Il était une fois à Keya Mon père m'a toujours appris, d'aimer mes semblables....
Il était une fois à Keya Mon père m'a toujours appris, d'aimer mes semblables....
Chapitre 1
Mon père m'a toujours appris d'aimé mes semblables, à prendre ce que la vie nous donne et être toujours reconnaissant.
Je n'ai pas grandi dans des bonnes circonstances, ont manqué souvent à manger , je voyais comment mes parents se battaient pour me nourrir le soir même avec un simple biscuit pour que je ne puise pas dormir le ventre vide .
Nous habitions dans le quartier le plus pauvre de Kinshasa et dans une petite maisonnette reculer du quartier , ma mère vendait des aubergines au marché et mon père était l'une des ses personnes qui traînait avec sa brouette dans la rue pour ramasser des choses etc .. autrement dit en lingala , mutu y'a pusu , et à la fin de la journée c'est soit en récompensait son travail ou non, ont s'accrochaient plus aux aubergines de maman qui nous rapporté quelques fois .
Avec le temps mes parents on réussit à économiser et ma maman est monté , elle a rajouter à ça table des matebele, biteku biteku ( légumes vert ) , des tomates, des oignons et de l'ail. Ça nous as permis de déménager et mon père aussi économisait le peu qu'il gagnait, ils ont pu acheter une poule et un coq , une chèvre mâle et femelle pour qu'ils puissent se reproduire ainsi mes parents on pu avoir leurs petite ferme derrière notre maison et maman cultivés parallèlement ses légumes derrière .
Je suis actuellement âgé de dix huit ans , et depuis que j'ai la majorité j'aide ma mère à vendre au marché pendant une certaine heure et ensuite je rentre à la maison m'occuper de la ferme de papa et du potager de maman .
Je me réveil tout les jours à cinq heures du matin pour commencer à m'occuper des animaux ensuite je suis rejoint par papa on travail ensemble jusqu'à au moins neuf heure , je vais me préparer pour rejoindre maman au marché, je reste avec elle jusqu'à dix huit heures et je rentre m'occuper du dîner et ainsi va mon quotidien .
Je m'appelle Keya Mbala , je suis âge de dix-huit ans , mon prénom je le tiens de ma grand-mère paternelle qui était congolaise-chinoise, son prénom elle le tient de sa mère qui était congolaise , les mélange aux Congo Kinshasa il y'en as beaucoup mais c'est juste caché , les mélange Congo-belge, Congo-Chine , Congo-portugais et j'en passe, mon père me racontait pleins d'histoires pendant le règne de Mobutu, son pays a beaucoup été visité, et d'après ce que j'ai compris les touriste non pas que visiter la ville ...
Je suis tellement fier de vivre dans ce si beau pays au multi-culture , même si par fois c'est compliqué je suis quand même fier d'être kinoise .
Aujourd'hui pendant que j'étais entrain de préparé le dîner, une amie , non , ma seul amie , m'a copine de galère , est venu me voir pour faire la causette comme a notre habitude .
Moi : Cindy qu'est-ce qu'il y'a tu t'assoies sur ma chaise épuisé comme ça ?! C'est tes patrons là où tu travail quoi t'épuise comme ça ?!
Cindy : Keya .. j'en ai marre , jusqu'à quand je vais continuer à souffrir ainsi ?! Dit-elle en se plaignant
Moi : qu'es ce qu'il se passe encore ?!
Cindy : la veille mère !
J'ai ri car c'est comme ça qu'elle aime appeler sa patronne . Cindy est femme de ménage dans une famille de riche qui vie à Macampagne, ils lui font la misère , mère, enfants , sauve la mari il est souvent pas là a cause de son travail, les enfant sont très odieux avec elle et la mère c'est elle qui dirige tout ça .
Cindy : aujourd'hui devant leurs invite ils m'ont tellement humilier
Moi : oh ..
Cindy : la plus grande des filles ma jeter son verre d'eau au visage
Moi : c'est une blague ?! Mais pourquoi donc ?! Et puis même sont geste n'est en aucun cas justifié
Cindy : par ce que j'ai osé leurs répondre en français devant leurs invité
Moi : je n'y crois pas ?! Ils pense que tu est illettré et que tu n'a jamais fait d'études ?!
Cindy : ..
Cindy et moi avions fait des études mais arrive à notre majorité on as dû toutes les deux mettre fin à notre scolarité pour s'occuper de nos famille respective. Cindy est orphelin et vit avec sa grand-mère, au début elle payait ses études car elle vendait aussi au marché mais elle se fait vielle donc elle a du arrêter le marché, pour subvenir à leurs besoins c'est Cindy qui a remplacé sa grand-mère et a commencer à travailler. Ses patrons ses des personnes exécrables mais ils la paye bien c'est ça qui la pousse à rester .
