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Tout commence dans une école militaire. aalyia une jeune fille qui subit beaucoup d'injustice depuis petite. elle va rencontre Jeremy un militaire qui a du arreter suite a une blessure au genou, découvrez leur univers
Tout commence dans une école militaire. aalyia une jeune fille qui subit beaucoup d'injustice depuis petite. elle va rencontre Jeremy un militaire qui a du arreter suite a une blessure au genou, découvrez leur univers
Tout a commencé 5 jours avant les rentrée scolaires, plus précisément le 30 août à quinze heures. Mes parents mon inscrit dans une École militaire à cause de mon comportement. L'année dernière je me suis faite viré 4 fois de différentes écoles. Mes parents en avaient marre de moi, pour eux je suis trop insolente.
Je ne me suis pas présentée, je m'appelle Aalyia Smith et j'ai 17 ans. Je fais 1m68, avec un poids proportionné un peu en dessous de la normal, mes cheveux sont châtain clair et m'arrivent à la moitié du dos, mes yeux sont bleu clair. J'ai un caractère bien à moi, je suis insolente pour cacher mes vraies émotions.
Ça fait 5 minutes que j'attends devant l'École militaire, mes parents m'ont déposée devant la grande grille et ils sont repartis directement sans attendre, à croire que mon sort ne les préoccupe pas.
Un militaire approche de la porte. Un grand brun aux yeux bleus avec des cheveux châtains clairs coupé court comme le veut la loi des militaires.
- Bonjour Aalyia ! dit-il avec un sourire en venant m'accueillir.
-Excusez moi mais on se connaît ?! Qui être vous pour oser m'appeler par mon prénom ?! dis-je énervée par son manque de respect.
-Je suis le colonel Cullen Jérémy. tu sais Aalyia, tu devrais faire attention à ce que tu dis, si tu ne veux pas être puni dès ton arrivée!
-Je ne t'ai pas demandé de me raconter ta vie, je m'en contre fiche ! Va voir ailleurs si j'y suis !
Le colonel respire bruyamment tout en gonflant sa poitrine, preuve qu'il n'aime pas que je le remette à sa place.
- Tu vas me parler autrement jeune fille ! Premièrement, je ne suis pas ton pote et deuxièmement, sache que je suis responsable de toi que tu le veuilles ou non, jusqu'à ce que tu partes de cet établissement ! Ici tous les professeurs ont en charge un ou plusieurs élèves.
- Et puis-je savoir pourquoi ? demandé-je.
- C'est ainsi que l'école fonctionne. Et puis tu as de la chance que ce soit moi qui m'occupe de toi, car je suis patient! Ça aurait été un de mes collègues, je peux te garantir que tu aurais déjà été sanctionné pour ton comportement inadmissible envers ton supérieur !
- Mais pourquoi vous, vous occupez que de moi vous ?
-C'est comme ça et c'est tout ! dit-il fermement.
- Je suis désolé colonel si vous devez vous occuper de moi...
- Tu sais, c'est moi qui ai choisi, donc, tu n'as pas à t'excuser. Je vais te montrer ta chambre. Extinction des feux à vingt-et- une heure trente pour tout le monde, et debout à six heures pour tous.
- Est-ce-que il y a une veilleuse? Demandé-je anxieuse.
- Non, puis-je savoir pourquoi tu aurais besoin d'une veilleuse ? dit-il d'une voix plus douce.
-Non il n'y a rien à savoir ! dis-je un peu trop vite et froidement?
- Tu sais Aalyia, tu peux me le dire si y a quelque chose qui ne va pas . je ne suis pas qu'un militaire. Je suis aussi un être humain, ton tuteur, je m'occupe de toi, je dois donc veillez à ton bien-être. Tu n'es pas ici juste pour te faire dresser comme un vulgaire chien. Tu es un être humain, si je ne prends pas en compte tes peurs, tes doutes, qui va le faire ?
