Vous me détesterez sûrement...
Vous me détesterez sûrement...
Hello !
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?! : Comment est-ce que tu vas faire maintenant ? Dans peu de temps tout le monde le saura.
Moi : Je trouverai bien quoi faire !
Sitan : J'ai peur pour toi sérieux ! Tu sais très bien ce que tu risques quand ça se saura.
Moi : T'inquiète soit n'be saah (Je meurs) soit n'be balo (je vis). *sourire*
Sitan : J'ai peur pour toi et toi tu t'en moques.
Moi : Non ça, tout ce qu'il peut faire c'est de me battre et de me renier peut-être. Ne t'inquiète pas je gère tout. Et c'est de sa faute si je suis devenue comme ça.
Sitan : Eh Tata j.....
?! : Tata ! Ton père est là !
Moi : Merci Rokia. À plus Sitan ! Mon chauffeur est là !
Je sors du lycée et je monte dans la voiture. Je salue mon père et je reste tranquille sans bruit car il n'est jamais de bonne humeur cet homme tchiip.
Je sais je suis irrespectueuse ! On ne tchiip pas son père ! Mais lui, il le mérite.
Le trajet a été ennuyant comme tous les jours. On arrive à la maison, je salue ma mère et je vais dans ma chambre comme d'habitude, je suis pire qu'une prisonnière.
Je ne sors jamais, mon père me contrôle H223, il m'emmène au lycée et il revient me chercher lui-même ou il envoie son chauffeur. Mon emploi du temps il le connaît par cœur, je n'ai aucun moyen d'échappatoire. Même mes heures creuses, je les passe soit dans le bureau du surveillant soit celui du censeur.
Il me garde dans la maison comme si j'étais un objet de décoration mais c'était mal me connaître s'il pensait que je resterais toujours cloîtrer entre ces quatre murs.
Quand il comprendra ce qui se passe dans ma vie il tombera de haut !
Bref j'étais entrain de me connecter sur Whatsapp quand ma mère surgit tout à coup dans ma chambre, je cache direct mon smartphone.
Personne de chez moi ne sait que j'ai un téléphone, ne me demandez pas comment j'ai fait mais quand on veut on peut.
Mah : Tata tu as mangé ?
Moi : Non, dans peu de temps !
Mah : Ok, tu es tout le temps dans ta chambre, sors un peu dans la cour !
Moi : Pour quoi faire mah ? Je suis une prisonnière non ? Donc je préfère être dans ma chambre toute seule.
Mah : Ne dis pas ça, tu peux venir me parler, on ne se croise même pas dans la maison. Je suis même étonnée de voir que ta chambre ne soit pas fermée à clé aujourd'hui.
Moi : J'ai oublié de la fermer à clé deh !
Mah : Je n'aime pas tout ce changement, ça fait plus d'un an que tu es comme ça, avant tu n'étais pas comme ça !
Moi : Avant je n'avais pas grandi mais maintenant si ! Mah tu peux partir maintenant j'arrive !
Mah : Ok.
Elle est sortie, j'ai fermé la porte à clé et je suis retournée à mes occupations.
*Deux semaines plus tard*
Mah : Pourquoi tu grossis comme ça ?
Moi : Je ne grossis pas ! Je suis comme ça depuis toujours !
Mah : Tu mens, regarde ça (en touchant mes seins), eh Tata tu m'as tuée ! Comment est-ce que tu as fait ça ?
Moi : Je n'ai rien maman.
Mah : Ne me mens pas, regarde-toi, ton ventre (en me le touchant puis en soulevant mon haut)
Je ne portais que des vêtements de taille XXL en ces moments pour que personne ne le sache.
Mah : Eh Atoumata ! Je suis morte, ton père va me tuer ! On va mourir (en prenant sa tête)
Moi : Arrête Mah, je ne suis pas enceinte.
Mah : Si, tu l'es ! Tu es bel et bien enceinte ! Eh Allah ne...
?! : QUOI ?
C'était mon père il était peut-être entrain de passer dans le couloir quand il nous a entendu.
Mah : Rien !
Pah : J'ai très bien entendu ! Atoumata kônô ma do waah ? (Atoumata est-elle enceinte ?)
Moi : Ayi (non). Comment pourrais-je tomber enceinte alors que je suis tout le temps ici ? Je ne sors même pas ! Walima ne ye o taa dji de fè ? (Oubien l'ai-je prise en buvant de l'eau ?)
Paff ! Il m'a giflée.
Pah : C'est quoi ce ventre ? Suis-je né de la dernière pluie ?
