité déchirante : Brendan allait se marier, et elle, sa demi-sœur, ne pouvait plus s'accrocher à lui. Ce soir-là, elle a tenté d'annoncer à Brendan son admission à l'université, mais sa fiancée, Chloé Dubois, a interrompu leur conversation par un appel enjoué. Les mots tendres que Brendan adressait à Chloé ont été une torture pour Jade. Elle se souvenait du temps où cette tendresse n'appartenait qu'à elle, de la façon dont il la protégeait. Elle se souvenait aussi de lui avoir ouvert son cœur dans un journal intime et une lettre d'amour, pour le voir exploser de rage, déchirer la lettre en hurlant : « Je suis ton frère ! » Il était parti en claquant la porte, la laissant recoller méticuleusement les morceaux déchiquetés. Son amour, cependant, n'était pas mort. Pas même quand il avait ramené Chloé à la maison en lui ordonnant de l'appeler « belle-sœur ». Maintenant, elle avait compris. Elle devait éteindre ce feu elle-même. Elle devait arracher Brendan de son cœur.
Pendant trois années de patience et de souffrance, Christina s'est occupée de la maison, mais elle a finalement été abandonnée sans pitié par l'homme en qui elle avait confiance. Il a même présenté sa nouvelle maîtresse, faisant de Christina la risée de toute la ville. Libérée, elle a perfectionné ses talents longtemps ignorés, étonnant la ville par ses succès éclatants. En découvrant qu'elle avait toujours été un trésor, son ex-mari, rongé par le regret, s'est mis à la poursuivre. « Chérie, reviens-moi ! » Avec un sourire narquois, Christina lui a répondu : « Va te faire foutre. » Un magnat vêtu d'un costume de soie a passé son bras autour de sa taille. « Elle est mon épouse désormais. Gardes, faites-le sortir d'ici ! »
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