-Pardon, Kassoum, ne me tue pas ! -Si, je vais te tuer aujourd'hui ! Tu me prends pour un idiot, c'est ça ? Où est mon argent ? -Kassoum, s'il te plait, tu me fais mal ! Arrête ! Je n'ai rien volé !
-Pardon, Kassoum, ne me tue pas ! -Si, je vais te tuer aujourd'hui ! Tu me prends pour un idiot, c'est ça ? Où est mon argent ? -Kassoum, s'il te plait, tu me fais mal ! Arrête ! Je n'ai rien volé !
AU CARREFOUR DE NOS DIFFÉRENCES ...
* Prologue *
-Pardon, Kassoum, ne me tue pas !
-Si, je vais te tuer aujourd'hui ! Tu me prends pour un idiot, c'est ça ? Où est mon argent ?
-Kassoum, s'il te plait, tu me fais mal ! Arrête ! Je n'ai rien volé !
Je tente tant bien que mal de protéger mon ventre, mais un coup violent sur mon visage me fait lâcher prise. Oubliant mon précieux fardeau que je voulais protéger plus tôt, je me cache le visage avec les mains. Une douleur sourde se fait ressentir au niveau de mon nez. Je crois qu'il est cassé, car déjà un liquide rouge s'échappe de chacune de mes narines. Il veut me tuer aujourd'hui, il va me tuer ! Ô Seigneur, pourquoi moi ? J'ai mal. Malgré mes cris, il ne décolère pas. Au contraire, il redouble d'efforts, et les coups pleuvent sans interruption. Quand est-ce que j'aurai du répit ? Quand est-ce que tout ceci s'arrêtera ? Si hier mes cris alertaient les autres habitants de la cour commune que nous habitons, aujourd'hui, tous semblent faire la sourde oreille, et pour cause. Qui souhaite se retrouver dans le collimateur de Kassoum ? Personne, pas même le vieux Moussa qui a essayé à plusieurs reprises de le raisonner.
Quelques minutes plus tard, il m'assène un dernier coup, et se redresse, jetant sur moi un regard froid. Il saisit alors celle qui est aujourd'hui sa compagne depuis quelques mois maintenant, une bouteille de whisky bon marché au liquide cuivré, la porte à sa bouche et sort en dandinant. Je me mets alors à pleurer à chaudes larmes et à crier, mais personne n'accourt. Oh, comme j'aimerais être secourue à cet instant ! Comme j'aimerais que quelqu'un vienne et prenne ma défense ! Mais malheureusement pour moi, je n'ai personne. Je n'ai que Kassoum. Il est mon monde. Je regarde mon ventre arrondi et une grosse larme de chagrin s'échappe de mon œil enflé et noir de sang coagulé. L'espace d'une seconde, ne ressentant aucun mouvement à l'intérieur de moi, je suis prise de panique. Et si tous ces coups avaient eu raison de mon bébé ? Délicatement, je pose ma main sur mon ventre et instantanément, une petite bosse se forme sous mes doigts. Ouf, il va bien, et ce petit instant de tendresse me fait pleurer de plus belle. En fait, je ne suis pas aussi seule que cela, je l'ai lui, mais est-ce pour longtemps ? Avec tout ce que celui qui était mon mari hier et mon bourreau aujourd'hui me fait subir, je me demande si je vais pouvoir tenir.
Vais-je le laisser me traiter comme ça toute ma vie ? Suis-je obligée de rester là, et de subir tout ça ? Depuis que j'ai intégré cette maison, ma vie n'est pas de tout repos, et je pense sérieusement à en mettre un terme. Aujourd'hui et comme tous les autres jours, Kassoum n'a pas été tendre avec moi. Entre les humiliations répétées, les coups, les blessures et les insultes, je me demande encore où je trouve la force pour tenir ferme. Beaucoup me diront de partir. Ce n'est pas l'envie qui me manque mais ...
