Une histoire qui pourrait changer votre vie, celle-ci en est l'exemple.
Une histoire qui pourrait changer votre vie, celle-ci en est l'exemple.
Maman : tu travailles sur quoi en ce moment ?
Chaque fois qu'elle me pose cette question mon cœur se met à battre la chamade.
En ce moment ce n'est pas le top niveau finance et je n'ai pas envie de le lui dire.
Si j'ose sortir ce que j'ai sur mon cœur elle va une fois de plus me faire un discours et je ne veux pas que quelqu'un me stresse plus que je ne le suis en ce moment.
Moi : je n'ai trop rien sous la main mais ça va aller.
Elle : tu n'as trop ou tu n'as tout simplement rien ?
Moi (regardant le plafond) : ça va aller maman.
Je sens son regard s'intensifier et je connais bien ce regard.
Elle (changeant de ton) : non ça ne va pas ! Je m'inquiète pour toi et j'ai bien des raisons de m'inquiéter.
Elle fait un tour de la pièce avec ses yeux et :
Elle : tu vas payer le loyer avec quoi ?
Moi : je vais m'en sortir maman.
Elle (se parlant à haute voix) : quand je vais te dire de retourner travailler tu vas dire que je ne supporte pas tes projets ! Pendant ce temps tu vis on dirait que tu n'as pas de parents.
Moi (lui faisant un petit sourire) : je t'entends !
Elle : ah il faut bien m'entendre ! C'est bien de m'entendre mais il faut m'écouter !
Moi (me rapprochant d'elle) : ça va aller !
Elle : ça me fait mal de te voir comme ça. J'ai l'impression de t'encourager alors que tu fonces droit dans un mur.
Moi : mais non !
Elle : tu as de quoi payer le loyer ce mois ?
Moi : tu te prends la tête pour rien.
Elle (insistant sur son regard) : oui ou non ?
Moi (regardant en direction de la porte) : o.u.i
Elle : non tu n'as pas d'argent ! Je suis sûre que tu n'as même pas de quoi remplir ton frigidaire !
Moi : ...
Elle n'a pas tort !
Il ne me reste pas grand-chose dans mon portefeuille mais je préfère ne pas me plaindre, c'est mon choix.
Elle ouvre son sac, prend une enveloppe, l'ouvre et me donne de l'argent.
Dieu seul sait que je galère en ce moment.
J'ai vraiment envie de prendre cet argent mais c'était la même chose le mois dernier. Rien que pour ça je refuse !
Moi : non maman j'ai des sous !
Je sens son regard sur moi tandis que je regarde le sol.
Je comprends sa position, aucune mère ne peut accepter de voir sa fille dans cette situation.
Je fais pourtant tout pour ne pas paraître « misérable »
En réalité je ne le suis pas, je suis contente de mon travail même s'il ne me rapporte pas beaucoup pour l'instant.
Moi : je suis sure que tu as quelque chose à faire avec cet argent. Peut-être c'est même ta tontine.
Elle (se levant) : ah tu connais les gens de cette famille. Ils sentent l'argent ! Là on va me sortir un problème alors si je peux aider ma fille autant le faire.
Moi : hum
Elle me fait les yeux doux mais je ne cède pas ! Je ne vais pas prendre son argent.
Elle : tu es comme ton père !
Elle a raison, je suis comme mon papa.
Nanda Ondo, j'ai 27 ans et je suis fille unique de mes parents.
Je suis de teint clair (j'ai pris le teint de ma grand-mère maternelle) et je fais 1m71. Souriante et pleine de vie, je prends tout ce qui m'arrive comme un témoignage pour ma future réussite.
On pourrait penser que je suis une femme capricieuse (cliché des enfants uniques) mais non, loin de là. J'ai d'ailleurs souffert de solitude en grandissant (je voulais comme tous les enfants avoir des frères et sœurs) mais mes parents ne pouvaient plus en avoir.
J'ai fait des études de commerce à Grenoble, France et juste après j'ai travaillé 2 ans chez le groupe Danone à Paris.
Après ces deux ans en CDI, j'ai décidé de tout claquer et rentrer vivre de ma passion au Gabon.
J'aime la décoration d'intérieur, c'est tout à fait mon univers.
Je ne pouvais plus supporter de me lever et être dans un bureau la plupart de la semaine. Je n'aimais plus.
Un jour j'ai décidé de faire mes bagages et de rentrer au Gabon quitte à affronter mes parents.
