Rien n'est plus fort que les liens de sang.
Rien n'est plus fort que les liens de sang.
Monique : tu ne seras rien. Regardes-toi !
Moi (pleurant) : pourquoi je ne peux pas être comme les autres filles de mon âge ?
Monique : tu es moche, qui peut te regarder.
Moi (essuyant mes larmes) : ce n'est pas vrai, je ne suis pas moche.
Monique : bon c'est vrai, tu n'es pas moche. Mais tu n'es pas loin de l'être.
Moi : ce n'est pas vrai, tu mens !
Monique (se rapprochant de moi) : personne ne voudra t'épouser plus tard. En, plus tu es noir.
Moi : je vais avoir un mari, tu mens !
Lorsque j'entends le bruit de la porte je fonce sur maman.
Moi (pleurant) : maman Monique n'arrête pas de se moquer de moi.
Elle : je suis fatiguée ma chérie.
Moi (essuyant mes larmes) : mais maman, Monique n'est pas gentille avec moi.
Ma mère (enlevant ses chaussures) : qu'est-ce qu'elle t'a dit ?
Avant même que je ne puisse dire quoi que ce soit Monique rentre dans la pièce.
Elle (croisant ses bras) : je veux qu'elle sache déjà qu'elle n'est pas très belle et que plus tard elle aura du mal pour trouver un mari.
Maman (me tirant vers elle) : c'est tout ce qu'elle t'a dit ?
Moi : tout ? Maman ce n'est pas gentil !
Maman : elle blague ma chérie.
Elle se lève me tire avec elle et ensemble on va dans sa chambre. Dans sa chambre elle prend le temps qu'il faut pour me calmer.
Lorsqu'elle termine elle me demande de ranger ses chaussures et elle sort de la chambre.
Lorsque je termine avec ses chaussures je sors de la chambre. Je suis encore dans le couloir quand je l'entends gronder Monique :
Elle : il faut que tu arrêtes de lui dire ça. C'est vrai mais alors ? Je ne veux plus entendre parler de ça.
Monique : pardon.
C'est quoi ? Vrai ? Qu'est-ce qui est vrai ? Je ne suis pas belle ? Je ne vais pas avoir un mari plus tard ?
Ce que je viens d'entendre me fait terriblement mal au cœur.
Je vais dans la chambre que je partage avec Monique (ma grande sœur) et je vais sur le lit. Je m'allonge et je pleure un bon coup.
Monique me dit tout le temps des méchancetés.
Elle me dit tout le temps que les hommes préfèrent les filles qui ont son teint. Elle dit qu'ils n'aiment pas les filles de teint noir.
Je crois qu'elle a raison, en même temps tout le monde me dit à l'école que je ne ressemble à rien.
Mais peut-être que je vais devenir plus jolie en grandissant non ?
Ou alors peut-être que j'espère beaucoup ? J'ai à peine 10 ans, peut-être qu'avec le temps les choses vont s'améliorer non ?
- FIN SYNOPSIS -
Moi : je ne crois pas à ces sondages.
Felix : et pourtant tu devrais.
Moi : Felix tu dois te bouger !
Lui : je ne fais que ça jusqu'à présent.
Moi (tournant dans la pièce) : ce n'est pas assez.
Lui : tu veux que je fasse quoi de plus, je fais tout ce qui est en mon possible.
Moi (continuant de tourner) : et ce n'est toujours pas suffisant.
Lui : ce que tu fais me fait stresser.
Je m'arrête et je vais près de lui.
Moi (me mettant devant lui) : il nous faut un débat !
Lui : le débat de la présidentielle est dans quelques jours.
Moi : je sais, mais il te faut un avec ceux qui n'ont aucune chance de gagner.
Lui : quel est l'intérêt. On sait tous qu'ils ne vont pas gagner.
Moi (essayant de le convaincre) : l'intérêt ? Grâce à ce débat tes ambitions ne feront que confirmer les raisons pour lesquelles ces hommes-là n'iront pas au second tour. Tu dois miser sur ça avant le débat du second tour.
Lui (réfléchissant) : oui mais on a mieux à faire.
Moi : je me charge des équipes des provinces. Tu dois juste m'écouter Felix. Tu sais que je sais de quoi je parle.
Il fait le tour de mon bureau avant de poursuivre avec :
Lui : dans tous les cas ça va prendre au moins deux jours pour mettre ça en place. Le temps de lancer une demande.
Moi : je me charge de tout !
Je vais près de lui et j'arrange sa cravate.
Lui (passant ses mains sur mon visage) : toi ça va ?
Moi : ça ira mieux quand tu vas finir avec ces imposteurs !
Lui (souriant) : j'y vais !
Moi (le regardant partir) : je me charge de tout !
