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Comme le titre l'indique déjà, allons ensemble à la quête du bonheur.
Comme le titre l'indique déjà, allons ensemble à la quête du bonheur.
Elle venait de se réveiller, je l'entendais pleurer à travers le baby phone. Je me suis levé malgré la fatigue pour la retrouver dans sa chambre, je l'ai prise dans mes bras et elle a instantanément cessé de pleurer. Je me suis alors dirigé vers la cuisine, je lui faisais son biberon avec une main et je la tenais avec l'autre. Elle rigolait, c'était un jeu pour elle sauf qu'elle gigotait dans tous les sens et ça m'empêchait de mettre le lait en poudre dans le biberon...
Moi : Em arrête de bouger, tu veux ?
Elle balbutiait je ne sais pas trop quoi, de toute façon elle parle en bébé et je ne comprends pas cette langue so...
J'ai quand même pu finir son biberon avant de m'asseoir dans mon fauteuil préféré et de la nourrir. Quand elle a fait son rot, je l'ai ramenée dans sa chambre et mise dans son berceau, elle voulait encore jouer la petite...
Moi : Papa est super super fatigué alors je vais te chanter une berceuse et tu vas fermer tes magnifiques yeux avant de te laisser emporter par Morphée, hum ?
Oui je m'amuse à faire des monologues avec elle, c'est peut être con mais c'est ça la vie de père célibataire, je crois.
Moi (en chantant) : Douce nuit, sainte nuit, dans les cieux, l'astre luit....
Désolé mais c'est la seule chanson qui m'est passée par la tête, c'est pas Noël et pourtant. Ce qui est sûr c'est qu'elle s'est endormie avec ça, le pouce dans la bouche. Elle était tellement mignonne, Emily, juste 10 mois dans ma vie et je suis déjà comblé. Ce n'est pas rose tous les jours, je n'ai quasiment plus de vie sociale, je souffre quand elle ne fait pas ses nuits certes mais à chaque sourire, à chaque « bababababa... », à chaque essai qu'elle fait pour marcher, je suis heureux et je ne regrette en rien de l'avoir...
Le matin même après m'être préparé pour aller au boulot, je suis passé dans sa chambre pour lui faire un bisou avant de m'en aller pour une longue journée de travail. Elle dormait paisiblement, ça me fendait le cœur de la laisser à chaque fois avec une inconnue, bon pas si inconnue que ça, ça fait quand même 8 mois que Mélanie, sa nounou de 35 ans, s'occupe d'elle. Je l'ai connue par le biais d'une de mes voisines super gentille et depuis tout se passe bien, elle prend bien soin de ma fille, c'est le plus important.
Je déteste prendre le métro, c'est toujours bondé de monde et ces gens ont des têtes plus déprimantes les unes que les autres, j'avoue que des fois j'ai cette tête-là mais ce n'est pas tous les jours non plus. Je vais devoir supporter ça le temps de m'acheter une voiture mais ça ne risque pas d'être pour tout de suite, un bébé ça coûte hyper cher.
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Je venais de finir mon déjeuner quand mon téléphone a sonné et merde j'allais passer un sale quart d'heure, je ne l'avais pas rappelée la dernière fois, elle ne va pas me rater !
Moi : Allô tante Betty !
TB : C'est pas la peine de faire la petite voix ici, pourquoi tu ne m'as pas appelée depuis là ?
Qu'est-ce que je vous disais ? Le pire c'est que son accent est drôle, donc c'est difficile de la prendre au sérieux quand elle est fâchée.
Moi : Désolé, j'étais débordé.
TB : Tchrouu dis-moi juste si ma petite-fille va bien !
Moi : Ahaha elle va bien merci.
TB : Elle a recommencé à ne plus faire ses nuits hein ?
Moi : Non maintenant ça va mieux, elle les fait. Par contre elle commence à manger un peu trop.
TB : Il ne faut pas la malparler ici, elle a pris ça chez toi. Je me souviens bien de ta gourmandise là.
Moi : Tante Betty arrête de m'afficher.
TB : Ahaha tu rigoles moins han ?! Bon mon fils c'était juste pour avoir de vos nouvelles, surtout n'oublie pas de m'en donner, au moins une fois par semaine.
