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Certains pères sont appelés papa alors qu'ils sont juste des géniteurs. Un vrai papa ne fait pas ce que le mien m'a fait.
Certains pères sont appelés papa alors qu'ils sont juste des géniteurs. Un vrai papa ne fait pas ce que le mien m'a fait.
Mon coeur saigne, j'ai mal, je pourrais même dire que j'avais mal puisque la douleur s'est enfouie en moi je crois... j'ai longtemps trimé, j'ai fait une dépression, je suis tombée, j'ai essayé de me relever. Mais au fond de moi la douleur est toujours presente. Je la sens, je vis avec elle. Elle est devenue ma partenaire la plus intime, c'est compliqué mais je n'ai pas de choix. C'est ma vie. C'est mon histoire... j'ai pardonné à ceux là dont je considérais autrefois comme mes parents.
Je porte ce poids sur mes épaules depuis fort longtemps je veux que ça sorte, en vous racontant ce que j'ai enduré sera pour moi un moyen de degager cette epine plantée au centre de mon coeur, enfin je crois ça sera sûrement une sorte de thérapie... J'ai essayé de me questionner, j'ai essayé de comprendre mais je ne vois rien de compréhensif là dedans. Tout est flou. Tout est horrible, tout est noir, tout est méchanceté. Je me rappelle de ma joie de vivre, je me rappelle de cette joie d'avoir une famille, je me rappelle de tout comme un jeu. Et je n'arrive toujours pas à croire que j'ai vécu ces choses par mes propres parents. J'ai pleuré, hurlé, crié, j'ai tout fait pour pouvoir comprendre mais je n'ai rien compris de tout celà. Je voulais juste une chose mourir. La mort!!! Hahaha c'est quelque chose qui ne vient jamais lorsqu'on veut vraiment. Penser à se suicider est une autre alternative. Mais parfois même notre createur ne le veut pas, il refuse de te prendre. Dans ce cas tu es appelé à vivre avec ce lourd poid. Et chercher, puiser au fond de toi la force de pouvoir supporter et avancer dans la vie. C'est très difficile lorsque ça vient de nous, lorsque c'est à l'intérieur, nous pouvons parler des abus sexuels quand il s'agit des autres. Mais lorsque ça vient de nous, de notre sang, c'est de la sorcellerie, c'est de la méchanceté à la fin. Je me prénomme Karen. D'ailleurs c'est le seul prenom que je considère. J'avais décidé de laisser mon nom de famille derrière moi, ça me rappelait juste de la haine et du dégoût. Je ne pouvais plus accepter que l'on m'appelle sur ce nom. J'étais fille unique à mes parents à cette epoque. Je le dis parceque des événements se sont déroulés, vous le saurez au fur et à mesure qu'on avancera dans notre récit. Aujourd'hui j'ai 35ans. Je suis une jeune femme, j'ai longtemps pris sur moi mes agissements, je crois qu'il est temps que je m'exprime sur ces faits qui ont détruit ma vie et mes rêves. Je suppose que mes parents sont toujours en vie car depuis que j'étais partie de leur maison je n'avais plus cherché à avoir de leur nouvelles... J'avais exactement 12ans quand tout ceci avait commencé. J'étais tout pour mes parents surtout pour ma maman, elle était ma meilleure amie, ma confidente, ma complice. Ma mère etait femme au foyer. Elle ne travaillait pas. Par contre mon père etait bien situé, il etait riche. Mon père avait beaucoup d'argent au point où toute sa famille lui faisait les coups de jalousie, enfin c'est ce que je croyais. C'est ce qu'on me faisait comprendre. Mes cousines c'est à dire les enfants des frères de mon père venaient souvent à la maison, mais après plus personne ne venait. Quant à la famille de ma mère, c'était une famille qui ne s'enssortait du tout. Et du coup, tous comptaient sur la femme du milliardaire qui était ma mère. Ma mère ??? C'était une très belle femme, elle n'avait pas eu la chance de faire l'école. Elle avait arrêté l'école en classe de 3eme. Sa famille n'avait pas des sous pour qu'elle puisse continuer, il fallait sacrifier les filles pour permettre aux garçons de pouvoir continuer. Lorsque mes parents se sont mis ensemble, ma mère avait commencé a bénéficié des soins venant de son gars. Mon père prenait soin de ma mère jusqu'à sa famille. Mon père avait imposé le respect dans cette famille. Lorsqu'il arrivait, tout le monde se mettait droit y compris mon grand père. Quand je suis née, mes