Comme tous parents africains, ils m'ont pris pour une folle d'autant plus que je suis partie de tout à rien.
Pour ne pas subir les remarques tous les jours je n'ai fait que quelques mois chez eux.
Depuis, je suis dans ce studio que je m'aventure souvent à appeler Appartement.
Rien avoir avec le bel appartement que j'avais à Paris.
Je suis à Libreville depuis 1 an et quelques mois et ce n'est pas facile !
Les Gabonais ne font pas appellent aux gens pour ces types de services.
A vrai dire chacun décore sa maison non ? C'est plus simple.
J'ai quand même eu quelques projets et je ne vais pas me plaindre parce que je profite pour taxer, oui c'est comme ça il faut bien payer les factures.
Maman : je te laisse mais Nanda pardon si ça ne fonctionne pas je peux négocier avec un ami. Il va te prendre et tu vas au moins avoir de quoi payer un loyer. Au pire des cas tu peux revenir à la maison.
Moi (ouvrant la porte) : il se fait tard maman.
Je l'accompagne dehors et je fais tout pour qu'elle monte dans sa voiture sans en rajouter.
Lorsqu'elle s'en va je respire un bon coup avant de rentrer.
Quand je ferme la porte et que je me retrouve seule je fonds en larmes.
C'est difficile de se poser les questions tous les jours. Je ne sais jamais si mes fins du mois vont me permettre de joindre les deux bouts.
Tzs Tzs
J'essuie mes larmes et je vais prendre mon téléphone sur la table basse.
Moi (ne regardant pas le prénom) : oui maman tu as encore oublié quoi?
Steeve : ce n'est pas ta mère.
Moi (essuyant mes larmes) : ah, bonsoir.
Steeve : bonsoir, ça va ?
Moi (allant fermer la porte à clé) : c'est pas le top mais ça va et toi ?
Lui : je vais bien. Longue journée mais je ne plains pas. Je sors d'une réunion.
Il me raconte toute sa journée et j'écoute seulement sans rien dire.
Après 4 minutes :
Lui : allô ?
Moi : je t'écoute.
Lui : ah d'accord.
Il continue !
J'ai la tête ailleurs. Ma mère vient de me rappeler que je n'ai rien pour payer mon loyer.
Après 5 minutes :
Lui : allô ?
Moi : je t'écoute !
Lui : tu n'as rien à dire ? Quoi tu as un problème ?
Moi : je ne sais pas si je peux continuer comme ça. Je n'ai pas assez de sous pour le loyer et cette histoire me prend la tête.
Lui : je ne comprends pas pourquoi tu t'obstines à continuer avec cette affaire de décoration. Tu as un diplôme, tu attends quoi pour te reprendre ?
Je ne m'attendais pas à autre chose venant de lui, c'est ça le pire.
Je ne sais même pas pourquoi je lui ai dit ça.
Il se met à me passer un savon et quand il voit que je ne réagis pas :
Lui : mais bon c'est ton choix.
Steeve a 30 ans depuis quelques jours, il est comptable dans une agence de location de véhicules.
Il est du genre macho sur les bords.
Il sait qu'il est beau et qu'il plaît aux femmes. Du haut de ses 1m94 il passe rarement inaperçu, en tout cas pas devant des femmes qui font ma taille ou moins.
J'ai craqué face à son charisme n'en parlons pas de son charme.
Je voulais lutter, j'ai essayé, mais sa voix, son sourire et son beau teint noir ne m'ont pas rendu la décision difficile à prendre.
Steeve et moi sommes ensemble depuis un 1 an et bien qu'il soit aussi beau, ça n'a pas toujours été rose. On a d'ailleurs connu plus de bas que de haut.
Là, on sort d'une énième pause.
Il a un comportant qui m'insupporte la plupart du temps mais bon, quand il veut bien être gentil, il l'est sans mesure.
Moi : je ne m'attendais pas à ce que tu dises autre chose !
Lui : qu'est-ce que tu veux que je te dise au juste ? Tu te mets dans une situation difficile alors que tu peux retourner travailler.
Moi : je travaille. Je ne reste pas sur mon lit toutes les journées.
Lui : tu travailles mais tu n'as pas d'argent !
Moi : waouh !
Lui : ne fais comme si je parle mal.
Moi : ce n'est pas parce que tu ne considères pas ce que je fais que je ne fais rien.
