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Que faire quand la haine domine l'amour ? Dans un monde ou le faux est pris pour vrai.? Le vrai pour du faux.
Que faire quand la haine domine l'amour ? Dans un monde ou le faux est pris pour vrai.? Le vrai pour du faux.
Chapitre 1 : Chaton et Poussin
A Sacramento dans l'Etat de Californie
Et maintenant nous appelons Aloïs-Laël Mbala
Maman: wou wou wouoooou, mon bébé, c'est mon fils oh
Moi(me plaignant): maman....
Maman: ya quoi ? Tu as ton diplôme, je jubile, il est où ton soucis ? Et en même temps qui comprends ce que je dis ici d'ailleurs...... tchip
Moi(souriant): tout compte fait, tu as raison, (élargissant mon sourire) merci Mom
Je prends le visage de ma mère et je le ramène vers ma bouche pour lui donner un baisé sur le front, elle me sert contre elle et dit
Maman(émue): je suis si fière
Moi: Thanks Mom
Maman(s'écartant de moi pour me regarder dans les yeux): oui, tellement
puis je me lève de la chaise, je me tourne vers mon frère qui me donne une accolade fraîche et sincère.
Lui: i'm very so proud little Broda
Moi: Tx. Man
Armelika (avec une main posée sur mon épaule): bravo Lo
Je me retourne, elle me prends dans ses bras
Moi: merci sis
La directrice du CSU (California State University) se gratte la gorge et écorche une fois de plus mon nom à travers le micro. Avec le temps (5ans à Sacramento), j'avais appris à ne plus m'offusquer lorsque le « M » de mon nom était prononcé ou le « a » pris pour un « é ». Je le prenais plutôt avec philosophie. Mais de toutes les façons, à cet instant je n'avais aucune raison de m'agacer. Car aujourd'hui, je recevais mon diplôme de MBA en Management des Affaires à l'université de Sacramento devant ma mère, ma grande sœur et cet autre parti de moi, mon frère jumeau.
Dans leur yeux, je pouvais lire tellement de fierté que tous les sacrifices, les privatisations pour réussir et profiter de cet instant n'ont certes pas été facile mais ils ont porté leurs fruits à maturité. En effet, ça n'a pas été évident de quitter ma famille après l'obtention de mon premier master à l'institut de gestion, des nuits passer à réviser, des heures de travail à la bibliothèque, Mais j'y suis arrivé et mon objectif a été atteint. Mon seul regret à ce jour, reste de ne pas compter mon père parmi nous. Cet homme, ce mari, ce confident, ce père, mon mentor, partit bien trop tôt. Lui qui avait encore tant à nous apporter. 9 ans déjà mais la douleur reste toujours aussi vive !
Cependant, elle demeure notre moteur à tous les 4, elle nous motive à le rendre fière de l'endroit où il nous observe, à honorer son nom et bien évidemment sa mémoire au quotidien et dans tout ce que nous entreprenons. Il avait pour habitude de dire « quand je ne serais plus là, ne pensée pas à moi physiquement, mais pensée à ce que je vous ai appris, mettez en pratique mes enseignements et surtout en aucun cas ne salissez mon nom « alors mes frères et moi nous nous efforçons de l'appliquer. Même si ce n'est pas évident.
Je me dirige vers le podium, je récupère mon attestation de réussite dans les bras de madame Branxton
Moi: Thank you a lot
Elle: You welcome
Je me tourne vers ma famille, je lève l'attestation bien haut comme un trophée et toute ma tribu se lève à son tour et m'acclame encore plus fort.
Moi(les yeux levés vers le ciel): c'est pour toi papa
Armelika (A moi): Alaël- Loïs, je ne ....
Moi(posant mon assiette dans l'évier: moi c'est Aloïs-Laël Armé
Mon frère derrière nous reste amusé :
Elle: vous avez encore échangé de vêtements, comme vous le faisiez petit ?
Moi: non, pas cette fois, il a juste mis la même couleur de chemise que moi.
Alaël-loïs: en même temps c'est le thème de la soirée de plus tard, alors ....
Armelika: vous avez dis à votre mère que vous partez finalement, parce que pour elle on se fait un bail à la maison entre nous.
Moi: non pas encore
Alaël-loïs: tu viens avec nous ?
Armelika: vous soirées mondaines là ? Non merci !!!!