Ses mots résonnent dans ma tête, ça me touche, me réconforte.
- Tout simplement parce que j'ai peur du noir...
- Je vais t'en donner une, comme ça sera plus facile pour toi.
- Non merci colonel, je n'en veux pas ! Je me débrouillerais.
- Non je te la donnerais Aalyia et tu n'as pas ton mot à dire !
- D'accord colonel.
Je suis le colonel dans les couloirs, avec ma valise en main.
-On va dans ta chambre, je dois fouiller dans ta valise pour savoir si tu n'as pas d'objets illégaux. Dit-il.
La panique m'envahit, mon Dieu tout sauf ça ! Il ne faut pas qu'il trouve mes affaires. Si jamais il les voit... oh non je ne supporterais pas.
- Non s'il vous plaît ne la vérifié pas ! S'il vous plaît tout sauf ça !
- C'est la procédure, allez on y va !
On monte les marches, pendant tout le temps où l'on monte les marches, il m'explique le déroulement et le fonctionnement de l'école. il m'explique vaguement le règlement, puis on arrive dans une porte.
- Voici ta chambre. On rentre et je vérifie directement tes affaires, je n'ai pas envie de m'éterniser sur dessus.
- Non s'il vous plaît ne vérifiez pas ma valise. Promis, il n'y a rien d'illicite dedans. Dis-je désespérément mais en vain, car bien sûr il ne m'écoute pas.
Il prend ma valise la pose sur le petit bureau et il l'ouvre pour commencer l'inspection de celle-ci. Je me mets dans un coin de la chambre face au mur, je commence à pleurer silencieusement, les larmes dévalent mes joues sans que je ne puisse les arrêter. Les secondes paraissent des minutes, le temps devient long alors qu'il ne s'est passé qu'environ 5 minutes. Je sens quelqu'un qui me prend dans ces bras, je lève instinctivement la tête. J'ouvre ma bouche pour vouloir dire quelque chose mais le colonel me met directement ma tétine dans ma bouche et je la tète automatiquement ce qui a le don de me calmer instantanément.
-Tu sais Aalyia, je ne te jugerais jamais
-Tu sais Aalyia, je ne te jugerais jamais. C'est pour cela que tu peux tout me dire car peut-être que je suis un Daddy, qui sait ?
Je n'en reviens pas de ce qu'il me dit, il ne me juge pas, et m'accepte ainsi.
-Est-ce que vous êtes un Daddy colonel ?
Il se positionne devant moi en fléchissant ses genoux afin d'être à ma hauteur, il pose ses mains sur mes épaules et me regarde dans les yeux, comme un adulte le ferait avec un enfant pour le rassurer.
- Oui Aalyia, effectivement j'en suis un, mais sache que si tu as peur, si tu as des doutes, ou quoi que ce soit, tu peux même venir me voir en pleine nuit, d'accord ? dit-il avec un petit sourire qui me rassure.
- D'accord colonel.
- Ah oui j'avais oublié, je veux que tous les soirs tu me donnes ton téléphone à 21 heures, c'est non négociable.
- Colonel, si vous voulez, vous pouvez le garder toute la journée et je viendrais vous le demander pour le prendre le soir, justes 10 minutes, quand j'aurais fini je vous le redonnerais.
- C'est comme tu veux Aalyia, pour moi il n'y a pas de soucis.
Je sors automatiquement mon téléphone, l'éteint et je lui tends, il le prend et le met dans sa poche.
- Demain matin à 5 heures, je viens te réveiller et tu viendras courir avec moi. Dit-il.
- Je suis obligée ? je crains la réponse.
- Oui, je veux que tu sois en forme !
- Mais en dormant, je serais en forme colonel!
- Mais pas de ce sens là, je parle.
- Je peux juste vous posez une question colonel ? Est ce que vous faites du judo à l'école ?