Lui (avant de sortir du bureau) : je te fais confiance.
Je le laisse sortir de la pièce et je souffle un bon coup.
J'ai à peine le temps de lever ma tête que mon téléphone sonne.
Moi : allô ?
Le chargé de communication de Felix : c'est bon, le discours a été retravaillé.
Moi : je veux être en copie des mails.
Lui : ok madame.
Moi : Demain 14h mise au point ici au siège.
Lui : bonne fin de journée madame.
Moi : merci.
Je raccroche et je vais dans la salle de rediffusion.
Lorsque je rentre dans la pièce je vois qu'ils se bougent tous.
Moi (montrant du doigt un écran) : Alphonse, je veux la vidéo du dernier meeting.
Il prend une clé usb et vient avec près de moi.
Moi (regardant les personnes qui sont dans la salle) : attention à tous ceux qui rentrent ici.
Lui : on fait attention madame.
Moi : j'espère.
Je prends la clé usb et je retourne dans mon bureau.
Je visualise la vidéo en prenant des notes.
Il est 19h quand je termine avec mon rapport.
Après chaque meeting je regarde les points que Felix doit retravailler. On travaille beaucoup sur son image. Il est dans le Top 3 des candidats qui ont le plus de chance.
Je passe deux coups de fil avant de quitter les lieux.
25 minutes plus tard je suis à la maison.
Je vais prendre ma douche, je mets un jean et une chemise et je vais à la salle à manger.
Je trouve la gouvernante qui vérifie ce qu'il y a sur la table.
Moi : monsieur est là ?
Avant même qu'elle ne puisse répondre il apparaît dans la pièce.
Lui : je suis à l'heure.
Moi (regardant l'heure sur la montre du mur) : quel exploit !
Elle sort et nous laisse à deux.
Lui (inquiet) : il faut que tu te ménages.
Moi : pour l'instant tu es ma priorité.
Lui : tu suis toujours ton traitement.
Moi : oui.
Je l'aide à se servir avant de me servir.
Moi : plus que quelques jours.
Lui : j'espère que tout va bien se passer.
Moi (déposant ma main sur la sienne) : tu me fais confiance ou pas ?
Lui (serrant ma main) : je te fais confiance.
Moi : ok, maintenant mangeons.
J'affiche un sourire pour le rassurer et on commence à manger.
Lorsqu'on termine on va dans la chambre.
Lui : je suis épuisé.
Moi : il est 21h, tu as le temps de te reposer.
Il se dirige vers la douche pour je suppose prendre sa douche.
Pendant qu'il prend sa douche je consulte mes mails et je fais une to-do list des choses que je dois absolument faire demain avant 12h.
15 minutes plus tard il sort de la douche en pyjama et vient me retrouver sur le lit.
Lui (fermant mon ordi) : tu dois également te reposer.
Moi (déposant l'ordi sur le chevet) : tu n'as pas tort.
J'arrête la lumière (laissant la veilleuse) et je dépose ma tête sur son torse.
Lui (caressant mon visage) : je sais que je ne te suis pas assez reconnaissant mais merci pour tout.
Moi : je sais que tu l'es au fond, c'est le plus important.
Lui (déposant un bisou sur mon front) : j'ai hâte que tout ça finisse.
Moi (petit sourire) : tellement.
Je me redresse et j'arrête la veilleuse.
Il est 5h lorsque j'ouvre les yeux et que je quitte le lit.
Je vais prendre ma douche, me brosser les dents et je m'habille.
Je porte un jean, une chemise de campagne blanche, je mets des baskets, je me parfume et je sors de la pièce.
Je vais dans le salon privé histoire de bosser pendant une heure de temps.
À 6h30 je m'apprête à quitter les lieux quand je le croise aux escaliers.
Lui : bonjour.
Moi : bonjour, on se voit devant.
Lui : ok, j'ai un rendez-vous ici dans 20 minutes. Je te suis juste après.
Il se rapproche et je lui fais un bisou avant de partir.
Lorsque j'arrive au siège je ne vois que la sécurité.
Eux (en cœur) : bonjour madame.
Moi : bonjour !
Je trace dans mon bureau et je me fais un café.
Patricia BIAM, épouse de Felix BIAM candidat à la présidentielle. J'ai fait science politique pendant mes années universitaires avant de me reconvertir en business woman (choix personnel).
J'ai rejoint l'équipe de campagne de mon mari parce que je pense être à même de le guider.
Presque tout passe par moi (oui, presque tout). Je n'ai jamais vraiment fait de la politique mais je connais plus d'une chose.
Felix et moi sommes ensemble depuis 15 ans (j'avais 25 ans et lui 35 à notre mariage).
