e enfance en famille d'accueil, désormais comblée par l'amour de mes parents et de
rt privée de l'autre côté de la ville en compagnie de Kiera. Elle n'était pas enfermée, mais rayonnante aux côtés de mon mari et de leur fi
ttractions était écarté parce qu'Ivan l'avait déjà promis à l
roirait tout ce qu'on lui dit », a dit Ivan, d'une voix empreinte
qu'un mensonge où je jouais le rôle de la dupe. Mon téléphone a vibré avec un message d'Ivan alors qu'il se
al, car ils me considéraient comme
découvrir à quel poin
e 1 La
r aussi facilement, après tout ce que Kiera Reese t'a fait subir »
cinq ans, la douleur me semblait aussi vive qu
tiquement ma sœur, la fille que mes parents ont accueillie et ont comblée d'affection des années avant même d
t vécu à ma place, et dont la jalousie venimeuse avait brisé les retrouvailles féeriques quand, véritable héritière Donovan, j'étais retr
ochée pendant cinq ans, expliquant : « Mes parents, se sentant responsables, avaient fait en sorte qu'elle soit envoyée dans le meilleur établissement
'étais éloignée quand j'étais petite. J'avais des parents aimants et un mari beau et brillant. J'étais en sécurité. J'étais aimée. Les fantômes
moins occupé ces derniers temps, car j'ai vraiment envie d'aller au parc d'att
poir. Sa réponse était brève et dédaigneuse : « Impossible, j'ai un projet urgent au travail
avec un regard encourageant : « Va le voir, entre dans son bureau et dis-lui que c
s entrée dans le hall rutilant du centre Biomédical Hughes, avec deux tasses de son café préféré à la main. Le g
novan, mais M. Hughes a un rendez-vous pr
nt de cacher ma déception :
les mardis », a-t-elle répondu en consultant son agenda. Un nœud g
ic et moderne que je ne connaissais pas et dont l'enseigne indiquait « Reese Gallery », fermée au publ
sens, jusqu'à ce que je le voie : mon mari, Ivan, vêtu de manière décontractée, sans costume, avec sur le visage un sourire détendu que je n'
oser la main sur son bra
avant de se pencher pour embrasser Ivan sur la joue, tandis qu'il tournait la tête pour l'embrasser sur les lèvres d'un geste familier et affectueux qu'il avait eu avec moi le
s voix. Le petit garçon, Leo, criait d'excitation : « Papa, pour mon
présent n'avoir jamais vraiment bénéficié, a déclaré : « Bien sûr, fisto
tombait le même jour que le mien et qu'Ivan ava
a demandé Kiera, d'un ton légèrement différent :
e qui m'a coupé le souffle, puis a poursuivi : « Elle est tellement reconnaissante
compassion magistrale, avant d'ajouter : « Elle con
Kiera, que Leo serait notre seul héritier, et quand le moment sera venu, je lui dirai que je sou
ette famille secrète et cette galerie provenait d'eux, de la fortune Donovan qui était censée m'appartenir. Toute ma vie, mes parents aimants, mon mari dévoué, la sécurité que je croyais avoir enfin trouvée apr
éléphone a vibré sur mes genoux : c'était un SMS d'Ivan. « Je viens de sortir d'une réunion tellement épuisante, tu me manque, à ce soir donc. » Ce mensonge désinvolte, ta
t contrôler, le chagrin pesant sur ma poitrine comme un fardeau écrasant, tandis qu'en dessous comme
découvrir à quel poin