Il n'a plus cherché de midi à quatorze heures, il m'a traînée hors de la chambre et m'a fait ma fête ! Il m'a bastonnée comme jamais. J'ai eu droit à tout : ceinture, branche d'arbre, fil électrique, bâton, .....
Je l'ai supplié de me laisser mais ça l'énervait encore plus, ma mère pleurait. Mes deux petits frères ne comprenaient rien, ils avaient les larmes aux yeux.
Heureusement pour moi que mon oncle est venu de nulle part et l'a calmé. Ma mère a profité de l'occasion pour me ramener dans ma chambre.
Mah : Qu'est ce que tu as fait ma fille ? Tu n'as même pas eu pitié de moi ! (en larmes)
Moi : ...sniff...sniff
Mah : Dis-moi qui est l'auteur de cette grossesse.
Moi : ...sniff...Je.. ne ..suis pas enceinte..
Mah : Arrête de mentir. (en essuyant ses larmes)
Moi : ....
Mah : Parle ou ton père reviendra te frapper, pire encore il me répudiera par ta faute. *voix cassée*
Moi : Mah..sniff..j
?! : SOUNGOUROUBA DEN INH TU VAS VOIR CE QUE JE VAIS TE FAIRE !
C'était mon père qui venait de rentrer dans ma chambre. J'ai sursauté en me cachant derrière ma mère malgré la douleur des coups que j'avais reçus.
Mah : Allah Kama a toyi (laisse-la à cause de Dieu), elle va parler. C'est qui le père de ton enfant Tata ?
Moi : ....
Mah : Réponds !
Pah : A TA DON OH ! SOUNGOUROUBA DE DO (elle ne le sait pas, c'est une p***)
Comment je l'ai mal regardé !
Mah : Tata ?
Moi : Mah comment pourrais-je tomber enceinte si je suis tout le temps dans ma chambre ? Et si je le suis c'est que je l'ai prise ici ! *voix cassée*
Mah : EH ALLAH ? QUI ?
Moi : Il me frappe alors qu'il sait très bien qui est l'auteur !
Pah : MAUDITE ENFANT ! J'ÉTAIS LÀ PEUT-ÊTRE ? (en me giflant)
Mah : Dis-moi qui c'est.
Moi : ...Sniff...Lui (en pointant mon père)...sniff...c'est...lui.. le..père (en larmes)
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Dily accepte de se marier en voulant enfin sauter le pas avec l'insistance de sa mère de la voir heureuse au côté d'un homme qui lui donnera le bonheur d'être mère. Pas de bol ! Ce dernier est déjà pris par son boulot et ses deux enfants. Avec un peu d'audace la belle Marie (Dily) arrive à gagner toute l'attention de son mari. L'amour né entre les deux ne laisse personne indifférente. Malheureusement la vie les sépare un peu trop vite comme quoi ainsi va la vie... dunia be tan de.
Beaucoup l'ont rêvé et moi j'ai eu la chance de le vivre. Crésus a tapé à ma porte. Ensuite cupidon m'a transpercé le cœur au moment où j'en avais le plus besoin. Mais est-ce suffisant ?
Le prince charmant peut sortir de nulle part et tout chambouler dans ta vie. Une vie de couple n'est pas facile encore moins si ton mari est l'objet de toutes les convoitises et que lui non plus ne soit pas un saint. Entre amour et déception je dois tout faire pour préserver mon mariage...... Mais jusqu'à quand ? Bonne lecture ! Histoire fictive
Résumé « Rompons ce lien maudit et libérons-nous mutuellement. Ainsi, Claire pourra enfin endosser le rôle de ta Luna. » La voix d'Addison vibrait d'une colère qui brûlait jusque dans sa poitrine, son souffle haché secouant tout son corps. Zion, lui, se figea, les mâchoires serrées. « Crois-tu vraiment pouvoir t'échapper ? » Son regard s'assombrit, virant à une teinte dorée inquiétante, reflet du loup qui grondait au plus profond de lui. Sans lui laisser la moindre échappatoire, il l'encercla de ses bras, l'arracha à l'embrasure de la porte et l'entraîna dans leurs appartements. Là, il lui imposa sa présence avec une intensité implacable, la retenant contre lui comme s'il voulait effacer par la force toute possibilité de séparation, jusqu'à ce que le temps perde sa mesure. Le lendemain, puis le surlendemain, il ne relâcha pas son étreinte. Et quand enfin il rompit le silence, ce fut d'une voix rauque, presque un murmure menaçant : « Si je dois t'attacher pour t'empêcher de fuir, je le ferai. Quand j'en aurai terminé, tu ne pourras même plus te tenir debout. » Le ton, dur et brûlant, ne laissait place à aucun doute : l'instinct primal de l'Alpha avait pris le dessus. Ils ne s'étaient jamais réellement