Cindy : Keya moi même comme je suis là , je suis dépassée ! Vais je un jour être traiter a ma juste valeurs ?!
Moi : écoute , c'est les aléas de la vie , les gens comme nous , dans ce pays nous devons malheureusement se plié à des gens comme eux . Et bien sûr que tu va être traiter a ta juste valeur , la vie n'est pas fini on ne connaît pas le lendemain de quelqu'un, peut-être que tu va rencontrer un riche homme qui va t'honorée aux yeux de tous
Cindy : qui va posé ses yeux sur moi Cindy ?! Qui ?!
Moi : homme dont Dieu lui aura donner la permission de venir prendre ton cœur car tu est la fille de Dieu c'est pas n'importe qui , qui doit venir à toi, Dieu t'aime trop pour ça
Cindy : tu sais comment remonte le moral de quelqu'un toi
Je lui ai sourit
Cindy : je pris tout les jour que Dieu mette un homme de pouvoir dans ton chemin pour que tu puisse faire sortir tes parents de tout ça
Moi : je suis bien comme je suis avec ma pauvreté, je ne demande rien à personne et je suis odieuse avec personne. Et puis je ne veut pas me marié je veut reste au près de mes parents
Cindy : il te donnera cet homme je le proclame et je te bénis !
Moi : je refuse !
Cindy : tu reçois AMEN !!!!
Moi : tu est folle !
Après avoir bien rigoler elle a pris congé de moi .
Le soir j'étais dans ma chambre et j'ai entendu mes parents discuter, le monsieur qui nous loue la maison met la pression à mes parents pour le loyer, ils ont deux loyer de retard et il menace de nous mettre à la porte , j'ai eu des sueurs froides qu'à allons nous devenir à la rues ?! Nous qui essayons de tenir les deux bout avec nos petit commerce , à la rue nous sommes complètement foutu !
Je me suis levé j'ai mit mes genoux à terre et j'ai commencer à prié
Moi : éternel, je viens à toi père car je suis dans la tristesse, père je ne me suis jamais pleins au près de toi de ma situation car j'ai toujours était reconnaissante pour ce que tu fessait pour moi et mes parents, là aujourd'hui Yahwe je te demande cette faveur de m'aider à trouver du travail pour que je puise aider mes parents dans les dettes qui font qu'ils n'en dormes pas la nuit . Je vais prendre toute la force que j'ai pour travailler même en tant que vendeuse, éternelle, je te serait toujours reconnaissante. Ainsi j'ai prié en ton nom Jesus-Christ amen .
Le lendemain à cinq heure j'étais déjà debout , j'ai fais mon rituel du matin avec la ferme etc .. ensuite vers huit heures je suis parti dans les rues de Kinshasa à la recherche d'un emploi, j'ai frappé dans toutes les portes qu'un humain pouvait frappé sous ce gros soleil avec la soif et la faim je marchait sans énergie mais je ne perdais pas espoirs .
Je traversais le rue sans forcément regarder la route car je voyais double, une voiture à foncé sur moi et puis la trou noir .
A mon réveil j'étais sur un lit tout blanc , dans une chambre toute blanche aussi , où suis-je dis-je en me redressant . Hôpital ?! Non je ne pense pas à par ci les hôpitaux on changer et on des armoires de luxe et une salle de bain dans leurs chambres, j'ai pu apercevoir car la porte de la salle de bain été entre-ouvert .
Je me suis mise en positon assis, j'avais tellement soif et faim mais j'ai peur de faire un pas, je ne sais même pas où je suis, peut être bien même que je suis chez des kuluna qui souhaite me violé, me tué et vendre mes membre au marché noir ?! Fille avec peu de foie ! Me suis dis-je intérieurement, le Dieu que tu prie tout les jours ne peut jamais laisser quelque chose comme ça t'arriver .
Je réfléchissais à comment sortir d'ici car l'heure passait et je dois rentre chez moi mes parents doivent s'inquiéter depuis que j'étais sorti de chez moi tôt le matin sans donner de nouvelle sachant que ce n'est pas dans mes habitudes.
En pleines réflexions une dame vêtu de pagne bleu ciel avec perles rentra dans la chambre , elle était très claire de peau , métisse peut être ou je ne m'y connaît pas , elle avait des long cheveux qui tombait sur ses épaules avec des lunettes , elle était très sophistiqué
.. : oh tu est déjà debout ?!
Moi : ..
