ous a pris le logement ici, celu

s la personne, rép

chait. Il dit aux filles de profiter, qu'il doit calmer la folle d'Iriza et elles le supportaient. Il s'approche de moi. Lui qui était souriant aux yeu

se-t-il? Me

pas qui s'appelle Jam

ça? C'est

ument pas. Les chambres ont

ant pour Markus aussi qui demande à voir un reçu, une quelconqu

-être votre patron qui vit ici qui a fait l'achat en votre nom puisque mêm

a informé certainement une personne ici pour le logement, ça c'est possible car les trucs

avez

e, il faisait déjà jour, pour moi c'est bien normal. Je regarde ma montre en étant sûr qu'il doit faire entre 3h à 4h du matin et mon doute était plutôt véridique, ce qui apaise mon cœur. Markus regardait quelque chose, mais je comprenais pas ou plutôt je ne le voulais pas car je suis déjà fatiguée. Je quitte alors à côté de lui pour rejoindre les filles qui aiment trop papoter, que des perroquets tous les jours, elles ne se fatiguent jamais. Chacun décide de partir dans sa chambre et moi je m'étais souvenue que je devais prendre les escaliers jusqu'en haut ce qui faisait finalement rire mes coéqu

Bizarrement au même moment, une personne était passée à côté de moi, du moins, c'est ce que j'avais ressenti. C'était comme si je dormais et que j'avais juste la sensation du passage d'une personne, mais pourtant je ne dormais pas. C'était comme un flash. Je ne comprenais plus rien au point que je me demandais si quelqu'un était vraiment passé ou pas. Je rêvais les yeux ouverts peut-être, non impossible. J'avais vraiment ressenti un aura très fort, imposant. Je crois que je devenais folle. Je m'étais alors relevée pour accélérer mes pas et fi

t. Les meubles étaient de qualités, le sol était en carreaux. C'était comme traverser des poubelles pour finalement se retrouver dans un palais. Je pose délicatement ma valise et me jette sur le lit en repen

sourire. Morphée faisait de moi son esclave adorée car je sentais le plaisir d'un sommeil bien mérité, mais au même moment c'était comme si je ne dormais pas, car sans me laver, la possibilité pour que j'y arrive est très faible. Je me

subitement tiré de force en me ramenant dans la réalité, mais cette réalité, c'était moi toute seule, sans lui, sans personne autour de moi. Je pleurais, je le suppliais de ne pas me laisser dans cette solitude. Je savais qu'il m'entendait, je savais qu'il le faisait pour mon bien, mais je préfère souffrir et l'avoir toujours avec moi que d'accepter sa disparition, il cachait son visage et ça me fait très

n, je pouvais apercevoir une fine lumière provenant de nulle part. J'étais très curieuse de savoir d'où peut venir cette lumière, mais une voix assourdissante avait résonné dans mes oreilles. Ça venait d'où ? Quelqu'un