écoutés. Entre eux, les incompréhensions s'étaient accumulées, bâtissant un mur qu'aucun ne prenait la peine d'abattre. Aveuglé par un orgueil âpre et par une rancune nourrie de suppositions, Zion n'avait jamais cherché à se justifier. Il voulait la voir payer pour ce qu'il croyait être une trahison, ignorant que cette vengeance lui coûterait bien plus qu'il ne pouvait supporter. Addison, lasse d'attendre qu'il dépose les armes de sa colère, avait fini par comprendre qu'elle devrait partir pour survivre. Quand elle s'évapora de son univers, tout vacilla. Zion perdit pied, incapable de supporter l'absence. Il fit trembler les fondations de sa propre meute, prêt à briser quiconque s'était interposé entre elle et lui. Mais il découvrit trop tard l'ampleur de sa faute : Addison avait disparu au-delà de toute piste. Et, plus cruel encore, il n'avait jamais pu lui révéler la vérité - l'enfant que portait l'autre femme n'était pas de lui. Avouer ce secret aurait signifié offenser quelqu'un que nul n'osait défier : cette femme appartenait à un cercle où la moindre offense se payait de sang. Alors, pour protéger Addison d'une condamnation certaine, il l'avait éloignée... en lui infligeant la blessure la plus profonde. Son orgueil avait tout dévasté. Plus encore que la mort de son père, l'ancien Alpha, ce geste resta la blessure qu'il ne put jamais refermer. Mais la Déesse de la Lune ne l'avait pas effacé de ses desseins. Leurs routes se croisèrent de nouveau. Et ce jour-là, il la vit. Pas seule. Un garçon se tenait à ses côtés. Non... deux. Deux fils. Une brûlure de remords le transperça. Autrefois, il avait voulu la réduire à néant ; aujourd'hui, il n'aspirait plus qu'à recoller les fragments, à regagner la famille qu'il avait volontairement détruite. Mais la distance qui les séparait s'était creusée comme un abîme infranchissable. Elle n'était plus cette femme qu'il pouvait convoquer d'un mot ou retenir d'une main. Pouvait-il encore espérer réparer l'irréparable ? Ou Addison tournerait-elle le dos à ses regrets pour accepter l'union imposée par son père, le Roi Alpha ? Cette union-là n'était pas un simple arrangement : elle ferait d'elle la première femme à régner seule sur un trône d'Alpha dans toute l'histoire.
Pendant trois ans, j'ai tenu un registre secret des péchés de mon mari. Un système de points pour décider du moment exact où je quitterais Adrien Mattei, l'impitoyable bras droit du Milieu marseillais. Je pensais que la goutte d'eau serait l'oubli de notre dîner d'anniversaire pour réconforter son « amie d'enfance », Ariana. J'avais tort. Le véritable point de rupture est arrivé quand le plafond du restaurant s'est effondré. En une fraction de seconde, Adrien ne m'a pas regardée. Il a plongé sur sa droite, protégeant Ariana de son corps, me laissant seule face à une tonne de cristal prête à m'écraser. Je me suis réveillée dans une chambre d'hôpital stérile, la jambe en miettes et le ventre vide. Le médecin, tremblant et blême, m'a annoncé que mon fœtus de huit semaines n'avait pas survécu au traumatisme et à l'hémorragie. « Nous avons essayé d'obtenir les réserves de sang O négatif », a-t-il balbutié, refusant de croiser mon regard. « Mais le Dr Mattei nous a ordonné de les garder. Il a dit que Mlle Lefèvre risquait un choc traumatique à cause de ses blessures. » « Quelles blessures ? » ai-je murmuré. « Une égratignure au doigt », a admis le médecin. « Et de l'anxiété. » Il a laissé notre enfant à naître mourir pour garder des poches de sang pour la coupure de sa maîtresse. Adrien est finalement entré dans ma chambre des heures plus tard, imprégné du parfum d'Ariana, s'attendant à ce que je sois l'épouse dévouée et silencieuse qui comprenait son « devoir ». Au lieu de ça, j'ai pris mon stylo et j'ai écrit la dernière entrée dans mon carnet de cuir noir. *Moins cinq points. Il a tué notre enfant.* *Score Total : Zéro.* Je n'ai pas hurlé. Je n'ai pas pleuré. J'ai simplement signé les papiers du divorce, appelé mon équipe d'extraction et j'ai disparu dans la pluie avant même qu'il ait eu le temps de se retourner.