Elle me parlais avec tellement de familiarité , comme si on se connaissait depuis un bon moment
.. : je pensais appelé un médecins mais ..
Moi : ce n'est pas nécessaire je vais bien ..
Elle était étonné de mon français, elle pensais peut-être que j'allais lui répondre en lingala mais à vrais dire j'ai toujours parler français et très peu le lingala, mon père est née en France , ironie du sort , ma mère est née aux États-Unis , ils se sont rencontré en France, ma mère y était pour des vacances, ils se sont tout de suite aimer et plus jamais quitter, mes parents ne vienne pas tout les deux d'une famille de riche mais de débrouillard , ma mère était fille unique et quand elle perdu ses parents elle est rentré au Congo pour les enterré accompagné de mon père , la famille de ma mère lui on tout pris jusqu'au dernier centimes elle n'avait plus rien, elle était de seulement âgé de vingt-cinq ans, mon père, lui sa famille ont refusé qu'il épouse ma mère et par amour pour ma mère il a brûlé son passeport et voilà comment ils sont ainsi rester bloqué sans rien à Kinshasa, mon père n'a plus jamais eu de nouvelles de sa famille et ni ma mère , je suis née du coup au Congo et grandi avec deux parents qui me parlais en français, anglais et en lingala donc je maîtrise très très bien ses trois langue , même le professeur a l'école était étonné de mon parler sachant que je venait d'une famille de pauvre .
Moi : je ne souhaite pas vous dérange bien longtemps je vais m'en aller
.. : mais attend , tu ne va pas partir comme ça , mon chauffeur t'a quand même écrasé
Moi : faillit..
.. : bien .. laisse moi au moins te donner quelque chose pour te dédommage
Moi : ce n'est rien madame vous n'est pas en tord c'est moi qui ne regardais pas la route
.. : jeunes fille j'insiste ! Attend moi la je reviens
Elle est revenu quelques minutes plus tard avec un petit sac, elle a sorti de son sac deux billette de cent dollars
.. : tient c'est pour tes soins d'hôpital
Moi : madame c'est trop
.. : on t'a fait du mal je paye !
Elle a pris ma main et a déposé les deux billets sur la paume de ma main avant de la refermer
.. : ou aller tu ?!
Moi : chercher du travail madame
.. : oh .. bien écoute , aimerais tu travailler pour moi ?!
Moi : je .. je .. je ne peut abusé de votre gentillesse
.. : non Dieu fait juste bien les chose, figure toi que ce matin j'ai viré ma Bonne car elle fricotait avec mon fils , je ne tolère pas ce genre de manquement de respect sous mon toit , et la j'ai besoin d'une remplaçante
Moi : ...
.. : accepte je pense que ça peu t'aider
Oh oui beaucoup
Moi : d'accord . Dis-je hésitante
.. : merci beaucoup, tu peu commencer demain ?!
Moi : oui je peu ..
.. : super , demain le chauffeur viendra te chercher à ton adressa et on te donnera toutes les instructions pour ton poste dans cette maison
Moi : merci beaucoup madame
.. : attend le chauffeur va te déposer chez toi
Quand elle sorti de la chambre je me suis mise à prié c'était beaucoup trop pour attendre de rentré chez moi et prié , je remercier le seigneur pour ses bienfait et sa miséricorde sur moi .
Le chauffeur m'a accompagné chez moi . Je descendais de la voiture avant que ce dernier m'arrête
.. : Zela ! ( attend ) on m'a dit de remettre ça
Il a fait le tour il est partir ouvrir le coffre et il a sorti un sac de riz , un carton de poulet , un sac de fufu , un bidon d'huile , un sac de sel , un pot de Nido , du sucre mais qui est cette femme seigneur !! Me suis-je dis intérieurement en voyant cette homme sortir toute ses choses
Moi : je peu savoir c'est pour qui tout ça ?
.. : kasi yo ! ( toi ) et puis tika n'a ba français n'a yo ya milayi milayi wana ( et puis arrêter moi ça avec ton long français )
Moi : sorry
.. : eh petit !
J'ai ri car commend il a crie quand t-il ma entendu parler anglais
Moi : nazo seka ( je rigole )
Il m'a aider à faire rentré les provisions dans la maison , quand mon père nous as vu il s'est directement levé
Papa : qu'est-ce qu'il ce passe Keya ?
Mon père me parle toujours en français et ma mère en anglais c'est quand que nous sommes avec du monde que les deux me parle en en ligala
Moi : ah papa . Dis-je en tombant dans ses bras . Dieu est bon !!
