d'Hadrien d

ourires polis et questions inquisitrices, étaient assis en face de nous, leurs yeux évaluant, calculant constamment. Kenza, radieuse dans une robe rose poudré, n'ar

Kenza, sa main parfaitement manucurée traversant la table pour s

xe bien rodé. « Juste une longu

quiétude. Ou peut-être, d'irritation. « Tu as tellement travaillé, H. Parfois, je m'inqui

regard dérivait constamment vers mon téléphone, posé face contre table à

presque trop douce. « Elle ne répond pas non plus à mes appels. D'habitude, elle adore

i-je dit, un peu trop sèchement. « C'est une ad

expression. « Parce que quand je l'ai appelée, elle n'a pas semblé particulièrement... réceptive. Et je p

dans mon estomac. « Tu l'as appelé

e. J'ai juste pensé qu'elle apprécierait une invitation à la fête, un petit rameau d'olivier, après... tu

chamade. « Et qu'est

à mes messages. Peut-être qu'elle est occupée avec ses propres projets. » Elle m'a adressé un autre de

s envisagée pour elle. C'était un mur froid et dur. Une absence complète. Elle ne se conte

enre de douleur qui rend la respiration difficile. Non. Ce n'é

it ses valises et passerait à autre chose. Pas du genre à s'accrocher au passé, comme certaines personnes. » Son regard a vacillé vers moi, une pointe de connivence dans ses y

nt. L'appeler ? Qu'est-ce que je dirais même ? *Reviens, Chloé. Ta présence constante me

voix rauque. « Elle le fait touj

essaies juste de te convaincre ? » Elle a secoué la tête. « Parfois,

prenante venant d'une femme que je c

e brochure brillante pour des lieux de mariage. « Parlons de notre mariage ! As-tu décidé du

x élaborés. Inoubliable. Tout ce à quoi je pouvais penser, c'était Ch

ne va pas ? » a demandé Ke

dit, ma voix plate, cr

rsation, figeant les sourires sur les visages des parents de Kenza. Kenza

? » a-t-elle finalement réussi

e grincement résonnant dans le silence soudain, « q

i. La table, chargée de mets exquis et de délicats pétales de rose, semblait se moq

faire exploser mes fiançailles, mon avenir soigneusement construit, à cause d'un fantôme. À cause d'un silence plus fort que n'importe q