Si on prenait chacun de vos défauts pour en faire un personnage fictif, qui serait-il ? Voici les miens ! Un de mes personnages revient dans cette histoire, Henry va essayer de se débarrasser de son frère en côtoyant les autres, va-t-il réussir ?
Si on prenait chacun de vos défauts pour en faire un personnage fictif, qui serait-il ? Voici les miens ! Un de mes personnages revient dans cette histoire, Henry va essayer de se débarrasser de son frère en côtoyant les autres, va-t-il réussir ?
Chambre 2B-43 - Henry
C'est un choix que j'ai fait, vivre enfermé et fou mais heureux. En fait je vivrais bien libre et fou mais jamais les médecins me laisseront partir.
Pour faire une histoire courte depuis que mon frère jumeau est mort je le vois en fantôme, le médecin dit que c'est pour combler un manque. Quel manque ? C'est lui qui faisait une fixation sur le fait qu'on était quasi fusionnel, qu'on ressentait l'émotion de l'autre. Quand on était jeune, j'étais timide alors je me suis collé à lui pour faire partie de sa bande.
L'an passé il est décédé d'une overdose, au moment où je l'ai appris, il était déjà chez moi. J'ai tout essayé pour l'ignorer mais il trouvait toujours un moyen pour que je me trahisse. Donc pour l'instant on coexiste dans cette petite chambre sans fenêtre. Je vois le médecin une fois par jour, en fait on voit le médecin, il est beaucoup plus présent dans ce temps là et c'est compréhensible.
- Tu sais que je t'entends ? : Dit-il.
- Oui je sais, j'essayais juste de me rappeler comment tout ça avait commencé mais j'ai pas vraiment envie de te parler là. Tu feras ton numéro devant le médecin tout à l'heure.
- Me semble que ça fait longtemps qu'on a pas joué au baseball, tu te souviens quand j'avais arraché la branche d'un arbre pour me faire un bâton.
- Commence pas avec ça, je l'ai entendue une centaine de fois cette histoire-là.
- T'as déjà songé à ce que les gardiens voient sur les caméras ? Ça doit être spécial de voir quelqu'un se parler à soi-même !
- Au point où j'en suis je m'en fout un peu tu sais. T'as juste à t'en aller et le problème sera réglé.
- Tu sais que je ne peux pas faire ça frérot...
- Je t'arrête tout de suite avant que tu dises quoique ce soit, je t'ai demandé de la fermer tout à l'heure.
J'ai pris une grande inspiration. Tous les jours je me posais les mêmes questions, Comment faire pour m'en débarrasser ? Qu'est-ce qui avait déclenché ça ? Était-ce dû à la mort de ma mère ?
- Être ou ne pas être voilà la question.
Il ne pouvait pas s'empêcher de placer une phrase
- La ferme ! L'autre débile s'en vient bientôt. C'est rendu que je parle comme toi, tout le monde est stupide mis à part toi.
- T'as raison par rapport à ça, le docteur est un vrai arriéré .
J'ai essayé de lui donner sa chance mais sa médication ne fonctionne pas, la seule chose de bien c'est que je peux dormir la nuit, c'est tout. Dès que j'ouvre les yeux tu es là.
Toc, toc, toc.
- Bonjour Monsieur Sico.
- Je vous ai demandé de m'appeler Henry, c'est mon grand-père qui se faisait appeler comme ça.
- Comment allez-vous aujourd'hui ?
- Pareil qu'hier, je peux déjà répondre à toutes vos questions. Jean est là, il me parle. Je n'ai pas vu d'amélioration dans votre traitement et je sais, selon vous ce n'est pas la médication qui va régler le problème.
- Oui c'est vrai, il faut que vous acceptiez sa mort pour le laisser partir.
- Je l'avais déjà accepté et il n'était même pas encore mort. Alors il peut foutre le camp maintenant !
Jean s'en est mêlé:
- Tu devrais demander d'avoir une femme comme intervenante ça serait plus plaisant à regarder.
- Je ne comprends pas pourquoi vous n'arrivez pas à trouver la solution, c'est vous le spécialiste.
- Tu vois bien que c'est un incompétent, tu te souviens du médecin que papa avait quand on était jeune, bien c'est la même chose.
Le médecin voyait que je commençais à m'impatienter, alors il dit:
- Je vais revenir demain.
- C'est ça revenez demain pour me répéter encore la même chose !
La porte s'est refermée.
Fidèle à lui même mon idiot de frère s'est mis à chanter une de ces maudites chanson de Sinatra.
'''And now, the end is near
And so I face the final curtain
My friend, I'll make it clear
I'll state my case, of which I am certain ''
Chambre 2B-44 - Jessie
Jessie est apparue dans mon cadre de porte.
- Salut Henry, je te dérange ?
Mais c'est Jean qui a répondu en premier.
