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Les choix de Ambre ♥️ Lisez le premier chapitre.
Les choix de Ambre ♥️ Lisez le premier chapitre.
Prologue:
La salle est pleine à craquer mais la seule chose dont je sois consciente ce sont les bras de mon cavalier. Nous nous tremoussons langoureusement sur la piste et j'aime la façon qu'il a de m'entrainer. Son envie voilée dans son regard nourrit mon orgueil de femme. Je sais que je ne devrais pas etre là, que cela me coutera peut etre cher, mais on ne vit qu'une fois.
Le Dj change de registre et je me mets à crier avec Alicia, mon amie devenue comme une soeur, car la chanson qui passe est ma préférée. C'est une chanson du groupe gabonais PFM: "memories". C'est notre chanson à nous et justement je l'ai connue avec elle. Elle vient vers moi et on chante à gorge déployée sous le regard narquois de Yannick:
Alicia/Moi: memories, memoriiiiiiiies, oh oh sweet memoriiiiiiiies, memoriiiiiiiies!!!
Ahhh c'est trop bien (oui je sais que ca fait tres vieux pour vous les lecteurs de Monica mais en ce temps là c'était le top pour nous, bref revenons à notre histoire). Et dire que dans la journée j'appréhendais de venir jusqu'ici. Il faut vraiment être casanière comme moi pour avoir pensé à refuser une telle offre étant seule à la maison. Fort heureusement, je ne suis pas totalement déconnectée de la réalité. Pendant que je pense à mon refus de venir plus tôt dans la journée, il se penche à mon oreille:
Yannick: Ca va?
Moi: Oui très bien.
Yannick: A quoi tu penses?
Moi: Je pense que j'aurais raté une bonne soirée si j'étais restée chez moi.
Yannick: Ah oui?
Moi" Oui c'est Alicia qui a insisté.
Yannick: Je lui en dois une alors. Veux boire quelque chose?
Moi: Juste un soda, je crois que j'ai la tête qui tourne maintenant à force de bouger.
Yannick: D'accord, viens la!
Il me serre par la taille et me conduit vers notre salon ou se trouve Alicia et Julien entrelacés. Il se saluent et on prend place également Je ne mentais pas lorsque je disais avoir la tete qui tourne. En fait, je crois avoir pris deux verres d'alcool, mais c'était apparemment deux verres de trop. En fait, mon père me tuerait s'il me voyait ici, en train de faire ce que je fais. Mais qu'est ce que ca peut bien faire? Il est absent ce soir. J'ai tout mon temps et je vais profiter au maximum avant de me faire engueuler pour des broutilles à nouveau..
Yannick me rejoint avec du soda que j'avale avec joie, il faut dire qu'il fait assez chaud ici. C'est insoutenable. Pendant que je finis mon verre, je sens son nez parcourir ma nuque. Sa main est discrètement posée sur la mienne, en dessous de la table, et je sens une intimité particulière entre nous. Je dandine sur le son de la musique mais ne trouve plus le courage de me relever, tout cela à cause d'Alicia. J'ignore dans quel endroit elle est allée décrocher cette paire d'escarpins mais je les trouves vraiment très hauts et assez inconfortables. Je dis à Yannick que je me sens lasse:
Yannick: Tu veux rentrer?
Moi: Toi tu veux rentrer?
Yannick en souriant: Je ferai comme tu le sens.
Moi: Je... hum j'aime bien être ici.
YAnnick: Mais tu sembles fatiguée. Le groove ne fuit pas tu sais.
Moi: ...
Pour des gens comme lui le groove ne fuit pas. Il peut y venir autant de fois qu'il le souhaite. Mais en ce qui me concerne, c'est une autre histoire malheureusement. Mais je préfère ne pas y penser maintenant, je suis venue profiter de ma soirée. Je l'exhorte donc à rester encore un peu et on retourne danser sur la piste.
Aux environs de 3h, on prend enfin le chemin de l'appartement de Yannick pour ce qu'ils appellent un after. Je me sens bouillante de joie. Alicia, avec qui je suis venue, a préféré monter dans une autre voiture, ce qui n'est pas si mal finalement vu qu'on a pu parler en chemin. Notre groupe de départ est encore plus nombreux ici mais Yannick ne me quitte pas d'une semelle.
YAnnick: Fais comme chez toi! Je vais parler avec mon cousin et je reviens d'accord?
Moi: D'accord!
En très peu de temps, la fatigue commence à se faire sentir ici et je m'installe dans un sofa, isolée des autres. J'aurais des souvenirs plein le cerveau après cela. Dylan, un jeune homme qui m'a été présentée me tend un verre:
Moi: Non merci je suis en vacances d'alcool pour l'instant. Si j'en prends un autre, je vais saouler.
Dylan en souriant: Ce n'est pas de l'alcool, c'est du soda...