Lui : c'est à toi de me prouver que ce que tu fais c'est un vrai boulot. Jusqu'ici je n'en suis pas sûr. Du moins, tu n'as quasiment jamais d'argent.
Moi : tu es toujours négatif Steeve. Tu sais que c'est difficile pour moi et tu as ce don de me faire passer pour une merde alors que je me bouge chaque jour que Dieu fait !
Lui : c'est toi qui le dis. Je n'ai jamais dit que tu étais une merde Nanda. Je te dis simplement que tu dois retourner travailler plutôt que d'espérer avoir une grande vie d'entrepreneur.
Moi : waouh Steeve !
Lui : je dis ça pour toi, je suis sérieux.
Moi : c'est exactement ce que je te reproche tous les jours. Qu'est-ce que ça te coûte de me soutenir ou simplement de m'encourager ?
Lui (ouvrant une porte) : ...
Moi : je ne te demande même pas de me dépanner financièrement, juste un soutien moral. Steeve tu ne sais pas à quel point que j'en ai besoin et ce n'est pas la première fois que je t'en parle.
Lui : donc je ne suis pas un bon soutiens ou du moins je n'en suis simplement pas un c'est ce que tu veux dire ?
Je le vois venir de loin. J'ai trop de choses en tête pour me fâcher.
Kamidi, jeune, belle, pleine de vie mais pourquoi tant de problème dans sa vie ?
Enora une jeune femme pleine de vie et folle amoureuse de Julien Retemba décide de laisser tomber sa vie en France pour retrouver ce dernier. Dès son retour dans son pays natal elle apprend que celui qu'elle considère comme son fiancé à un autre engagement. Mais il se trouve que cet engagement n'est pas simple, Que va faire Enora ?
Eliya est une jeune femme qui intègre une famille plein de secrets, très tôt, on réalise qu'elle aussi en a un.. Ce n'est qu'à ce moment que l'histoire prend une autre tournure.
Réussir, c'est se décider,c'est refuser de s'arrêter et de se laisser effrayer par n'importe quel obstacle... Quand la volonté de réussir est grand, le risque d'échec est petit... Au bout du tunnel...
Nos destins ne sont souvent pas prédéfinis... Nous devenons très souvent ce que nous disons... Chaque mots qu'on articule au sujet de nos vies, s'accomplissent très souvent comme des prophéties inévitables.
Sarah Dans ma première vie, j'ai trahi mon mari et renié toutes les valeurs que mon père m'avait enseignées. Je détestais l'homme que mon père avait choisi pour moi. J'étais prête à tout pour divorcer, même à traîner son nom et aussi le mien dans la boue. Dans ma première vie, j'ai fait confiance aux mauvaises personnes. Je prenais mes ennemis pour des amis et l'homme dont je m'étais entichée n'était en fait qu'un menteur, un voleur, un tricheur! Dans ma première vie, j'ai tout perdu. Mon héritage, la compagnie que mon père avait mis des années à construire... et même tous mes rêves se sont envolés en fumée! Tout ça pour quoi? À cause d'une obsession. Non! De mon infatuation! Dario Marconi ne méritait pas que je lui sacrifie toute ma vie. Je le découvris à mes dépens, le jour de ma mort! Ce n'est que dans mes derniers instants de vie que j'ai réalisé qu'un seul homme m'avait réellement aimée... au point de se sacrifier pour tenter de sauver ma vie, se jetant dans les flammes! Ses yeux bleu gris acier et l'expression de son visage au dernier instant, quand cet édifice en feu s'est effondré sur nous, me hanteront toujours. Damien Lockwood, si nous nous retrouvons dans notre prochaine vie, je te promets cette fois de t'aimer et de te chérir jusqu'à la fin de mes jours! Mais... qui aurait dit que la vie m'offrirait vraiment une seconde chance? Cette fois, je ne referai pas les mêmes erreurs. Cette fois... je vais me racheter du mal que j'ai fait à tous mes proches... et toi le premier, mon cher ex-mari! Bref, cette histoire est l'histoire secrète de la Renaissance d'une femme adultère.