Alors que j'essaie péniblement de me relever, le voilà qui réapparait à l'entrée de notre petit studio délabré et me bouscule violemment, de sorte que je me retrouve encore à terre. Et, comme l'on peut le deviner, c'est reparti un tour. Pour je ne sais quelle raison, Kassoum s'acharne encore sur moi. Sa respiration de taureau me fait frissonner et les gouttes de sueur qui tombent de son visage vers moi me donne envie de vomir. C'est sans compter sur la forte odeur d'alcool qui s'échappe de sa bouche et de ses vêtements usés. Il est vraiment sale, et fait peine à voir, et à cet instant je me demande comment j'ai pu épouser un homme pareil. Mais avais-je seulement le choix ? Non. Je ferme les yeux, tant pour oublier les circonstances de notre mariage que les douleurs que m'infligent ses coups.
Au moment où je crois qu'il en a fini avec moi, il m'assène un coup fatal. Ce coup qui me fait enfin prendre conscience qu'il faut que cet enfer s'arrête. C'est le coup de trop, qui me réveille de ces rêves dans lesquels je le vois changer un jour. Le coup qui s'abat violemment sur mon ventre. Le petit être à l'intérieur s'agite alors tout d'un coup, et une colère sourde s'empare de moi. Kassoum veut tuer mon bébé, mais je le tuerai avant que cela n'arrive. Dans un élan de rage et de ras-le-bol, je saisis le premier objet qui je trouve et l'abat entre ses jambes. C'est une bouteille de vin vide. Le karma, me direz-vous. Alors qu'il se tord de douleurs, je me lève, et lui casse la bouteille sur la tête, de toutes mes forces, et poussant un cri qui vient au plus profond de moi. Kassoum s'écroule alors sur notre matelas usé et ne bouge plus. Néanmoins, je l'entends respirer péniblement.
Il faut que je me dépêche, je n'ai pas beaucoup de temps. Je me précipite vers un coin de la pièce où je range quelques unes des affaires qui me restent. Je plonge ma main dans un grand sac déchiré et la ressors avec six billets de 10.000 francs CFA, le fruit d'une année de dur labeur que je gardais précieusement pour le jour où j'aurai choisi de m'en aller enfin. Je mets les billets dans mon soutien-gorge, mets tout ce qui me reste comme vêtements dans le sac et c'est en courant que je m'échappe de cette maison de malheur, et laissant derrière moi un mari toujours inconscient. Malgré moi, j'éprouve pendant une seconde des remords, mais quand mes pensées se tournent vers le petit être qui pousse à l'intérieur de moi, je me dis que j'ai fait le bon choix, quitte à vivre toutes les prochains jours, voire les prochains mois dans la peur. Il faut que j'évite cela à mon bébé. Si jusqu'ici j'ai toléré les bastonnades de cet homme, oser s'attaquer à lui en étant trop.
-Mais tu vas où comme ça ?!
C'est ma voisine, Kady, qui vient de m'interpeler. Je ne prends pas le temps de lui répondre. Je n'ai pas le temps. Il ne faut pas que Kassoum se réveille et m'attrape, sinon, aujourd'hui c'est ma mort, et celle de mon bébé. Je sors de la cour commune sans jeter le moindre regard en arrière. Je marche vite, autant que je peux, même si mon gros ventre me ralentit. Je marche sans me préoccuper de tous les hommes qui s'arrêtent sur mon passage, et qui quémande quelques minutes de mon attention. Je marche, en gardant en tête mon objectif : il faut que je quitte, non pas juste ce quartier, mais cette ville. Il faut que je parte de Bouaké, et que cette histoire reste derrière moi. Mes yeux me picotent, avant d'ouvrir la voie à de grosses larmes de tristesse qui s'écrasent sur le sol rouge de ce quartier mal famé de la ville, Dougouba. C'est avec désespoir que je remarque que mes pieds sont plus noirs que le charbon. Je me rappelle alors que je n'ai pas eu le temps de prendre une douche depuis que je suis rentrée du travail, Kassoum m'ayant accueillie avec cette bastonnade légendaire. Mais qu'importe ? Même si je sens encore le poisson et que je suis plus sale qu'un cochon, cela doit-il m'empêcher de fuir ? Non. Je partirai d'ici, coûte que coûte.