- Regarde Henry, c'est ta petite copine.
J'ai regardé mon frère et lui ai dit de la fermer. Ce qu'il a fait et j'ai poursuivi:
- Salut Jessie, non tu ne me dérange pas, je vais pouvoir oublier mon idiot de frère pendant quelques instants. Comment ça va aujourd'hui ?
- Moi ça va mais mon père me boude encore et ça, depuis qu'on a franchi les portes de cet institut. Il ne réalise pas qu'il est la cause de tout ça.
Il y a quelques mois, son père a eu un grave accident de voiture et il est décédé. Pendant ses obsèques, elle s'est approchée de sa tombe et elle l'a entendu parler. Elle s'est mise à courir vers sa mère en hurlant que son père était toujours en vie mais elle ne l'a pas cru. Ensuite à l'enterrement il a continué d'émettre des sons.
- Chérie, aide moi, je suis toujours vivant. Elle l'entendait frapper sous le couvercle.
Sa mère l'a retenue de toutes ses forces. Puis le lendemain matin, elle l'a surprise en train de converser avec lui à la table. Personne ne la croyait et c'est ce qu'il l'a mené tout droit dans cet institut.
- Jess ?
Sans réponse.
- Jessie ?
- Excuse-moi j'étais perdu dans mes pensées.
- Tu songeais encore à ton histoire.
- Oui, j'aimerais ça si on pouvait s'entraider dans notre cheminement.
- Pas de problème, l'important c'est de ne pas les ignorer, ça ne donne rien.
- Bon je te laisse, on se revoit tantôt.
- À plus tard.
Jessie est retourné dans sa chambre, son père était dans le coin et ne bougeait pas. Elle lui dit:
- Pourquoi on essaierait pas de vivre dans l'harmonie le temps qu'on sorte d'ici.
Il a pris son ton de père de famille:
- Je veux que tu nous sortes d'ici au plus vite, c'est tout.
- Pourquoi te fâches-tu ?
- Je ne sais pas ce que ta mère fait en ce moment et ça me rend fou.
- Je vais faire un peu de lecture avant d'aller dîner dans la salle commune, si tu changes d'idée fais-moi signe ?
Il a marmonné quelque chose mais je n'ai pas compris.
J'ai pris un livre, je me suis assise sur le lit et j'ai commencé à lire.
Elliana, la vilain petit canard mal-aimée de sa famille, était humiliée par sa demi-sœur Paige, que tout le monde admirait. Paige, fiancée au PDG Cole, était la femme parfaite... jusqu'à ce que Cole épouse Elliana le jour du mariage. Choqués, tous se demandaient pourquoi il avait choisi cette femme laide. Alors qu'ils s'attendaient à ce qu'elle soit rejetée, Elliana a stupéfié tout le monde en révélant sa véritable identité : guérisseuse miraculeuse, magnat de la finance, prodige de l'évaluation et génie de l'intelligence artificielle. Lorsque ceux qui avaient maltraité Elliana ont exprimé leurs regrets et imploré son pardon, Cole a révélé une photo stupéfiante d'Elliana sans maquillage, provoquant un véritable choc dans les médias. « Ma femme n'a besoin de l'approbation de personne. »
[AVERTISSEMENT : CONTENU ÉROTIQUE] "Chaque fois que vous enfreignez une règle, je revendiquerai une partie de votre corps comme mienne" Forcée d'épouser l'héritier du plus grand syndicat mafieux pour payer la dette de ses parents et les factures d'hôpital de sa grand-mère. "Vivez avec mon fils pendant 30 jours, si vous ne tombez pas amoureux de lui, j'annulerai ce contrat." Malissa peut-elle vivre avec le beau, chaud et dominateur Hayden pendant 30 jours sans tomber sous son charme ? Cependant, il y a des règles pour vivre avec ce monstre vigoureux et, à mesure que Malissa les enfreint, elle découvre des plaisirs dont elle ignorait l'existence. Alors que ses contacts l'enflamment, son cœur commence à fondre. Mais les deux ont-ils un avenir ensemble alors que Hayden est amoureuse de quelqu'un d'autre et que Malissa n'arrive pas à se remettre de son ex-petit-ami ? LISEZ MAINTENANT pour le savoir !
On l'a toujours traitée comme une erreur, une honte. Belinda Wright, fille illégitime, a grandi dans le mépris et l'humiliation. Même son mariage avec Lucas Clark, héritier froid et charismatique, s'est révélé n'être qu'un mensonge : un sacrifice pour protéger une autre femme. Trahie, rejetée et brisée, Belinda disparaît... pour renaître trois ans plus tard, transformée, mystérieuse et irrésistible. Mais son retour bouleverse tout : son ancien mari, persuadé de s'être débarrassé d'elle, ne parvient pas à ignorer la femme qu'elle est devenue. Entre la jalousie de Verena, la haine de sa famille, et les secrets enfouis qui refont surface, Belinda devra choisir : se venger de ceux qui l'ont humiliée... ou écrire sa propre destinée. Dans ce jeu d'amour, de pouvoir et de mensonges, qui sortira victorieux ? Et si la véritable faiblesse de Lucas n'avait jamais été son père... mais Belinda elle-même ?
