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Il y a des gens qui sont comme des anges mais qui en réalité, cachent très bien leur jeu....
Il y a des gens qui sont comme des anges mais qui en réalité, cachent très bien leur jeu....
Moi: J'aimerais me rendre à Lagos s'il vous plait.
Lui: Aujourd'hui ou demain?
Moi: Aujourd'hui!
Lui: Pour quelle heure?
Moi: Le prochain si possible.
Lui: Ça va vous revenir plus cher Monsieur, il fallait réserver en ligne.
Moi: Ce n'est pas un problème.
Lui en s'aidant d'un geste de la main: D'accord! Vous voyez le bus la-bas? Vous le prendrez vu qu'il s'y rend. Vous n'aurez qu'à voir avec le chargeur et revenir ici pour les frais de transports si il reste encore une place pour vous.
Moi: Merci Monsieur. Je me rends dans le bus en direction de Lagos, pour une mission qui m'est plus que chère. Une mission à laquelle je ne peux échouer, ça ne me vient même pas à l'esprit, NON l'échec n'a jamais été dans mon calendrier et ça ne commencera pas aujourd'hui.
Je passe quelques appels pour être sûr de contacter les personnes dont j'ai besoin. C'est une question de vie ou de mort.
Ce matin encore j'ai ressenti une forte migraine, j'ai du faire de gros efforts pour quitter mon lit. Je ne comprends vraiment pas ce qu'il m'est arrivé hier, c'est à peine si je pouvais poser un pied devant l'autre.
Cet endroit... pourquoi m'y suis-je rendu? J'aurais pu y laisser ma vie si je n'avais pas été assez vigilant, j'aurais pu y laisser ma peau. Fort heureusement, j'ai des contacts. Ensemble nous pourrons les arrêter, les empêcher de nuire. Oui nuire.
Ces gens sont trop dangereux, ils pourraient faire encore plus de mal si on ne les arrête pas. Ce sont nos ennemis.
Elle: Bonjour Monsieur!
Moi: ...
Elle: Monsieur?
Que me veut cette dame? Ne voit-elle pas que je suis tourmenté? Je fais mine de regarder le paysage et ne rien entendre, ne lui donnant aucun autre choix que d'avancer et de choisir une autre place.
La route est très longue jusqu'à Lagos, j'ai l'impression qu'on n'arrivera jamais. Pour tuer le temps, je me mets à observer les autres passagers.
Une jeune fille, très jolie mange des chips en écoutant de la musique, elle chantonne comme si la vie seule lui suffisait pour être de bonne humeur. Si seulement elle savait...
Un monsieur d'une cinquantaine d'années est assis à ma droite, la mine renfrognée. Ils se contente de claquer brutalement ses chaussures sur le sol, à croire que ça fera voler le bus.
Deux petites filles jouent aux côtés de leur mère, totalement insouciantes des dangers qui courent les rues.
Que deviendront-elles dans quelques années? Quels choix feront-elles?
Je décide de ne plus trop prêter attention à cela et essaie de trouver le sommeil...sans succès. Alors je continue de regarder le paysage, repensant aux événements de la veille. Jamais de toute mon existence je n'aurais pensé que cela puisse être possible.
J'ai toujours pris mes dispositions afin que rien ne puisse m'atteindre ni me menacer, mais depuis deux jours... La sonnerie de mon portable retentit et la voix de ma tante s'élève à l'autre bout du fil:
Ma tante: Tu es sûr que ça va?
Moi: Oui ma tante, ça va bien.
Ma tante: mais tu pars en catastrophe comme ça, qu'est ce qu'il se passe? Tu as des problèmes?
Moi: On en a déjà parlé, je n'ai aucun problème ma tante, c'est juste que j'ai des responsabilités ailleurs.
Ma tante: tu n'as même pas eu le temps de prendre de la nourriture.
Moi: Ça ira pour moi, j'en prendrai autant que tu voudras la prochaine fois.
Ma tante: Hum Moi: C'est promis.
Ma tante: D'accord! Tu as pu avoir un bus?
Moi: Bien-sûr! Nous sommes entrain de nous rendre à Onitsha.
Ma tante: Je vois, il faut faire attention à toi.
Moi: Ne t'inquiètes donc pas. Ma tante: Je dois m'inquiéter. Tu sais que tu es le seul à être venu me rendre visite depuis le décès de ton oncle. Quand tu pars ainsi, tu me laisses avec qui?
Moi: ...
Ma tante: Dès que tu as du temps il faut revenir rester avec moi.
Moi: Je reviendrai.
Ma tante: Bon je te laisse.
Moi: D'accord!
Je pousse un soupir de soulagement à la fin de ce coup de fil car je sais que ma tante peut-être très curieuse des fois. Elle n'a pas besoin de savoir pourquoi je suis parti aussi vite, c'est beaucoup trop important et personnel pour que je lui en parle. Mais je reviendrai d'ici là, cela ne me pose pas de problèmes. Il faut juste que je finisse ce que j'ai à faire. De quoi s'agit-il? Pourrais-je seulement en parler sans remonter à la source? Pourrais seulement en parler sans passer par la case départ? Je ne pense pas. C'est une longue, une très longue histoire que j'ai à coeur de vous raconter...