Alaël-loïs(amusé): tu sais que nombreux sont ceux qui trouvent leur vérité dans ses soirées mondaines là ?
Armelika: pas question de trouver mon futur mari là où l'Esprit-Saint n'est pas présent !
Alaël-Loïs: mais
Moi: bon je vous laisse dans votre débat, je vais prévenir la vieille pour ce soir.
Je termine de laver mon assiette, de l'essuyer et de le ranger dans le placard. Puis j'essuie l'évier pour qu'aucune goute de traîne. Je prends un torchant, je me sèche les mains et je l'installe pour qu'à son tour il sèche.
Je traverse le salon et je vais retrouver maman sur le transat qui était entrain de finir son assiette.
Moi: c'était bon ?
Elle: comme ci j'avais cuisiné moi-même
Moi: j'ai été un bon apprentis alors
Elle: comment tu te sens ?
Je prends place à mon tour sur l'autre transat. Je passe mes mains sous ma tête
Moi: ben, ça va. J'ai tout simplement ce petit pincement au cœur car papa aurait pu être parmi nous
Elle: Aloïs-Laël, ton père est parmi nous.
Moi:
Elle: il vit en toi, en ton frère et en tes deux sœurs. Il est également une partie de moi, et nous sommes tous extrêmement.... , comment on dit ici déjà ? Proud, non ?
Moi: oui, Proud !
Elle: c'est ça, NOUS OMMED PROUD DE TOI et Le fait que ton père ne soit pas là physiquement n'y change rien. Et je t'interdis pour la millième de fois de penser que ce qui est arrivé est de ta faute.
Mes pensées s'envolent automatiquement vers ma petite sœur
Moi(en faisant une grimace): mais il y en a une qui n'est pas de cet avis.
Elle: et à qui je ne cesse de répéter la même chose aussi.
Moi: humm ?
Elle: de ton côté si tu arrêtais de l'embêter, elle ne remettrait pas une couche à chaque fois encore.
Une colère qui ne dit pas son nom, monte en moi et me fais froissé le visage
Moi: SI SON CONNARD DE MARI N'AVAIT PAS OSÉ PORTER LA MAIN SUR TOI, NOUS N'EN SERIONS PAS LÀ. s'il ne t'avait pas autant manqué de respect NOUS N'EN SERIONS PAS LÀ.
Elle(calmement): c'est de l'histoire ancienne.
Moi(avec colère): MAIS PAS POUR MOI !
Cercle amoureux Dilemme Ménage à trois Que faire quand la tradition se mêle à l'amour..
Ne dit-on pas que l'amour est là plus belle des émotions qui puissent nous frapper à lœil ?
Ariana a été forcée de se marier dans la famille Anderson. À la suite de cette union, tout le monde s'attendait à ce qu'elle ait un bébé avec son nouveau mari. Or, il s'est avéré que son mari, Theodore, était en fait dans le coma ! Ariana était-elle condamnée à vivre le reste de sa vie comme une veuve ? Contre toute attente, son mari comateux a repris conscience le lendemain de leur mariage ! Theodore a ouvert les yeux et l'a regardée froidement. « Qui êtes-vous ? » « Je suis votre... femme », a répondu Ariana en transe. En entendant cela, Theodore paraissait extrêmement contrarié. « Je ne me souviens pas avoir pris femme. Ce mariage ne compte pas. Je vais demander à mon avocat de s'occuper des procédures de divorce. » Heureusement, la famille Anderson l'a empêché de divorcer, sinon Ariana serait devenue une sans-abri dès le lendemain de son mariage. Plus tard, elle est tombée enceinte et a voulu partir en secret, mais Theodore l'a rattrapée. Ariana le regardait avec obstination. « Tu ne m'aimes pas. Tu me crées des ennuis tout le temps. Quel est l'intérêt de notre mariage ? Je veux divorcer ! » Tout à coup, l'arrogance de Theodore est disparue et il l'a attirée dans son étreinte chaleureuse. « Tu es ma femme maintenant. Ne pense même pas à divorcer ! »
"Mademoiselle Roche, il est temps pour vous de divorcer de Monsieur Arnaud et de rentrer à la maison. Vous êtes la seule héritière que le Maître attend." ~•~ Pour l'amour, Julianna a accepté le mariage arrangé avec Franklin William Arnaud. Elle a tout fait pour gagner le cœur de son mari, mais lorsque son ancien amour est revenu, elle a réalisé que tous ses efforts étaient en vain. Franklin a exigé un divorce la nuit de leur anniversaire de mariage, quitte à la menacer. Le cœur brisé, elle a finalement abandonné toutes ses illusions à son sujet et est rentrée chez elle pour être l'héritière. La prochaine fois qu'elle a rencontré Franklin, ils n'étaient plus des couples mais des adversaires. "Monsieur Arnaud , dois-je vous le rappeler encore ? Nous avons divorcé." "Julia, c'est l'erreur la plus stupide que j'ai jamais faite. Reviens à moi, s'il te plaît."