.. : Petite , je crois que c'est bon hein . Disait-il avec son accent à en faire rire plus d'un
Moi : merci
Papa : lekki n'a pesa yo yako mela ?! ( jeune homme souhaite tu que tu je te serves à boire )
C'est vrais que le chauffeur était plus vieux que moi mais un peu plus jeune que mon père quand même .
... : té noko cava ! ( non mon oncle, cava )
Papa : Kombo n'a yo ?! ( comment tu t'appelle ? )
.. : Denis yaya ( Denis grand-frère ) . Je vous laisse , Keya à demain
Moi : oui à demain y'a Denis .dis-je en souriant
Il a pris congé de nous
Papa : Keya qu'est ce qu'il ce passe ?! Et puis où était tu ?! Je me suis inquiété
Moi : je vous ai entendu hier soir avec maman par rapport au loyer .. et je me suis décidé à aller chercher un travail pour vous aider
Papa : Keya ... mais pourquoi tu as fait ça ?!
Moi : parce que je ne veut pas qu'on se retrouve à la rue
Papa : on ne va pas se retrouver à la rue
Moi : j'anticipe .. je cherchais tranquillement du travail, n'importe quoi que j'aurais pu trouver aujourd'hui et je me suis fait à moitié écrasé par une voiture
Papa : Quoi ?! Cava ?! Dit-il en me touchant le visage
Moi : oui je vais bien papa , je vais bien . J'ai dû m'évanouir par la faim et la chaleur , a mon réveil j'étais dans une super belle chambre.
Je me suis mise à lui raconter ma conversation avec la dame et sa grande générosité
Papa: que Dieu bénisse cette bonne femme
Moi : vraiment, et elle m'a passé deux cent dollars pour frais d'hôpital
Papa : deux cent dollars ?!
Moi : oui .. si ça peu aider pour le loyer . Dis-je en lui donnant
Papa : c'est pour tes frais d'hôpital Keya
Moi : je vais bien papa , je vais très bien , l'éternel me garde
Papa : amen
Le soir on as attendu le retour de maman pour tout lui raconter , nous avons tout les trois fait une grande prière avant de manger et on a manger très tard , on as laisser cette dame entre les main de l'éternel et mon travail chez elle .
Ainsi va la vie de Malèna Ainsi va la vie et nous ne pouvons nous y opposer. N'est il pas écrit que l'homme propose et Dieu dispose ? On ne choisit pas son destin encore moins les personnes qui rentrent dans nos vie par pur hasard...Pensez-vous que le hasard existe ?! Ou que tout est écrit , une grande impression que la mienne est écrite. Si je pouvais décider des personnes qui rentre et sort de ma vie, ma vie aurait été beaucoup plus simple . Ainsi va la vie diront t-ils avec un air désolé. Le malheur arrive t-il seul ?! Ou est-il toujours accompagné par deux abrutis. Le malheureux n'est t-il pas heureux ?! Celui qui est heureux n'est t-il pas malheureux ?! Tout est vanité des vanités, ne jamais envier les autres, l'envieux n'est t-il pas envié ?! Je retiens que la souffrance vient des proches . Ainsi va la vie de Malèna
Comme le titre l'indique " Mariée au petit frère du diable"
Elena Dalton, piégée par un complot, tombe enceinte et met au monde des quadruplés. Sa sœur cadette, Nora, s'empare de deux des enfants pour s'assurer une place auprès des puissants Warren, tandis qu'Elena, brisée mais déterminée, s'enfuit avec les deux autres. Cinq ans plus tard, Elena revient, transformée. Sa sœur, qui s'affiche en modèle de vertu malgré sa noirceur, découvre alors une Elena décidée à reprendre ce qu'on lui a volé : ses enfants et sa dignité.