- Ça fait deux questions ça, dit-il en souriant, alors pour te répondre, dans l'école non malheureusement, nous ne faisons pas judo. Pourquoi me poses-tu cette question ?
- Quand j'étais chez moi, je faisais du judo mais je vais devoir arrêter...
- Tu sais, si tu veux, je peux faire une exception, on peut en faire ensemble car moi aussi j'ai pratiqué le judo, ça fait longtemps que je n'en ai pas fait.
- Je ne veux pas vous donner du travail supplémentaire colonel, je suis certaine que vos journées sont déjà bien chargées. je ne voudrais pas abuser de votre temps, surtout si c'est à cause de moi, je m'en voudrais beaucoup.
-Oh tu sais, tu ne me déranges pas du tout, bien au contraire au moins je pourrais t'apprendre ce que je connais et puis cela me ferait entièrement plaisir.
C'est la première fois que quelqu'un qui ne me connaît pas est si gentil avec moi, ça me touche, mais je ne me sens pas digne qu'il m'apporte autant d'intention.
- Ne vous fatiguez pas pour moi, ce n'est pas la peine.
- Je ne te laisse pas le choix Aalyia, on fera du judo ! C'est un ordre.
- Merci mon colonel, dis-je avec un faible sourire.
- Tu as tes affaires de judo .
- Vous avez dû les voir dans ma valise, je les prends toujours avec moi.
- Tu vas les chercher je reviens tout de suite.
Je les cherche dans ma valise, les attrapes, puis finalement les laisses dedans. Je me pose sur mon lit et je commence à réfléchir, je me sens perdue. Sans m'en rendre compte je me mets à pleurer. Je suis comme dans un autre monde. Je n'ai pas entendu que le colonel Jérémy était revenu dans ma chambre.
- Aalyia ? Est-ce que ça va ? me demande-t-il inquiet.
- Ne vous inquiétez pas colonel, c'est juste que tout me manque... je ne me sens pas prête de mettre mon kimono.
- Dans ce cas, on en fera quand tu seras sûr d'être prête. Mais sache que si tu veux, on peut faire des compétitions entre nous. Le club ça ne sera que dans l'établissement par contre.
- Est-ce qu'il y a d'autres filles ou garçons qui font du judo ici ?
- Non, tu sais ici fait de la boxe pas de judo, mais toi ça sera une exception.
Il a fallu trois ans à Sabrina pour comprendre que son mari, Tyrone, n'avait pas de cœur. C'était l'homme le plus froid et le plus indifférent qu'elle ait jamais rencontré. Il ne la traitait jamais comme sa femme. Pour ne rien arranger, le retour de la femme bien-aimée de ce dernier a apporté à Sabrina des papiers du divorce. Le cœur de Sabrina s'est brisé. Espérant qu'il y avait encore une chance pour eux de faire fonctionner leur mariage, elle a demandé : « Petite question, Tyrone. Est-ce que tu divorcerais quand même si je te disais que je suis enceinte ? » « Absolument ! », a-t-il répondu. Comprenant qu'elle ne représentait rien pour lui, Sabrina a décidé de laisser tomber. Elle a signé l'accord de divorce alors qu'elle était allongée sur son lit de malade, le cœur brisé. Étonnamment, ce n'était pas la fin pour le couple. C'est comme si les écailles tombaient des yeux de Tyrone après qu'elle ait signé l'accord de divorce. L'homme autrefois si insensible a rampé à son chevet et l'a suppliée : « Sabrina, j'ai fait une grosse erreur. S'il te plaît, ne divorce pas. Je promets de changer. » Sabrina a souri faiblement, ne sachant que faire...