Moi en acceptant le verre: Ah. dans ce cas...
Dylan: Tu t'amuses?
Moi: On peut dire oui.
Dylan: Moi aussi, ca fait du bien de cuver en fin de week end.
On va finalement discuter dans le jardin car je sens une chaleur émaner de moi. Plus il parle et plus j'ai des idées étranges dans la tête. Ca vient vraiment de moi? Et il s'est approché à quel moment au fait? Il passe ses mains autour de moi mais je le repousse doucement. Sous son insistance, je me vois obligée de m'en aller mais il me retient par le bras.
Dylan: Allez ma belle, ne fuis pas.
Moi: Dylan arrête je ne suis pas d'humeur.
Dylan: Laisse toi juste faire et...
Yannick: Oh vous etes la? Je t'ai cherché partout Ambre.
Moi: Je suis la, je parlais avec Dylan.
Dylan: En fait on voulait...
Yannick a moi: Tu devrais te reposer maintenant, tu as une drole de tete.
Moi: C'est vrai je me sens vraiment bizarre.
Yannick: Je vais te raccompagner chez toi. Viens!
Moi: Ma pochette.
Yannick: Oh oui, allons la chercher.
Il me conduit chez moi a la quatrieme vitesse et je lui demande de m'accompagner à l'intérieur. A peine dans le salon, je me penche contre la porte pour l'empêcher de partir. Je n'arrive pas à qualifier l'état dans lequel je me trouve. Je suis à la fois fatiguée et surexcitée comme une enfant, toute pleine d'énergie malgré le fait que ma tête tourne étrangement. Il est tellement...sexy ce soir! Oui c'est ca le mot, terriblement sexy.
Yannick en prenant mon visage entre ses mains: Tu ne devrais pas me regarder comme ca!
Ambre: Comment?
Yannick: Comme maintenant. Tu es sure que ca va?
Moi: Je ne veux pas que tu retournes.
Yannick: Vraiment?
Moi: Je veux dire, pas à cette heure ci.
Yannick: Et tu proposes quoi?
Moi: Tu pourrais dormir ici en attendant. S'il te plait Yannick!
Yannick hésitant: Pas ici, pas chez tes parents!
Moi d'un ton ferme: Je veux rester avec toi.
Yannick en me relevant le menton: Rappelle moi de ne plus te laisser boire d'accord?
Moi: Je suis bien ici avec toi. Et puis je n'ai pas vraiment bu, je suis lucide.
Yannick: Ecoute...
Moi: Embrasse moi!
Yannick en haussant un sourcil: ...
Je me colle à lui et me hisse sur la pointe des pieds pour poser mes levres sur les siennes, lentement, très lentement. Je le sens qui se retient puis ses mains se posent sur mes hanches. les pressent un instant avant de me repousser doucement. Je reviens à la charge et me colle à lui plus étroitement. Il répond lentement à mon baiser en m'entourant de ses bras. Oui, c'est cela, c'est cela que je veux. J'entrouvre mes lèvres et il va plus loin. La façon qu'il a de m'embrasser me fait perdre la tete et je pousse un gémissement sourd. Il se retire de moi, le regard profond. Ses lèvres ont viré au pourpre et sont entrouvertes par l'excitation:
Moi: encore Yannick!
Yannick gravement: Si on va sur le chemin, il n'y aura pas de retour possible.
Moi sentant la menace dans sa voix: ...
Yannick posant son front contre le mien: Tu devrais vraiment éviter l'alcool.
Moi: Embrasse moi encore Yannick! Je ne suis pas saoule.
Yannick en regardant à nouveau mes lèvres: ...
Moi: Mon Dieu qu'est ce qu'il fait chaud!
Je baisse lentement les bretelles de ma robe et il bloque le mouvement qu'il s'apprêtait à faire en me dévisageant. J'en profite pour goûter ses lèvres une nouvelle fois avec plus de passion. Mes mains découvrent son torse. Je me sens attirée loin de la porte puis poussée vers le mini billard qui jonche le salon. il pèse de tout son poids sur moi et je lui permets l'accès entre mes jambes. Il se balade lentement sur mon visage, sur chacune de mes épaules puis sur mon coup. Pourquoi est il si lent?
Moi: Yannick s'il te plait, vas y!
Yannick: Qu'est ce que tu me fais la Ambre?
Moi: S'il te plait!
Le regard qu'il pose sur moi à cet instant éveille deux fois plus mes sens. Mon Dieu qu'est ce qu'il est troublant! Qu'est ce que je suis en train de faire? Il ya comme une force hormonale qui me pousse vers lui. Je ne peux pas l'arrêter, je ne peux pas la maîtriser, je ne VEUX pas la maîtriser, c'est tellement déroutant! Ses mains chaudes remontent ma robe tandis qu'il m'embrasse maintenant à en perdre haleine. Le brouillard, je sens un brouillard arriver dans mon cerveau. Tout est confus dans ma tête. Je suis tellement bouillante que ca frise la folie. On va le faire? Je crois qu'on va le faire, bon sang oui on va le faire...