Pendant trois ans, Cathryn et son mari Liam ont vécu un mariage sans intimité. Elle croyait que Liam se noyait dans le travail pour leur avenir. Mais le jour où sa mère est décédée, elle a découvert la vérité : il la trompait avec sa demi-sœur depuis leur nuit de noces. Elle a abandonné tout espoir et a demandé le divorce. Les moqueries ont suivi, elle reviendrait en rampant, disaient-ils. Cependant, les choses se sont avérées tout à fait contraires : Liam était à genoux sous la pluie. Lorsqu'un journaliste a demandé Cathryn si elle envisageait de se remettre avec lui, elle a haussé les épaules. « Il n'a aucune estime de soi et ne fera que me harceler sans cesse. » Un magnat puissant a passé un bras autour de ses épaules. « Quiconque convoite ma femme en paiera le prix. »
Belinda pensait qu'après le divorce, ils se sépareraient pour de bon. Il pourrait vivre sa vie comme il l'entendait, tandis qu'elle pourrait profiter du reste de la sienne. Mais le destin en a voulu autrement. « Ma chérie, je me suis bien trompé. Veux-tu revenir vers moi ? » L'homme, qu'elle aimait autrefois profondément, a baissé humblement sa tête fière. « Je te supplie de revenir vers moi. » Belinda a froidement repoussé le bouquet de fleurs qu'il lui offrait et a répondu : « C'est trop tard. »
Janice, l'héritière légitime perdue depuis longtemps, a fait son retour auprès de sa famille, s'efforçant de gagner leurs cœurs. Pourtant, elle a dû renoncer à son identité, à ses diplômes et à ses créations au profit de sa sœur adoptive. En échange de ses sacrifices, elle n'a trouvé aucune chaleur, seulement une négligence plus profonde. Résolue, Janice s'est juré de couper tout lien avec sa famille. Transformée, elle est désormais un maître des arts martiaux, maîtrisant huit langues, une experte médicale estimée et une styliste célèbre. Avec une détermination nouvelle, elle déclare : « À partir d'aujourd'hui, personne dans cette famille ne pourra me désobéir. »
Stella avait autrefois savouré la dévotion de Marc, mais sa cruauté dissimulée l'avait profondément blessée. Elle avait brûlé leur photo de mariage à ses pieds alors qu'il envoyait des messages coquins à sa maîtresse. La poitrine serrée et les yeux brûlants, Stella lui avait donné une gifle cinglante. Puis elle avait effacé son identité, s'était engagée dans une mission de recherche classée secret défense, avait disparu sans laisser de traces et lui avait laissé une bombe cachée. Le jour du lancement, elle a disparu ; à l'aube, l'empire de Marc s'est effondré. Tout ce qu'il a trouvé, c'est son certificat de décès, et il s'est effondré. Lorsqu'ils se sont revus, lors d'un gala, Stella était aux côtés d'un magnat. Marc l'a suppliée. Avec un sourire narquois, elle lui a répondu : « Tu n'es pas à ma hauteur, mon ex. »
Rena est entrée dans une liaison avec Waylen, un milliardaire, un soir où elle avait trop bu. Elle avait besoin de son aide, tandis qu'il était attiré par sa beauté. Ainsi, ce qui devait être une aventure d'une nuit s'est transformé en quelque chose de sérieux. Tout allait bien jusqu'à ce que Rena découvre que le cœur de Waylen appartenait à une autre femme. Lorsque son premier amour est revenu, il a cessé de rentrer à la maison, laissant Rena seule toutes les nuits. Elle a supporté cela jusqu'à ce qu'elle reçoive un chèque et une note d'adieu un jour. Contrairement à ce à quoi Waylen s'attendait, Rena avait un sourire sur son visage en lui disant au revoir. « Ça a été amusant, Waylen. J'espère que nous ne croiserons jamais nos chemins. » Mais comme le destin l'aurait voulu, leurs chemins se sont de nouveau croisés. Cette fois, Rena avait un autre homme à ses côtés. Les yeux de Waylen brûlaient de jalousie. Il a craché : « Comment as-tu pu te mettre avec un autre homme ? Je pensais que tu n'aimais que moi ! » « Comme tu l'as dit, aimais, c'est du passé ! » Rena a jeté ses cheveux en arrière et a rétorqué : « Il y a plein de poissons dans la mer, Waylen. De plus, c'est toi qui as demandé une rupture. Maintenant, si tu veux sortir avec moi, tu dois attendre ton tour. » Le lendemain, Rena a reçu sur son compte des milliards et une bague en diamant. Waylen est réapparu, s'est agenouillé et a dit : « Puis-je m'intercaler dans la file d'attente, Rena ? Je te veux toujours. »
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