Médecin de renommée mondiale, PDG d'une société cotée en bourse, mercenaire la plus puissante et génie technologique de premier plan, Marissa était une femme aux innombrables identités secrètes. Elle a caché sa véritable identité et s'est mariée avec un jeune homme apparemment pauvre. Cependant, à la veille du mariage, son fiancé, qui était en fait l'héritier perdu d'une riche famille, a annulé les fiançailles, l'a rabaissée et s'est moqué d'elle. Lorsque son identité cachée a été révélée, son ex-fiancé était stupéfait et l'a désespérément suppliée de lui pardonner. Un magnat influent et intimidant devant Marissa a déclaré d'un ton possessif : « C'est ma femme. Qui ose l'approcher ? »
Résumé Amélie Conley, héritière de l'illustre lignée des Alphas Conley, avait grandi sous le poids d'un destin tracé avant même sa naissance. On l'avait élevée pour régner, pour porter l'honneur et la puissance de sa famille. Mais à seize ans, le jour où son loup aurait dû s'éveiller, rien ne vint. Le silence de la bête marqua sa chute. Dès lors, on la désigna comme une honte vivante - « la Malédiction des Conley » - une tache indélébile sur un nom sacré. Deux ans plus tard, elle crut entrevoir un miracle : l'amour. Elle avait trouvé son âme sœur, et bientôt, la vie s'était nichée en elle. Elle s'était imaginé des lendemains lumineux, où son enfant serait la preuve que le destin n'avait pas tout pris. Mais son rêve s'effondra en un souffle. En entrant sans prévenir dans la demeure de son compagnon, elle découvrit la trahison incarnée - lui, enlacé à sa propre sœur, Flora. La douleur fut violente, brûlante, presque irréelle. Pourtant, rien ne la prépara à ce qui suivit. D'un ton glacial, il lui annonça que son lien avec elle n'était qu'une erreur. Que sa véritable compagne, c'était Flora. Le rejet fut total. Amélie, humiliée, détruite, ne vit d'autre issue que la fuite. Elle devait partir. Pour elle. Pour l'enfant qu'elle portait. Mais la liberté ne vint pas sans prix. Avant même d'atteindre les limites de son territoire, elle fut prise en chasse. Les siens la pourchassaient, comme une bête traquée. Le vent hurlait dans ses oreilles, son souffle se brisait, la peur lui labourait le cœur. Elle s'effondra au bord du monde, le corps épuisé, le ventre serré de douleur et d'instinct. Et ce fut là qu'il la trouva. Un homme à la présence sauvage, au regard incandescent. Gabriel Sinclair. Certains murmuraient son nom comme une prière, d'autres comme une menace. Lui, le Prince Alpha. Celui qu'on surnommait le Tyran Noir. Pendant douze années, il avait traversé royaumes et frontières à la recherche de sa compagne promise par la Déesse de la Lune - une quête vaine, jusqu'à ce soir-là. Car dès qu'il croisa les yeux d'Amélie, le monde s'immobilisa. Son timbre était grave, presque rauque quand il parla, chaque mot chargé d'une autorité instinctive. - On t'a déjà marquée, n'est-ce pas ? Le silence d'Amélie fut sa seule réponse, mais il n'avait pas besoin de plus. Il sentit le secret battre sous sa peau. Ses doigts se crispèrent légèrement. - Dis-moi qui a osé te prendre avant moi, murmura-t-il, sa voix vibrant d'un mélange de colère et d'avidité contenue. Elle détourna les yeux, incapable de supporter l'intensité du regard du Prince. Elle ignorait alors que cet homme, ce sauveur tombé du crépuscule, n'était autre que la légende sombre que les meutes redoutaient : Gabriel Sinclair, le Prince Alpha. Celui dont le nom seul suffisait à faire trembler les frontières - et à bouleverser le destin d'une femme qui n'avait plus rien à perdre.
Belinda pensait qu'après le divorce, ils se sépareraient pour de bon. Il pourrait vivre sa vie comme il l'entendait, tandis qu'elle pourrait profiter du reste de la sienne. Mais le destin en a voulu autrement. « Ma chérie, je me suis bien trompé. Veux-tu revenir vers moi ? » L'homme, qu'elle aimait autrefois profondément, a baissé humblement sa tête fière. « Je te supplie de revenir vers moi. » Belinda a froidement repoussé le bouquet de fleurs qu'il lui offrait et a répondu : « C'est trop tard. »
© 2018-now Kifflire
TOP
GOOGLE PLAY