J'ouvre les yeux et vois le plafond. Un regard tourné vers l'horloge murale me fait savoir qu'il est tard dans l'après midi. Je suis dans mon lit apparemment. Mais comment suis je arrivée ici? Je me mets de profil et tombe sur Yannick, en train de m'observer, les mains jointes en dessous de son visage. Yannick? Il ne dit rien mais je peux voir dans son regard que quelque chose le tracasse un peu:
Moi: Bonjour Yannick!
Yannick la voix étrangement grave: Bonjour!
Moi: Qu'est ce qu'il y a?
Yannick: Tu ne te souviens de rien?
Moi: Si mais...aie!
Je sens une grande douleur dans la tête en me redressant. Au moment ou il veut m'aider, la porte de ma chambre s'ouvre à la volée pour laisser entrer l'homme le plus terrifiant de ma vie. Du coup, je sens mes membres trembler sur place et mes sens s'auto annihiler. Oh non pas lui!
Il nous regarde les yeux rouges de fureur, se demandant surement comment nous envoyer de vie à trépas. Yannick semble paralysé lui aussi par l'intrusion de mon père. Oui, c'est bien mon père qui vient de faire irruption dans ma chambre. Ils ne devaient rentrer que dimanche, c'est quelle poisse ca?
Oh mon Dieu je suis morte. Je sais que je suis morte.
Mon père: Vous avez 1 minute pour m'expliquer ce qui se passe ici.
et moi je crois que j'ai une minute pour trouver le moyen de disparaître de cette pièce. La vie est une succession de choix qui parfois nous reviennent en plein figure comme un boomerang. Dans mon cas, j'ai l'impression que tous mes choix sont en fait une succession de bêtises,
Mais je vous laisserai en juger par vous mêmes.
Ps: C'est un prologue que je viens de finir. Si vous êtes partants, on commence samedi ou maybe dimanche à l'heure habituelle. Sinon, je retourne avec mon histoire lol. C'est vous qui voyez oooh mes amours.
Gros bisous pour chacun de vous!
Le monde conflictuel de Michael ♥️ Lisez le résumé dans le premier chapitre .
Dans un monde où loups garous et vampires vivent librement parmi les humains, Lyra Laine est une jeune fille de 19 ans, solitaire et débrouillarde vivant à New York. Son seul but est d'amasser suffisamment d'argent pour fuir au Canada, afin de mettre plusieurs états entre elle et Carlos, son beau père, un chef de gang, qui a décidé de faire d'elle sa chose. Dans sa course pour gagner sa liberté elle va croiser le chemin d'un animal immense qu'elle pense être un chien géant. Hypnotisée par ces yeux, fait elle vraiment le bon choix en recueillant cette bête blessée chez elle ? Ne vient elle pas de faire rentrer le grand méchant loup dans la bergerie ? © Tous Droits Réservés
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Je me suis réveillée après cinq ans dans le coma. Un miracle, selon les médecins. Mon dernier souvenir, c'était de pousser mon mari, Damien, pour l'écarter de la trajectoire d'un camion. Je l'avais sauvé. Mais une semaine plus tard, à la mairie, j'ai découvert un acte de décès établi deux ans plus tôt. Les noms de mes parents y figuraient. Et puis, la signature de Damien. Mon mari, l'homme que j'avais sauvé, m'avait déclarée morte. Le choc a laissé place à un vide glacial. Je suis retournée chez nous, pour y trouver Angélique Martin, la femme qui avait provoqué l'accident. Elle y vivait. Elle a embrassé Damien, un baiser désinvolte, familier. Mon fils, Émile, l'appelait « Maman ». Mes parents, Anne et Gilles, l'ont défendue, disant qu'elle faisait « partie de la famille maintenant ». Ils voulaient que je pardonne, que j'oublie, que je comprenne. Ils voulaient que je partage mon mari, mon fils, ma vie, avec la femme qui m'avait tout volé. Mon propre fils, l'enfant que j'avais porté et aimé, a hurlé : « Je veux qu'elle s'en aille ! Va-t'en ! C'est elle, ma maman ! » en pointant Angélique du doigt. J'étais une étrangère, un fantôme qui hantait leur nouvelle vie heureuse. Mon réveil n'était pas un miracle ; c'était un dérangement. J'avais tout perdu : mon mari, mon enfant, mes parents, mon identité même. Et puis, un appel de Zurich. Une nouvelle identité. Une nouvelle vie. Catherine Dubois était morte. Et désormais, je ne vivrais que pour moi.
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