Après près d'une heure de marche, j'arrive enfin à la gare routière, le front perlé de gouttes de sueur. Je m'arrête une seconde et cherche un repère. Il y a plusieurs pancartes sur lesquelles sont écrits des mots, mais je n'arrive pas à les déchiffrer. Je soupire. Bon gré mal gré, je me dirige vers un comptoir derrière lequel se trouve un vieux monsieur tout dégoulinant de sueur.
-Bonjour Monsieur, je veux un ticket pour ... pour ...
-Pour aller où ?
-Euh ...
En fait, où est-ce que je veux aller ? Je ne connais rien d'autre que Bouaké. J'y suis née et j'y ai grandi. Comment avais-je pu envisager entreprendre un voyage sans même connaitre la destination que je voulais atteindre ? Face à mon regard perdu, le caissier reprend, visiblement agacé et de mauvaise humeur :
-Écoute, ma chérie, je ne vais pas attendre pour tes beaux yeux. Moi je vends des tickets pour Abidjan. Si cela ne te convient pas, pousse-toi que je serve les autres clients.
Je regarde derrière moi et me retrouve nez à nez avec une femme d'âge mûr, qui me regarde sévèrement. Prise de panique, je dis rapidement :
-Ok, un ticket pour Abidjan.
-5000 francs.
Je sors un billet de 10.000 francs de mon soutien-gorge et le tend au caissier qui le prend avec dédain.
-C'est le car qui est juste là, dit-il en me donnant ma monnaie. Il part dans une heure.
Je le remercie et sors du rang. Je cherche du regard un endroit où m'asseoir et aperçois ce qui peut être considéré comme une douche, sauf que ce n'est pas couvert. Je m'y dirige et après avoir posé mon sac, je prends le tuyau jaune qui fait office de robinet. Je verse de l'eau sur mes pieds, et essaie de les laver tant bien que mal. Un filet d'eau noir s'écoule alors vers le siphon. Je me lave aussi le visage, les aisselles, et le cou. Même si j'ai pour habitude de travailler dans un endroit insalubre, je déteste la saleté et les mauvaises odeurs. Une fois ma toilette terminée, je coupe l'arrivée d'eau et me relève. Je me sens fraiche. Mais alors que je veux prendre mon sac, je me rends compte qu'il a disparu. On me l'a volé !
-Eh Dieu ! Je m'écris en mettant les mains sur ma tête.
Moi qui n'avais déjà pas suffisamment de vêtements, me retrouve sans rien. Les larmes me montent aux yeux et je les essuie rageusement. Heureusement pour moi que j'ai gardé le ticket de bus et ma petite fortune dans mon soutien-gorge. Si je n'avais pas fait cela, j'aurais été obligée de retourner à la cour, et là, Kassoum m'aurait assassinée sans état d'âme.
D'un pas mal assuré, je me dirige vers le chauffeur du car, à qui je tends mon ticket.
-Combien de bagages ?
-Je n'en ai pas Monsieur.
-Hum. Allez-y.
Je monte dans le car et m'assois sur le premier siège de la rangée de gauche, côté fenêtre. Je pose ma tête sur la vitre et alors que le véhicule démarre tout doucement, je ne peux m'empêcher de réfléchir : ai-je fait le bon choix ? Que m'arrivera-t-il une fois sur place ? De quoi vivrais-je ? J'ai entendu dire qu'il y a beaucoup de travail à Abidjan. Peut-être que j'aurai la chance d'en trouver un dès mon arrivée ?
Toutes ces questions ne me quittent pas, au contraire, elles m'assaillent d'avantage, et pour cause : je suis en route pour Abidjan, une ville inconnue, au sein de laquelle je ne connais personne, sans affaires et avec seulement 55.000 francs CFA en poche. Comment vivra la petite villageoise que je suis, qui ne sait ni lire, ni écrire, et qui plus est attend un enfant dont le père est la source de sa fuite vers l'inconnu ? Que me réserve ce voyage ? Que vais-je devenir ?