Mon âge surprend beaucoup de personnes, disons que je suis loin de faire mes 40 ans. Selon les dire, je parais plus jeune, ce que je trouve flatteur pour une femme qui ne se laisse pas vieillir.
J'ai toujours su que Felix avait pour ambition de finir président.
Il fait de la politique depuis 12 ans maintenant. J'ai toujours été à ses côtés. J'ai toujours eu une place importante dans sa carrière politique.
Felix et moi n'avons jusqu'à présent aucun enfant ensemble.
Il a de son côté un enfant avec une autre femme. Il a eu cet enfant avant notre mariage alors cela n'a jamais été un vrai problème.
Toc Toc
Moi : oui ?
La personne : c'est important madame.
Moi : vas-y !
Il rentre et me montre une interview sur internet.
Moi : cette femme parle trop ! Il va falloir fermer sa bouche ! Je veux son adresse.
Il m'écrit son adresse sur un post-it et dispose.
Je suis sur mon ordi quand Felix entre dans mon bureau.
Moi (levant les yeux) : ...
Lui : elle joue à quoi ?
Moi : je viens de prendre son adresse, je vais chez elle.
Lui : ok.
Moi : prends le temps de lire chacune de mes notes. Je ne vais pas revenir avant 14h.
Lui : je pense toujours que c'est une grosse perte de temps ce débat.
Moi : tu verras de toi-même. J'ai rarement tort et tu le sais.
Je le laisse dans mon bureau et je quitte les lieux.
Je n'ai pas son contact personnel. Je n'ai plus de ses nouvelles depuis des lustres. Je sais qu'elle cherche à rentrer en contact avec moi, chose que je ne veux pas.
Après 30 minutes de route je suis chez elle.
Je trouve le portail ouvert.
Je rentre et je crie son prénom.
Elle : ooh c'est qui ?
Lorsqu'elle sort de la maison, elle est surprise de me voir chez elle.
Elle : qu'est-ce que tu fais chez moi ?
Moi : je suis là pour deux choses Monique. 1 je ne vais pas te tendre ma main. 2 si j'apprends encore que tu utilises la candidature de Felix pour te faire de l'argent tu ne vas pas me reconnaitre.
Elle (rigolant) : ah donc pour te voir chez moi il fallait que je parle de Felix.
Moi : je te mets au défi.
Je regarde l'état de sa maison avant de continuer :
Moi : déjà que là tu n'as rien. Crois-moi tu vas manger la terre !
Elle (souriant) : pourquoi tu te fâches ? Est-ce que j'ai tort ? Ton mari est incapable de gérer ce pays alors qu'il ne peut pas prendre soin de sa propre belle famille. Et toi ? Tu penses vraiment que tu seras première dame ? Tu me fais même rire à te prendre au sérieux.
Moi : tu me fais rire Monique. Tu penses vraiment que Felix va encore te tendre sa main ? Il t'a aidé et qu'est-ce que tu as fait ?
Elle : c'est ce que tu appelles aider ?
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Nos destins ne sont souvent pas prédéfinis... Nous devenons très souvent ce que nous disons... Chaque mots qu'on articule au sujet de nos vies, s'accomplissent très souvent comme des prophéties inévitables.
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Elena Dalton, piégée par un complot, tombe enceinte et met au monde des quadruplés. Sa sœur cadette, Nora, s'empare de deux des enfants pour s'assurer une place auprès des puissants Warren, tandis qu'Elena, brisée mais déterminée, s'enfuit avec les deux autres. Cinq ans plus tard, Elena revient, transformée. Sa sœur, qui s'affiche en modèle de vertu malgré sa noirceur, découvre alors une Elena décidée à reprendre ce qu'on lui a volé : ses enfants et sa dignité.