Moi : Je tâcherai de me le mettre dans le crâne. Bonne journée Tata !
TB : Hey Chris !
Moi : Oui ?
TB : Le gardien m'a dit qu'elle est encore passée à la maison, ça fait deux fois quand même.
Moi : Ah ouais ? Ne t'inquiète pas, si tu la vois tu l'ignores. On ne lui doit rien.
TB : Okay. Porte toi bien mon fils !
Moi : Bises.
Click !
Il ne manquait plus que ça, qu'est-ce qu'elle essaie de faire comme ça ? Put*** elle m'a gâché la journée...
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Je suis rentré à 18h30 et j'ai trouvé Em et Mélanie en rires, elles jouaient sûrement. J'ai embrassé ma fille avant d'aller me changer. Je m'apprêtais à enfiler mon t-shirt quand j'ai entendu Mélanie crier mon nom, j'ai aussitôt accouru au salon et là j'ai vu la plus belle chose qui soit...Em faisait ses premiers pas, elle en a fait 4 avant de tomber sur ses pieds, je l'ai fait survoler dans les airs je savais qu'elle aimait trop ça. Plus je la regardais, plus je remarquais qu'elle ressemblait à sa mère, ce qui ne m'arrangeait pas les choses parce que je voulais l'oublier. Je sais que ce que j'ai fait est cruel, que ma fille ne me pardonnera probablement jamais mais je suis prêt à prendre ce risque...de toute façon je ne peux pas faire marche arrière, la machine est lancée et ce depuis un moment déjà.
Ma famille se situait au seuil de pauvreté et n'avait plus aucun moyen de payer ma facture de scolarité. Je devais travailler à temps partiel tous les jours pour joindre les deux bouts et payer mes études. C'est alors que je l'ai rencontrée - la jolie fille de ma classe avec qui tous les garçons rêvaient de sortir. Il était clair pour moi qu'elle était trop bien pour moi. Cependant, j'ai rassemblé tout mon courage et lui ai dit courageusement que j'étais tombé amoureux d'elle. À ma grande surprise, elle a accepté d'être ma petite amie. Elle m'a dit, avec le plus beau sourire que j'aie jamais vu, qu'elle voulait que le premier cadeau que je lui fasse soit le dernier iPhone. Un mois plus tard, mon dur travail a enfin porté ses fruits. J'ai pu acheter ce qu'elle voulait. Mais pendant que j'emballais mon cadeau, je l'ai vue dans les vestiaires en train d'embrasser le capitaine de l'équipe de basket. Puis elle s'est impitoyablement moquée de mes insuffisances et m'a ridiculisé. Pour couronner le tout, le type avec qui elle m'a trompé m'a même frappé au visage. Le désespoir m'a envahi, mais je ne pouvais rien faire d'autre que de m'allonger par terre et de les laisser piétiner ma fierté. Mais soudain, mon père m'a appelé et ma vie a été bouleversée. Il s'avère que je suis le fils d'un milliardaire.
Être la deuxième meilleure, c'est pratiquement inscrit dans mes gènes. Ma sœur recevait l'amour, l'attention, les feux des projecteurs. Et maintenant, même son foutu fiancé. Techniquement, Rhys Granger était maintenant mon fiancé : milliardaire, d'une beauté renversante, et un rêve ambulant de Wall Street. Mes parents m'ont poussée dans cet engagement après la disparition de Catherine, et honnêtement ? Ça ne me dérangeait pas. J'avais craqué sur Rhys depuis des années. C'était ma chance, non ? Mon tour d'être celle que l'on choisit ? Faux. Un soir, il m'a giflée. À cause d'une tasse. Une stupide, ébréchée et moche tasse que ma sœur lui avait offerte des années auparavant. C'est à ce moment-là que j'ai compris : il ne m'aimait pas. Il ne me voyait même pas. Je n'étais qu'un substitut à peine chaleureux pour la femme qu'il désirait réellement. Et apparemment, je ne valais même pas une simple tasse à café glorifiée. Alors je l'ai giflé en retour, largué sur-le-champ, et préparé la catastrophe : mes parents perdant la tête, Rhys piquant une crise de milliardaire, sa famille effrayante complotant ma perte prématurée. Évidemment, j'avais besoin d'alcool. Beaucoup d'alcool. C'est là qu'il est apparu. Grand, dangereux, injustement séduisant. Le genre d'homme qui vous donne envie de succomber rien qu'en existant. Je ne l'avais rencontré qu'une seule fois auparavant, et ce soir-là, il se trouvait justement au même bar que moi, en pleine autosatisfaction alcoolisée. Alors j'ai fait la seule chose logique : je l'ai traîné dans une chambre d'hôtel et arraché ses vêtements. C'était irréfléchi. C'était stupide. C'était complètement déconseillé. Mais c'était aussi : le meilleur sexe de ma vie. Et, il s'est avéré que c'était la meilleure décision que j'aie jamais prise. Parce que mon aventure d'un soir n'est pas qu'un type quelconque. Il est plus riche que Rhys, plus puissant que toute ma famille, et assurément plus dangereux qu'avec qui je devrais m'amuser. Et maintenant, il ne compte pas me laisser partir.