parents étaient un couple très heureux. Tout allait bien, le jour de ma naissance il a annoncé devant tout le monde que sa femme, la mère de ses enfants ne devaient pas travailler. Il a les moyens de s'occuper de sa famille et de sa belle famille. C'est comme ça que l'année qui suivait, ils se sont mariés. Il a offert une voiture à ma mère. Ma mère etait devenue une femme imposante dans sa famille et surtout la plus riche. C'est elle qui résolvait les problèmes de sa famille. Entre temps, elle etait la 4eme née., elle avait deux grandes soeurs et un grand frère. Elle avait deux petites soeurs. Plus rapidement elle avait commencé à gerer sa famille avec l'argent de son mari et plus rapidement elle est devenue une parvenue. Ma mère s'est faite de nouvelles copines, elle passait son temps à porter de nouvelles étiquettes. Mon père n'était jamais là toujours en mission. Je fréquentais dans une grande école de la ville comme les enfants des copines de ma mère. Elle valorisait tellement son epoux au point toutes les femmes l'enviaient. Papa : chérie mes collègues viendront ici demain, il faut faire tout pour qu'ils se sentent bien Maman : d'accord mon coeur j'ai compris Papa: merci Maman : je suis ta femme, je me dois de le faire, tu n'as pas à me dire merci. C'est la moindre des choses que puisse faire pour te montrer mon utilité dans cette maison Papa: ne t'inquiète pas, tu me rend heureux, tu gardes bien notre fille. C'est assez important pour moi Maman : merci mon amour Papa: et si on essayait de faire un petit frère à Karen Maman : dis moi juste que tu as envie de faire l'amour et je te dirai à vos ordres patron Papa: patron de quoi? Hahaha Maman : patron de mon coeur Papa : hahahaha viens là... Maman : je t'aime Papa : moi aussi C'était comme ça notre maison, toujours une harmonie, une gaité, tout était impeccable. J'étais encore petite je ne peux pas vous dire dans quoi travaillait mon père, mais je sais qu'il avait beaucoup d'argent. Maman : Karen tu es où ? Karen: oui maman ici Maman : viens ma chérie Karen : oui je suis là Maman : tu n'as rien oublié ? Karen: oublier comment maman ? Maman : c'est ton anniversaire demain. Tu as oublié ? Karen: oui j'ai complètement oublié. J'aurai 7ans Maman : non non tu auras 8ans Karen : 8ans? Maman : oui tu es vieille, tu vas apprendre à faire la vaisselle désormais... Karen: 😂😂😂😂 enfin Maman : tu es contente. On fera alors ton anniversaire le week-end prochain... Karen: pourquoi pas demain ? Maman : c'est l'école demain. Le week-end on va inviter les amis Karen: on pouvait aussi faire à l'école comme les autres amis le font Maman : et tes cousines alors ma cherie ? On va inviter tout le monde tu as compris? Ne te fâche pas, le week-end on fera ça bien. Karen: d'accord maman Le week-end qui suivait, on avait invité tout le monde. Mes parents m'ont fait une grande fête. C'était très beau. Ma mère avait tout fait pour que mon anniversaire soit comme un conte de fée avec de jolie couleur. Karen: merci papa Papa: de rien mon amour, je ferai tout pour toi car tu es ma fille... Karen: je t'aime Papa Papa : je t'aime aussi ma princesse J'aimais tellement cet homme, il etait mon ange gardien, mon héros, mon idole... je ne savais pas qu'un je le detesterai plus que tout au monde. Après mon anniversaire, mes amis sont rentrés, je suis restée avec mes cousines/cousins. Maman : vous allez dormir ici hein les enfants. Vos mères viennent de m'écrire là qu'elles viendront vous prendre seulement demain Karen: je suis trop contente, je ne serai pas seule aujourd'hui... Maman : allez donc prendre une douche, vous allez dormir Karen: D'accord maman... On a pris le bain et tout. Je ne sais pas à quelle heure je me suis endormie je sais seulement que aux environs de 3h j'ai entendu les éclats de voix dans la chambre de mes parents. Tout ce que j'avais retenu, c'était ma mère qui lui disait Maman : tu n'as pas honte, chaque jour? Ta propre nièce ? Je suis fatiguée de jouer à ce jeu, et cacher qui tu es.... pfffff C'est juste ce que je me rappelle de cette discussion... Un jeu??? Cacher qui tu es??? Il y'avait quelque chose déjà... Je ne savais pas que cette chose allait me coûter ma vie et mes rêves.... A SUIVRE...