Être la deuxième meilleure, c'est pratiquement inscrit dans mes gènes. Ma sœur recevait l'amour, l'attention, les feux des projecteurs. Et maintenant, même son foutu fiancé. Techniquement, Rhys Granger était maintenant mon fiancé : milliardaire, d'une beauté renversante, et un rêve ambulant de Wall Street. Mes parents m'ont poussée dans cet engagement après la disparition de Catherine, et honnêtement ? Ça ne me dérangeait pas. J'avais craqué sur Rhys depuis des années. C'était ma chance, non ? Mon tour d'être celle que l'on choisit ? Faux. Un soir, il m'a giflée. À cause d'une tasse. Une stupide, ébréchée et moche tasse que ma sœur lui avait offerte des années auparavant. C'est à ce moment-là que j'ai compris : il ne m'aimait pas. Il ne me voyait même pas. Je n'étais qu'un substitut à peine chaleureux pour la femme qu'il désirait réellement. Et apparemment, je ne valais même pas une simple tasse à café glorifiée. Alors je l'ai giflé en retour, largué sur-le-champ, et préparé la catastrophe : mes parents perdant la tête, Rhys piquant une crise de milliardaire, sa famille effrayante complotant ma perte prématurée. Évidemment, j'avais besoin d'alcool. Beaucoup d'alcool. C'est là qu'il est apparu. Grand, dangereux, injustement séduisant. Le genre d'homme qui vous donne envie de succomber rien qu'en existant. Je ne l'avais rencontré qu'une seule fois auparavant, et ce soir-là, il se trouvait justement au même bar que moi, en pleine autosatisfaction alcoolisée. Alors j'ai fait la seule chose logique : je l'ai traîné dans une chambre d'hôtel et arraché ses vêtements. C'était irréfléchi. C'était stupide. C'était complètement déconseillé. Mais c'était aussi : le meilleur sexe de ma vie. Et, il s'est avéré que c'était la meilleure décision que j'aie jamais prise. Parce que mon aventure d'un soir n'est pas qu'un type quelconque. Il est plus riche que Rhys, plus puissant que toute ma famille, et assurément plus dangereux qu'avec qui je devrais m'amuser. Et maintenant, il ne compte pas me laisser partir.
[AVERTISSEMENT : CONTENU ÉROTIQUE] "Chaque fois que vous enfreignez une règle, je revendiquerai une partie de votre corps comme mienne" Forcée d'épouser l'héritier du plus grand syndicat mafieux pour payer la dette de ses parents et les factures d'hôpital de sa grand-mère. "Vivez avec mon fils pendant 30 jours, si vous ne tombez pas amoureux de lui, j'annulerai ce contrat." Malissa peut-elle vivre avec le beau, chaud et dominateur Hayden pendant 30 jours sans tomber sous son charme ? Cependant, il y a des règles pour vivre avec ce monstre vigoureux et, à mesure que Malissa les enfreint, elle découvre des plaisirs dont elle ignorait l'existence. Alors que ses contacts l'enflamment, son cœur commence à fondre. Mais les deux ont-ils un avenir ensemble alors que Hayden est amoureuse de quelqu'un d'autre et que Malissa n'arrive pas à se remettre de son ex-petit-ami ? LISEZ MAINTENANT pour le savoir !
Après cinq années à jouer le rôle de la fille modèle, Rylie a été démasquée comme une remplaçante. Son fiancé s'est enfui, ses amis se sont dispersés et ses frères adoptifs l'ont poussée dehors, lui disant de retourner en rampant vers sa vraie famille. Lassée de l'humiliation, elle s'est juré de récupérer ce qui lui appartenait. Le choc a suivi : sa famille biologique régnait sur les richesses de la ville. Du jour au lendemain, elle est devenue leur fille adorée. Le frère membre du conseil d'administration a annulé les réunions, le frère génial a abandonné son laboratoire, le frère musicien a reporté une tournée. Alors que ceux qui l'avaient rejetée imploraient son pardon, l'amiral Brad Morgan a déclaré calmement : « Elle est à moi. »
Ils ne savent pas que je suis une fille. Ils me regardent tous et voient un garçon. Un prince. Les gens de leur espèce achètent des humains comme moi pour assouvir leurs désirs lubriques. Et quand ils ont fait irruption dans notre royaume pour acheter ma sœur, je suis intervenue pour la protéger. Je les ai obligés à me prendre aussi. Le plan était de s'échapper avec ma sœur dès que nous en aurions l'occasion. Comment pouvais-je savoir que notre prison serait l'endroit le plus fortifié de leur royaume ? J'étais censée rester à l'écart. Celle dont ils n'avaient pas vraiment besoin. Celle qu'ils n'ont jamais voulu acheter. Mais voilà que la personne la plus importante de leur pays sauvage, leur impitoyable roi-bête, s'est intéressée au « joli petit prince ». Comment survivre dans ce royaume brutal, où tout le monde déteste nos semblables et n'a aucune pitié pour nous ? Et comment une personne, avec un secret comme le mien, peut-elle devenir une esclave de la luxure ? NOTE DE L'AUTEUR Il s'agit d'une romance noire, au contenu sombre et mature. Très bien noté 18+ Attendez-vous à des déclencheurs, attendez-vous à du hardcore. Si vous êtes un lecteur chevronné de ce genre, à la recherche de quelque chose de différent, prêt à y aller à l'aveuglette sans savoir à quoi s'attendre à chaque tournant, mais désireux d'en savoir plus de toute façon, alors plongez ! Par l'auteur du best-seller international : « L'esclave détestée du roi Alpha ».
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