Kallie, une muette qui a été ignorée par son mari pendant cinq ans depuis leur mariage, a également subi la perte de sa grossesse à cause de sa cruelle belle-mère. Après le divorce, elle a appris que son ex-mari s'était rapidement fiancé à la femme qu'il aimait vraiment. En tenant son ventre légèrement arrondi, elle s'est rendu compte qu'il ne s'était jamais vraiment soucié d'elle. Déterminée, elle l'a laissé derrière elle, le traitant comme un étranger. Pourtant, après son départ, il a parcouru le monde à sa recherche. Le jour où ils se sont croisés à nouveau, Kallie avait déjà trouvé son amour. Pour la première fois, il l'a suppliée : « S'il te plaît, ne me quitte pas... » Mais la réponse de Kallie était ferme et méprisante, « Va-t'en ! », anéantissant tous ses espoirs.
"C'était juste une aventure d'un soir, et maintenant je suis enceinte de triplés ? Mon Dieu !" Romy Inaya n'aurait jamais pensé qu'elle serait obligée de fuir sa propre famille en étant enceinte. Elle était seule, sans argent, sans relations, avec trois fœtus dans son ventre. Comment peut-elle survivre? Cependant, Inaya ne pouvait pas abandonner maintenant, jusqu'à ce qu'elle parvienne à récupérer sa propriété arbitrairement saisie et à se venger de tous ceux qui ont essayé de se débarrasser d'elle. Un enfant malade, un ancien amour qui refait surface, un mystérieux homme excentrique, et une famille qui la déteste, vont tisser ensemble le voyage de la nouvelle vie de Romy Inaya. "Tu n'as pas le droit de me séparer de mes enfants, espèce de salaud ! Je survivrai et tu te soumettras à moi. Regarde-moi bien !"
Après deux ans de mariage, Kristian a lâché une bombe. « Elle est revenue. Divorçons. Demande le prix que tu veux. » Freya n'a pas discuté. Elle a juste souri et a fait ses demandes. « Je veux votre supercar la plus chère. » « D'accord. » « La villa à la périphérie. » « D'accord. » « Et la moitié des milliards que nous avons gagnés ensemble. » Kristian s'est figé. « Quoi ? » Il la trouvait ordinaire, mais Freya était le génie à l'origine de leur fortune. Et maintenant qu'elle est partie, il ferait n'importe quoi pour la reconquérir.
Être la deuxième meilleure, c'est pratiquement inscrit dans mes gènes. Ma sœur recevait l'amour, l'attention, les feux des projecteurs. Et maintenant, même son foutu fiancé. Techniquement, Rhys Granger était maintenant mon fiancé : milliardaire, d'une beauté renversante, et un rêve ambulant de Wall Street. Mes parents m'ont poussée dans cet engagement après la disparition de Catherine, et honnêtement ? Ça ne me dérangeait pas. J'avais craqué sur Rhys depuis des années. C'était ma chance, non ? Mon tour d'être celle que l'on choisit ? Faux. Un soir, il m'a giflée. À cause d'une tasse. Une stupide, ébréchée et moche tasse que ma sœur lui avait offerte des années auparavant. C'est à ce moment-là que j'ai compris : il ne m'aimait pas. Il ne me voyait même pas. Je n'étais qu'un substitut à peine chaleureux pour la femme qu'il désirait réellement. Et apparemment, je ne valais même pas une simple tasse à café glorifiée. Alors je l'ai giflé en retour, largué sur-le-champ, et préparé la catastrophe : mes parents perdant la tête, Rhys piquant une crise de milliardaire, sa famille effrayante complotant ma perte prématurée. Évidemment, j'avais besoin d'alcool. Beaucoup d'alcool. C'est là qu'il est apparu. Grand, dangereux, injustement séduisant. Le genre d'homme qui vous donne envie de succomber rien qu'en existant. Je ne l'avais rencontré qu'une seule fois auparavant, et ce soir-là, il se trouvait justement au même bar que moi, en pleine autosatisfaction alcoolisée. Alors j'ai fait la seule chose logique : je l'ai traîné dans une chambre d'hôtel et arraché ses vêtements. C'était irréfléchi. C'était stupide. C'était complètement déconseillé. Mais c'était aussi : le meilleur sexe de ma vie. Et, il s'est avéré que c'était la meilleure décision que j'aie jamais prise. Parce que mon aventure d'un soir n'est pas qu'un type quelconque. Il est plus riche que Rhys, plus puissant que toute ma famille, et assurément plus dangereux qu'avec qui je devrais m'amuser. Et maintenant, il ne compte pas me laisser partir.
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