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Nouvelle histoire, nouveaux challenges. On aime et on partage !
---à suivre------------------
-Miam c'est trop délicieux! -Merci ravie que ça te plaise. -Ça doit être ça les avantages d'avoir une petite sœur qui sait faire de bonnes choses avec ses mains... -Hum ne me flatte pas trop ! Répondit Lina en regardant sa grande sœur du coin de l'œil. C'était le quotidien de Lina et Valencia. Ces sœurs avaient perdu leur parent dans un terrible accident de voiture alors qu'elles étaient adolescentes. Valencia était la plus grande. Femme battante et très protectrice, elle avait pratiquement élevé sa petite sœur. Elle a commencé à travailler aussitôt après la mort de leurs parents. Malgré la douleur elle ne s'autorisa pas à s'apitoyer trop longtemps car elle voulait être forte pour sa petite sœur. Elle travaillait dans une clinique et gagnait un maigre salaire qui les aider à faire l'essentiel.
L'avion vient de se poser sur le sol gabonais, nous ralentissons jusqu'à ce que ce que je vois les gens se bousculer pour descendre leurs bagages à main, enfin je réalise que je suis arrivé. Je me lève et récupère mon trolley de toute façon j'ai que ça comme bagage. Je passe les procédures sans problème avec un passeport diplomatique ç'est expéditif. Bled pourri, je sors et pose mes lunettes de soleil et pose ms lunettes de soleil sur mon nez. Revenir de Tokyo après un périple d'escale et atterrir à cette heure à Libreville c'est juste bof.
Le silence a sa propre éloquence dixit quelqu'un Et quand la vérité prends l'ascenseur le mensonge emprunt les excaliers
#My_Best_Friend 1 ( PROLOGUE ) Vous êtes déjà tombé amoureux de quelqu'un qui ne vous a jamais remarqué vous ou votre amour ? Avez-vous déjà souffert de l'entendre t'appeler mon ami quand tu aimerais qu'il t'appelle mon amour ? Vous l'avez déjà vu s'agrippé autour de beaucoup de filles sur votre nez pendant que vous êtes vertes de jalousies ? Vous êtes-vous déjà senti aussi brisé parce que votre amour n'a jamais été rendu ? Eh bien, c'est ce qui s'est passé avec Dora, elle vient d'une famille ordinaire, simple et de bon cœur. Voici Dave Morgan, le fils d'un riche ministre, Il est beau, riche et admiré par beaucoup de filles. Vous vous demandez peut-être comment ces deux-là se sont rencontré ?. Eh bien, la mère de Dora travaille dans le manoir de Dave en tant que femme de ménage. Dora a toujours accompagné sa mère à chaque opportunité qu'elle a, ensuite elle a rencontré Dave et depuis, leur amitié s'est développée sans aucune attaché. Ce n'est qu'à ce qu'elle atteigne l'âge de la puberté et qu'elle puisse comprendre ce que signifie l'amour et qu'elle a commencé à se rendre compte qu'elle aime son meilleur ami. Il est devenu son fantasme, son homme de rêve, son seul amour mais pour lui, elle n'était qu'une amie. Pendant des années, elle a dû le regarder changer de petite amie et même si ça faisait mal, elle l'a bien caché. Parfois elle se demande si elle doit lui dire ou si elle doit vivre en silence pour toujours Mais soudainement, l'intérêt que Dave commence à porter pour Stella, son ennemi mortel à l'école a rendu les choses compliqués Qui est Stella pour Dora ? Maintenant que va t'il se passer ? Est-ce que le riche et beau Dave va tomber amoureux de Dora ? .. Entre Romance, Trahison, Infidélité, Lycée, Comédie, Haine, Suspense : Je vous présente My Best Friend