Kaelyn a passé trois ans à s'occuper de son mari qui avait été victime d'un terrible accident. Mais une fois qu'il a été complètement rétabli, il l'a abandonnée et a ramené son premier amour de l'étranger. Le cœur brisé, Kaelyn a décidé de divorcer, sous le regard moqueur des gens qui se moquaient d'elle. Elle s'est ensuite réinventée, devenant un médecin très recherché, une championne de course automobile et une architecte de renommée internationale. Malgré cela, ceux qui l'avaient trahie ricanaient avec dédain, croyant que Kaelyn ne trouverait jamais quelqu'un qui l'aimerait. C'est alors que l'oncle de son ex-mari, un puissant chef de guerre, revient avec son armée pour demander la main de Kaelyn.
Le jour de son mariage, Khloe a été piégée par sa sœur et son époux, qui l'ont accusée d'un crime qu'elle n'avait pas commis. Elle a été condamnée à trois ans de prison, où elle a beaucoup souffert. Lorsque Khloe a finalement été libérée, sa sœur diabolique a utilisé leur mère pour forcer Khloe à coucher avec un homme âgé. Heureusement, le destin a voulu que Khloe rencontre Henrik, le chef de la mafia, séduisant mais impitoyable, qui a changé la vie de Khloe. Malgré la froideur d'Henrik, il a choyé Khloe plus que quiconque. Il l'a protégée, l'a soignée et l'a aidée à se venger.
Le jour de leur anniversaire de mariage, la maîtresse de Joshua a drogué Alicia qui s'est retrouvée dans le lit d'un inconnu. Du jour au lendemain, Alicia a perdu sa virginité et la maîtresse de Joshua est tombée enceinte de lui. Le cœur brisé et humilié, Alicia a demandé le divorce, mais Joshua ne l'a pas pris au sérieux. Lorsqu'ils ont fini par se séparer, Alicia est devenue une artiste célèbre, recherchée et admirée de tous. Joshua, pris de remords, est arrivé sur le pas de sa porte dans l'espoir de se réconcilier avec elle, mais il l'a trouvée dans les bras d'un puissant magnat, son frère, qui lui a dit : « C'est ma femme. »
Je me suis réveillée après cinq ans dans le coma. Un miracle, selon les médecins. Mon dernier souvenir, c'était de pousser mon mari, Damien, pour l'écarter de la trajectoire d'un camion. Je l'avais sauvé. Mais une semaine plus tard, à la mairie, j'ai découvert un acte de décès établi deux ans plus tôt. Les noms de mes parents y figuraient. Et puis, la signature de Damien. Mon mari, l'homme que j'avais sauvé, m'avait déclarée morte. Le choc a laissé place à un vide glacial. Je suis retournée chez nous, pour y trouver Angélique Martin, la femme qui avait provoqué l'accident. Elle y vivait. Elle a embrassé Damien, un baiser désinvolte, familier. Mon fils, Émile, l'appelait « Maman ». Mes parents, Anne et Gilles, l'ont défendue, disant qu'elle faisait « partie de la famille maintenant ». Ils voulaient que je pardonne, que j'oublie, que je comprenne. Ils voulaient que je partage mon mari, mon fils, ma vie, avec la femme qui m'avait tout volé. Mon propre fils, l'enfant que j'avais porté et aimé, a hurlé : « Je veux qu'elle s'en aille ! Va-t'en ! C'est elle, ma maman ! » en pointant Angélique du doigt. J'étais une étrangère, un fantôme qui hantait leur nouvelle vie heureuse. Mon réveil n'était pas un miracle ; c'était un dérangement. J'avais tout perdu : mon mari, mon enfant, mes parents, mon identité même. Et puis, un appel de Zurich. Une nouvelle identité. Une nouvelle vie. Catherine Dubois était morte. Et désormais, je ne vivrais que pour moi.
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