Étant une lycéenne, elle tombe enceinte et déçoit son père qui la chasse de la maison.
Ne dit-on pas que celui qui trouve une femme trouve le bonheur surtout si c'est une femme vertueuse aux valeurs pieuses ? Une femme soumise et craignant Yahweh, le Dieu qu'Anicet Tamo, jeune ingénieur dans le monde du pétrole et résident en France, servait sans relâche en tant que bon chrétien. C'est donc désirant de trouver la chair de sa chair qu'il sera confronté à un choix déterminant où seul, le penchant spirituel de sa bien aimée lui servira de guide. Nous découvrirons tous si Anicet grâce à ses convictions spirituelles trouvera son bonheur, dans la nouvelle chronique.
Que se passe t'il quand une jeune femme devient l'objet de désire De l'homme le plus puissant du pays? Nia vient de perdre ses parents dans un accident à sa charge son petit frère Cédric et sa Grand-mère Amandine. Sans qu'elle ne le sache elle va attirer l'attention de Daniel le président de l'une des entreprises les plus puissantes de son pays. Que va t'il se passer dans la vie de cette jeune fille a peine sortie de l'adolescence ?
Je suis Nina Mendez, j'ai 22 ans et je suis la fille unique de ma mère. Cette dernière m'a eue avec un autre homme puis, elle a refait sa vie avec un autre donc, j'ai des demis frères. Si vous voulez vous regarder, lisez mon histoire car elle est incroyable... Je vous réserve une surprise.
C'est bien de demander pardon quand on agit mal mais est-ce que tout péché est vraiment pardonnable?
Qu'est-ce qui peut nous pousser à devenir meilleurs? À nous surpasser ou encore à faire des choses qu'on n'aurait jamais imaginé faire comme le bien ou le pire par exemple? Eh bien, c'est l'amour... Lisons cette histoire intitulée /Au nom de l'amour/.
La pluie de la Corniche d'Or s'écrasait contre notre pare-brise, tout comme mon estomac se tordait sous l'effet d'une douleur aiguë et familière. Marc conduisait, les jointures de ses doigts blanches, jusqu'à ce que son téléphone affiche « Inès ». Mon mari, son éternel toutou loyal, s'est évaporé en un éclair. « Élise, appelle un Uber. Inès a besoin de moi », avait-il déclaré, m'abandonnant malade et seule sur cette route sombre. C'était la neuvième fois que Marc choisissait son ex-petite amie plutôt que moi, sa femme. Le « neuvième adieu » d'un pari cruel orchestré par Inès il y a des années : « Neuf fois, Élise. Neuf. Et après, tu t'en vas. » Chaque incident était une blessure plus profonde : le dîner de notre anniversaire, mon opération d'urgence, l'enterrement de ma grand-mère. Je n'étais que son pansement, son « lot de consolation », un pion dans leur jeu tordu. Quelques jours plus tard, après qu'un accident d'ascenseur m'a laissée brisée et hospitalisée, Marc berçait Inès, sa terreur n'étant que pour elle. Je l'ai enfin vu avec une clarté glaçante : il ne m'avait jamais vraiment aimée. Mon mariage était un mensonge méticuleusement conçu, orchestré par Inès depuis l'université. Mon amour pour lui, cet espoir stupide et tenace, s'était finalement vidé, ne laissant qu'un vide douloureux. Mais le jeu était terminé. J'avais déjà signé les papiers du divorce qu'il avait négligemment oubliés, prête pour ma liberté. Quand Inès a plus tard tendu un piège vicieux pour m'humilier publiquement, m'accusant d'agression, un mystérieux inconnu est intervenu, changeant tout. C'était la fin d'un cauchemar, et le début de ma vraie vie.