Kinsley essayait la robe de mariage, quand soudain l'homme a fait irruption dans la cabine d'essayage et a serré son cou fermement. "Salope ! Tu essayes encore de jouer à l'innocente !" Levi a dit en resserrant son étreinte sur son cou et l'étrangler solidement. Ensuite, il a sorti son téléphone de la poche de son costume avec son autre main et a joué la vidéo de deux personnes faisant l'amour devant Kinsley... Cependant, ce qui était encore plus choquant, c'était que la femme de la vidéo était Kinsley Roche, cependant, l'homme dans la vidéo n'était pas Jasper. Kinsley a lutté pour prendre le téléphone des mains de Jasper et a essayé d'expliquer, "Levi, ce n'est pas ce que tu penses. Je. Je peux." Levi a regardé Kinsley avec des yeux pleins de dégoût, en disant," Annulons le mariage. Je ne peux pas épouser une femme comme toi." Après avoir dit cela, Jasper a quitté la boutique. Kinsley a poursuivi Levi... Mais alors elle voit Jasper embrasser passionnément sa sœur Eloise. Et elle entend tout, que son sommeil avec des hommes étranges était tout un plan des vipères des deux derniers jours, et que leur but était de sortir de ce mariage stupide. Même ses parents adoptifs étaient également impliqués dans cette affaire... Ils ont tous fait cela avec elle à cause de l'héritage laissé par son grand-père... Le cœur de Kinsley était rempli de colère et elle voulait révéler leur vrai visage au public... Cependant avant qu'elle puisse faire quoi que ce soit, Eloise l'avait poussée devant la voiture et elle a été tuée... Cependant, quand Kinsley a ouvert ses yeux, elle s'est trouvée assise dans la voiture avec Eloise... Elle a réalisé qu'elle était revenue et a retourné au moment où tout a commencé... Kinsley a regardé les personnes qui l'avaient blessée dans sa vie précédente et ses lèvres se sont relevées en un sourire froid... Elle était de retour... Cependant, cette fois... elle était de retour pour se venger...
Janice, l'héritière légitime perdue depuis longtemps, a fait son retour auprès de sa famille, s'efforçant de gagner leurs cœurs. Pourtant, elle a dû renoncer à son identité, à ses diplômes et à ses créations au profit de sa sœur adoptive. En échange de ses sacrifices, elle n'a trouvé aucune chaleur, seulement une négligence plus profonde. Résolue, Janice s'est juré de couper tout lien avec sa famille. Transformée, elle est désormais un maître des arts martiaux, maîtrisant huit langues, une experte médicale estimée et une styliste célèbre. Avec une détermination nouvelle, elle déclare : « À partir d'aujourd'hui, personne dans cette famille ne pourra me désobéir. »
Cinq ans après leur mariage, Hannah a surpris Vincent en train de se glisser dans un hôtel avec son premier amour, la femme qu'il n'avait jamais oubliée. La scène lui a tout dit : il l'avait épousée uniquement parce qu'elle ressemblait à son véritable amour. Bouleversée, elle l'a piégé pour qu'il signe les papiers du divorce et, un mois plus tard, elle lui a dit : « Vincent, c'est fini. Que votre lien ne se rompe jamais. » Les yeux embués de larmes, il l'a prise dans ses bras avec désespoir. « C'est toi qui es venue vers moi en premier. » La société de Hannah s'est mis alors à prospérer, s'élever rapidement vers une introduction en bourse. Lors de l'événement, Vincent l'a vue serrer la main d'un autre homme. Dans la cabine d'essayage, il l'a acculée, les larmes aux yeux. « Il est vraiment aussi parfait que ça ? Hannah, je suis désolé... épouse-moi à nouveau. »
Il était une fois, il y avait deux royaumes qui vivaient en paix. Le royaume de Salem et celui de Mombana... Jusqu'au jour où le roi de Mombana est décédé et un nouveau monarque a pris la relève, le prince Cone. Le prince Cone avait une envie croissante de pouvoir après son couronnement, il a alors décidé d'attaquer Salem. L'attaque était si inattendue que Salem ne s'y est jamais préparé. Ils ont été pris au dépourvu. Le roi et la reine ont été tués, le prince héritier a été réduit en esclavage. Les habitants de Salem qui ont survécu à la guerre ont