Résumé « Rompons ce lien maudit et libérons-nous mutuellement. Ainsi, Claire pourra enfin endosser le rôle de ta Luna. » La voix d'Addison vibrait d'une colère qui brûlait jusque dans sa poitrine, son souffle haché secouant tout son corps. Zion, lui, se figea, les mâchoires serrées. « Crois-tu vraiment pouvoir t'échapper ? » Son regard s'assombrit, virant à une teinte dorée inquiétante, reflet du loup qui grondait au plus profond de lui. Sans lui laisser la moindre échappatoire, il l'encercla de ses bras, l'arracha à l'embrasure de la porte et l'entraîna dans leurs appartements. Là, il lui imposa sa présence avec une intensité implacable, la retenant contre lui comme s'il voulait effacer par la force toute possibilité de séparation, jusqu'à ce que le temps perde sa mesure. Le lendemain, puis le surlendemain, il ne relâcha pas son étreinte. Et quand enfin il rompit le silence, ce fut d'une voix rauque, presque un murmure menaçant : « Si je dois t'attacher pour t'empêcher de fuir, je le ferai. Quand j'en aurai terminé, tu ne pourras même plus te tenir debout. » Le ton, dur et brûlant, ne laissait place à aucun doute : l'instinct primal de l'Alpha avait pris le dessus. Ils ne s'étaient jamais réellement écoutés. Entre eux, les incompréhensions s'étaient accumulées, bâtissant un mur qu'aucun ne prenait la peine d'abattre. Aveuglé par un orgueil âpre et par une rancune nourrie de suppositions, Zion n'avait jamais cherché à se justifier. Il voulait la voir payer pour ce qu'il croyait être une trahison, ignorant que cette vengeance lui coûterait bien plus qu'il ne pouvait supporter. Addison, lasse d'attendre qu'il dépose les armes de sa colère, avait fini par comprendre qu'elle devrait partir pour survivre. Quand elle s'évapora de son univers, tout vacilla. Zion perdit pied, incapable de supporter l'absence. Il fit trembler les fondations de sa propre meute, prêt à briser quiconque s'était interposé entre elle et lui. Mais il découvrit trop tard l'ampleur de sa faute : Addison avait disparu au-delà de toute piste. Et, plus cruel encore, il n'avait jamais pu lui révéler la vérité - l'enfant que portait l'autre femme n'était pas de lui. Avouer ce secret aurait signifié offenser quelqu'un que nul n'osait défier : cette femme appartenait à un cercle où la moindre offense se payait de sang. Alors, pour protéger Addison d'une condamnation certaine, il l'avait éloignée... en lui infligeant la blessure la plus profonde. Son orgueil avait tout dévasté. Plus encore que la mort de son père, l'ancien Alpha, ce geste resta la blessure qu'il ne put jamais refermer. Mais la Déesse de la Lune ne l'avait pas effacé de ses desseins. Leurs routes se croisèrent de nouveau. Et ce jour-là, il la vit. Pas seule. Un garçon se tenait à ses côtés. Non... deux. Deux fils. Une brûlure de remords le transperça. Autrefois, il avait voulu la réduire à néant ; aujourd'hui, il n'aspirait plus qu'à recoller les fragments, à regagner la famille qu'il avait volontairement détruite. Mais la distance qui les séparait s'était creusée comme un abîme infranchissable. Elle n'était plus cette femme qu'il pouvait convoquer d'un mot ou retenir d'une main. Pouvait-il encore espérer réparer l'irréparable ? Ou Addison tournerait-elle le dos à ses regrets pour accepter l'union imposée par son père, le Roi Alpha ? Cette union-là n'était pas un simple arrangement : elle ferait d'elle la première femme à régner seule sur un trône d'Alpha dans toute l'histoire.
Stella avait autrefois savouré la dévotion de Marc, mais sa cruauté dissimulée l'avait profondément blessée. Elle avait brûlé leur photo de mariage à ses pieds alors qu'il envoyait des messages coquins à sa maîtresse. La poitrine serrée et les yeux brûlants, Stella lui avait donné une gifle cinglante. Puis elle avait effacé son identité, s'était engagée dans une mission de recherche classée secret défense, avait disparu sans laisser de traces et lui avait laissé une bombe cachée. Le jour du lancement, elle a disparu ; à l'aube, l'empire de Marc s'est effondré. Tout ce qu'il a trouvé, c'est son certificat de décès, et il s'est effondré. Lorsqu'ils se sont revus, lors d'un gala, Stella était aux côtés d'un magnat. Marc l'a suppliée. Avec un sourire narquois, elle lui a répondu : « Tu n'es pas à ma hauteur, mon ex. »
Il n'y avait qu'un seul homme dans le cœur de Raegan, et c'était Mitchel. Dans la deuxième année de leur mariage, elle est tombée enceinte. La joie de Raegan était sans limites. Mais avant qu'elle puisse annoncer la nouvelle à son mari, il lui a remis les papiers de divorce car il voulait épouser son premier amour. Après un accident, Raegan gisait dans une mare de son propre sang et appelait Mitchel à l'aide. Malheureusement, il est parti avec son premier amour dans ses bras. Raegan a échappé à la mort de justesse. Par la suite, elle a décidé de reprendre sa vie en main. Son nom était partout quelques années plus tard. Mitchel est devenu très mal à l'aise. Pour une raison quelconque, elle a commencé à lui manquer. Son cœur se serrait lorsqu'il la voyait tout sourire avec un autre homme. Il a fait irruption à son mariage et est tombé à genoux pendant qu'elle était à l'autel. Avec des yeux injectés de sang, il a demandé : « Tu m'as dit que ton amour pour moi était inébranlable, non ? Comment se fait-il que tu te maries avec quelqu'un d'autre ? Donne-moi une autre chance, s'il te plaît ! »
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