Joelle pensait pouvoir changer le cœur d'Adrian après trois ans de mariage, mais elle a découvert trop tard qu'il appartenait déjà à une autre femme. « Donne-moi un bébé, et je te libèrerai. » Le jour où Joelle a commencé à accoucher, Adrian voyageait avec sa maîtresse dans son jet privé. « Je me fiche de savoir qui tu aimes. Ma dette est payée. À partir de maintenant, nous n'avons plus rien à voir l'un avec l'autre. » Peu de temps après le départ de Joelle, Adrian s'est retrouvé à genoux en train de supplier. « S'il te plaît, reviens vers moi. »
Pendant dix ans, Daniela a fait preuve d'une dévotion inébranlable à l'égard de son ex-mari, avant de découvrir qu'elle n'était que une grande blague. Humiliée mais déterminée, elle a fini par divorcer. Trois mois plus tard, Daniela est revenue en grande pompe. Elle était désormais la PDG cachée d'une grande marque, une styliste recherchée et un riche magnat de l'industrie minière - son succès a été dévoilé lors de son retour triomphal. Toute la famille de son ex-mari s'est précipitée, désespérée, pour implorer son pardon et demander une nouvelle chance. Pourtant, Daniela, désormais chérie par le célèbre M. Phillips, les considère avec un dédain glacial. « Je ne suis pas de votre niveau. »
Toute ma vie, j'ai cru que mon Alpha, Kaëlen, était mon âme sœur. Un don sacré de la Déesse de la Lune. Mais la veille de mes dix-huit ans, il a présenté une autre louve, Séraphina, comme sa Luna. Il s'est servi d'un louveteau emprunté dans un complot cruel pour anéantir mon âme. Quand des Rogues ont attaqué notre meute, un lustre en argent s'est décroché et a chuté vers nous. Kaëlen a bondi. M'ignorant. Sans un regard. Il a protégé Séraphina de son corps. Me laissant là. Prête à être écrasée. Il ne s'est jamais retourné. Plus tard, après m'avoir accusée à tort de l'avoir blessée, il a traîné mon corps meurtri jusqu'à un bassin d'eau glacée et m'a poussée sous la surface. Alors que je luttais pour respirer, il s'est penché sur moi, sa voix un rugissement de commandement. « Si tu la touches encore une fois, je te retirerai ton nom et je ferai de toi une Rogue. » En voyant l'homme que j'aimais essayer de me tuer, le dernier de mes espoirs s'est finalement réduit en cendres. Cette nuit-là, j'ai accepté une offre pour rejoindre la meute de Bois-d'Argent. Puis, je suis allée à la forge et j'ai jeté dans les flammes chaque souvenir qu'il m'avait donné, regardant la fille qui l'aimait brûler et disparaître à jamais.
« Chassez cette femme ! » « Jetez cette femme dans la mer ! » Quand il ne connaîssait pas la véritable identité de Debbie Nian, Carlos Huo la méprisait. « M. Huo, elle est ta femme », lui a rappelé le secrétaire de Carlos. En entendant cela, Carlos lui lance un regard froid en se plaignant : « Pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt ? » Depuis, elle est pourrie gâté par Carlos. Personne ne s'attendait à ce qu'ils puissent se divorcer.
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