également été réduits en esclavage, les terres leur ont été enlevées et les femmes sont devenues des esclaves sexuelles. Ils ont tout perdu. Le mal s'abat sur le pays de Salem portant le nom du prince Cone, et le prince de Salem dans son esclavage était rempli de rage. Lucien, le prince de Salem, jura de se venger. 🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳🌳 Dix ans plus tard, Lucien, à l'âge de trente ans, a organisé un coup d'État et a échappé à l'esclavage. Ils se sont cachés pour récupérer. Ils s'entraînaient jour et nuit sous la direction de Lucien intrépide et froid qui était motivé par son aspiration de récupérer les terres de ses ancêtres et de s'approprier le territoire de Mombana. Il leur a fallu cinq ans avant de tendre une embuscade et d'attaquer Mombana. Ils ont tué le prince Cone et ont récupéré tout ce qui leur revenait de droit. Alors qu'ils criaient leur victoire, les yeux de Lucien se sont posés sur la fière princesse de Mombana. La princesse Danika, fille du prince Cone. Lucien la fixait avec les yeux les plus froids qu'on n'a jamais vus, il sentit la victoire pour la première fois. Il marcha jusqu'à la princesse avec la chaîne d'esclave qu'il avait portée pendant dix ans et qui cliquetait dans sa main alors qu'il marchait. Il s'approcha d'elle et d'un mouvement rapide, il lui colla le cou. Puis, il lui releva le menton, fixant les yeux les plus bleus et le plus beau visage, il lui fit un sourire froid. « Tu es mon acquisition. Mon esclave personnelle et sexuelle. Ma propriété. Je te paierai à la pelle, tout ce que toi et ton père avez fait à moi et à mon peuple », déclara-t-il sèchement. La haine pure, la froideur et la victoire étaient la seule émotion sur son visage.
En public, elle était la secrétaire de direction du PDG. En privé, elle était l'épouse qu'il n'avait jamais officiellement reconnue. Lorsqu'elle a appris qu'elle était enceinte, Jenessa était folle de joie. Mais cette joie a cédé la place à la peur lorsque son mari, Ryan, a ravivé la flamme avec son premier amour. Le cœur lourd, elle a choisi de le libérer et de partir. Lorsqu'ils se sont revus, l'attention de Ryan a été attirée par le ventre proéminent de Jenessa. « Tu portes le bébé de qui ? » a-t-il demandé. Mais elle s'est contentée de se moquer. « Ça ne te regarde pas, mon cher ex-mari ! »
"Moi, Louise Laurent, je me tiens devant toi, Gérard Langlois , le cœur lourd. Par la présente, je te rejette en tant que mon âme sœur. Le lien que nous avons jadis partagé est devenu fragile, et mon âme aspire à un chemin différent. Puisses-tu trouver le réconfort dans l'amour d'une autre, et puissions-nous tous deux trouver le bonheur que nous recherchons." Gérard n'a pas dit un mot et m'a regardée. Mais il a refusé d'accepter. *********** Louise Laurent est la prochaine Alpha en ligne de la meute de la bande de cendre. Elle cache son identité et s'accouple avec l'Alpha Gérard Langlois de la meute du Lac de Lune, . Trois ans ont passé, mais Gérard refuse toujours de laisser partir son amour d'enfance. Louise est maltraitée et finalement calomniée par cet amour d'enfance. Maintenant, elle part avec cette humiliation et retourne à sa meute, jurant de se venger de ceux qui lui ont fait du mal. Ils attendaient tous qu'elle revienne et implore leur pardon, mais que se passe-t-il lorsqu'ils réalisent que la célèbre meute du Band de Cendre, qui allait aider à la guerre contre les loups solitaires, était dirigée par une femme nommée Louise Laurent . Maintenant, ses Ex partenaires la veulent de retour. Les autres Alphas veulent cette femme... Mais va-t-elle accepter l'un d'eux ? Ou va-t-elle rester indépendante pour toujours ?...
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