Clara Turner, contrainte par les circonstances, dissimula sa véritable identité et accepta un mariage de convenance avec Marcus Sullivan, scellé par un contrat de trois ans. Animée par l'espoir secret de conquérir son mari par sa loyauté et son affection, elle donna tout d'elle-même. Mais, à l'échéance du contrat, Marcus la blessa cruellement en lui présentant les papiers du divorce, sans un regard en arrière. Le cœur en miettes, Clara signa et se retira dans l'ombre... pour mieux renaître. Elle redevint l'héritière flamboyante de l'empire Turner et laissa éclater ses véritables talents : milliardaire influente, génie de la médecine, hackeuse insaisissable et escrimeuse redoutée. Déterminée à ne plus jamais subir, Clara prit sa revanche. Elle humilia l'amour de jeunesse de Marcus lors d'une vente aux enchères et devint, par la force de son ascension, son adversaire le plus redoutable dans le monde des affaires. Acculé, Marcus finit par la confronter : - « Clara ! Faut-il que tu sois aussi impitoyable ? » Elle répondit d'un rire glacé : - « Ce que tu endures aujourd'hui n'est qu'un faible reflet de la cruauté que tu m'as infligée autrefois. »
En public, elle était la secrétaire de direction du PDG. En privé, elle était l'épouse qu'il n'avait jamais officiellement reconnue. Lorsqu'elle a appris qu'elle était enceinte, Jenessa était folle de joie. Mais cette joie a cédé la place à la peur lorsque son mari, Ryan, a ravivé la flamme avec son premier amour. Le cœur lourd, elle a choisi de le libérer et de partir. Lorsqu'ils se sont revus, l'attention de Ryan a été attirée par le ventre proéminent de Jenessa. « Tu portes le bébé de qui ? » a-t-il demandé. Mais elle s'est contentée de se moquer. « Ça ne te regarde pas, mon cher ex-mari ! »
La série Prise au piège - Épisode I : Prise au piège par le PDG Droguée par son ex, elle a passé une nuit exaltante pleine de sensualité avec un homme mystérieux. Pour prendre sa revanche, elle s'est mariée avec lui. « Tant que je serai encore en vie, je serai toujours légalement sa femme, alors que vous toutes ne serez rien que des maîtresses. » Elle s'est montrée inflexible même lorsqu'il s'est mêlé dans ces scandales avec d'autres femmes. Finalement, elle est partie furieuse après avoir appris qu'il l'avait encore une fois trahie. Mais la vie l'a ramenée à lui quelques années plus tard, à son plus grand étonnement. L'homme avait déjà obtenu tout ce qu'il voulait d'elle, mais elle ne parvenait pas à comprendre la raison pour laquelle il voulait encore la torturer et la tourmenter.
Dix-huit jours après avoir renoncé à Brendan Maynard, Jade Rousseau a coupé ses cheveux qui lui tombaient jusqu'à la taille. Elle a ensuite appelé son père, lui annonçant sa décision de partir en Californie pour étudier à Berkeley. Son père, stupéfait, l'a interrogée sur ce changement soudain, lui rappelant à quel point elle avait toujours insisté pour rester auprès de Brendan. Jade a esquissé un rire forcé, révélant la vérité déchirante : Brendan allait se marier, et elle, sa demi-sœur, ne pouvait plus s'accrocher à lui. Ce soir-là, elle a tenté d'annoncer à Brendan son admission à l'université, mais sa fiancée, Chloé Dubois, a interrompu leur conversation par un appel enjoué. Les mots tendres que Brendan adressait à Chloé ont été une torture pour Jade. Elle se souvenait du temps où cette tendresse n'appartenait qu'à elle, de la façon dont il la protégeait. Elle se souvenait aussi de lui avoir ouvert son cœur dans un journal intime et une lettre d'amour, pour le voir exploser de rage, déchirer la lettre en hurlant : « Je suis ton frère ! » Il était parti en claquant la porte, la laissant recoller méticuleusement les morceaux déchiquetés. Son amour, cependant, n'était pas mort. Pas même quand il avait ramené Chloé à la maison en lui ordonnant de l'appeler « belle-sœur ». Maintenant, elle avait compris. Elle devait éteindre ce feu elle-même. Elle devait arracher Brendan de son cœur.
Les rumeurs disent que Lucas a épousé une femme sans attrait et sans passé. Pendant les trois années de leur vie commune, il est resté froid et distant avec Belinda, qui l'a supportée en silence. Son amour pour lui l'a obligée à sacrifier son amour-propre et ses rêves. Lorsque le vrai amour de Lucas est réapparu, Belinda a compris que leur mariage n'était qu'un leurre depuis le début, un stratagème pour sauver la vie d'une autre femme. Elle a signé les papiers du divorce et est partie. Trois ans plus tard, Belinda est redevenue un prodige de la chirurgie et un maestro du piano. Perdu dans ses regrets, Lucas l'a poursuivie sous la pluie et l'a serrée contre lui. « Tu es à moi, Belinda. »
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