En tant que simple assistante, envoyer un message au PDG en pleine nuit pour demander des films pornos était une initiative audacieuse. Sans surprise, Bethany n'a reçu aucun film. Cependant, le PDG a répondu qu'il n'avait pas de films à partager, mais qu'il pouvait offrir une démonstration en direct. Après une nuit pleine de passion, Bethany était certaine de perdre son emploi. Mais au lieu de cela, son patron lui a proposé : « Épouse-moi, s'il te plaît, réfléchis-y. » « M. Bates, vous vous moquez de moi, n'est-ce pas ? »
Maia a grandi comme une héritière choyée, jusqu'à ce que la véritable fille revienne et la fasse accuser à tort. Avec l'aide de son fiancé et de sa famille, elle a envoyé Maia en prison. Quatre ans plus tard, libérée et mariée à Chris, le fils illégitime tristement célèbre, Maia était considérée par tous comme une perdante. Mais ils ont rapidement découvert qu'elle était en secret une joaillière renommée, une hackeuse d'élite, une chef cuisinière célèbre et une conceptrice de jeux vidéo de premier plan. Alors que son ancienne famille implorait son aide, Chris a souri calmement. « Chérie, rentrons à la maison. » C'est seulement à ce moment-là que Maia a réalisé que son mari « inutile » était en réalité un magnat légendaire qui l'adorait depuis le début.
Une fois qu'Alexia a été démasquée comme fausse héritière, sa famille l'a rejetée et son mari lui a tourné le dos. Le monde s'attendait à la voir s'effondrer, jusqu'à ce que Waylon, un influent homme d'affaires mystérieux, lui tende la main. Alors que les sceptiques attendaient qu'il la laisse tomber, Alexia a fait preuve de talents surprenants, laissant les PDG stupéfaits. Son ex-mari l'a suppliée de revenir, mais elle l'a repoussé et a croisé le regard de Waylon. « Chéri, tu peux compter sur moi. » Il a effleuré sa joue. « Mon amour, repose-toi sur moi. » Récemment, la scène internationale est bouleversée par trois désastres : le divorce d'Alexia, le mariage de Waylon et leur alliance imparable renversant ses adversaires du jour au lendemain.
Tout le monde savait qu'Amelia avait poursuivi Jaxton pendant des années, allant même jusqu'à se faire tatouer ses initiales sur la peau. Lorsque les rumeurs malveillantes se sont répandues, il a ajusté ses boutons de manchette avec indifférence et a ordonné à Amelia de s'agenouiller devant la femme qu'il aimait vraiment. Bouillonnant de rage, elle a jeté sa bague de fiançailles sur son bureau avec colère et est partie. Peu de temps après, elle a accepté la demande en mariage d'un milliardaire, et leur mariage a envahi tous les réseaux sociaux. Jaxton a cédé à la panique. « Elle t'utilise pour me rendre jaloux », a-t-il craché. Le milliardaire a simplement souri. « Être son protecteur est un honneur. »
Le geste le plus audacieux qu'Angela ait jamais fait dans sa vie fut de concevoir secrètement l'enfant de Jérémy, bien qu'elle sache qu'elle n'était qu'une marionnette à ses yeux. Jérémy était un homme perfide. Elle savait qu'il serait furieux s'il découvrait la grossesse. Pour obtenir sa liberté, elle l'agaçait intentionnellement jusqu'à ce qu'il ne puisse plus la tolérer. Dès qu'il l'a "larguée", elle s'est enfuie pour la sécurité de son bébé. Il ne fallut pas longtemps avant que Jérémy ne trouve cela louche. Il l'a retrouvée et l'a ramenée. Angela était effrayée et aussi fatiguée de lui. Après que tous ses stratagèmes pour se libérer aient échoué, elle cria : « Ne peux-tu pas simplement me laisser tranquille ? Je ne veux plus être à ton service ! » Un éclat chaleureux s'alluma dans les yeux de Jérémy alors qu'il regardait le bébé dans ses bras. « Qui a dit que tu devais me servir ? Puisque tu as été bonne avec moi par le passé, j'aimerais en faire autant. Et si, à partir de maintenant, c'était moi qui nous servait, toi et notre bébé ? » Angela n'en croyait pas ses oreilles.
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