_: Nkem!
Je me retourne, essayant de voir si il y a un visage familier dans le bus mais je ne reconnais personne.
Aurais-je rêvé? Cela ne se peut, je suis totalement éveillé. Et qui pourrais bien utiliser ce nom pour m'appeler, la seule capable d'utiliser ce nom est décédée depuis longtemps, enfin à ma connaissance. Mais que ce passe t-il encore?
_: Nkem! Vas-tu encore me trahir?
Moi: QUI ÊTES-VOUS?
J'ai parlé si fort que tous les passagers du bus me dévisagent, se demandant certainement ce qu'il se passe. Nul doute qu'ils me prennent pour un fou à l'heure actuelle. Pourtant j'ai bien entendu mon nom. Je me retourne encore une fois, je me lève et sillonne le bus avant de revenir m'assoir. J'ai du mal entendre. La fatigue et les soucis sûrement. Pensant que tout irait bien, je tente à nouveau de me rendormir, mais une chaleur malveillante s'empare de moi et me met mal à l'aise. La chaleur est si vive et si forte que les autres passagers la ressentent depuis leurs sièges.
Au bout d'un moment, un monsieur s'approche prudemment de moi:
Le Monsieur: Vous allez bien Monsieur?
Moi: Oui oui je vais bien.
Le monsieur: Vous ne ressentiez pas de la fièvre avant de monter?
Moi: Aucunement Monsieur, je vous dis que je vais bien.
Le monsieur: Pourtant vous chauffez beaucoup.
Moi: ce n'est rien je vous assure. Merci beaucoup!
Tu Le Monsieur: J'ai du paracétamol au cas où...
Moi: C'est gentil mais je n'en ai pas besoin.
Et Il me regarde avec insistance avant de reprendre sa place. je sais que tous ont des doutes sur mon état de santé mais j'ignore moi même comment me l'expliquer. Pourvu qu'on arrive rapidement. je n'en peux plus.
Je ressens cette chaleur de plus en plus fort, la trouve de plus en plus insupportable mais je fais mine d'ignorer les regards inquiets des autres passagers. Le conducteur se voit obligé de faire une pause pour voir ce qui ne va pas. Je lui explique que c'est une question de vie ou de mort et que je dois absolument aller à Lagos.
Pris de peur, il me dit qu'il ne peut me laisser qu'à Onitsha afin que je vois au moins un médecin. J'obtempère car de toute façon je m'y rends en escale. Je pourrai trouver un autre bus sur place et faire de même pour arriver à Lagos. Rassuré de cette perspective, je tiens le coup, attendant patiemment ma destination. Mais quelque chose d'inattendu arrive. Nous traversons Umuakpa, dans Owerri, et la chaleur devient si douloureuse que je me vois contraint de mettre les mains sur la tête et de me recroqueviller sur moi même.
Je vois et entends de moins en moins, au point de perdre connaissance... Je disais donc que c'est une longue, une très longue histoire que j'ai à coeur de vous raconter. Si je le fais ce n'est pas parce que j'en ai simplement envie, mais parce que je le dois. Ouvrer grands vos yeux car les apparences son trompeuses, très trompeuses. Je suis là pour vous montrer la partie immergée de l'iceberg.
À suivre..,
C'est l'histoire d'une jeune femme courageuse et ambitieuse appelée Gabriella qui voit son existence chamboulée quelques jours après son mariage avec Mike l'homme de sa vie ; en effet victime d'une conspiration elle sera accusée de l'assassinat de son beau frère... Ses proches lui ayant tourné le dos, la justice n'étant pas de son côté, elle se retrouve à affronter cette situation toute seule, chose qui a failli lui coûter la vie. Après ce qu'on pourrait qualifier de renaissance Gabriella est décidé à retrouver et à éliminer celui qui lui a tendu ce piège ; seulement dans l'optique de sa vengeance elle va découvrir un certain nombre des secrets bien plus sombres [...]
C'est l'histoire de Yvi , qui laissera certains de sentiments pour prendre une décision qui impactera sur sa vie.. Elle se retrouvera dans une sphère où en voulant faire marche arrière, elle risquerait de s'enfoncer encore plus...
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C'est l'histoire d'un jeune homme, Julien ; pris sous les ailes de sa grand-mère dès son adolescence après le décès tragique de ses parents... Cette dernière œuvra de tous les moyens possibles pour maintenir la vie de son petit en sécurité et ça où qu'il soit... dans ce village considéré comme une jungle où les plus fort s'accaparent des plus faibles... Étant ignorant de quoi était faite sa vie en réalité, il finira par le découvrir tôt ou tard et décidera de s'y opposer, d'où la colère du protecteur. Entre amour drame et sorcellerie, retrouver...
" Carroll Brown est mort ! Mais tu dois l'épouser au nom de ta sœur. " Ma mère me dit d'un ton froid. Ma sœur était fiancée au milliardaire le plus sexy. Cela aurait dû être un mariage parfait. De façon inattendue, Carroll était mort dans un accident. Ma sœur ne voulait pas devenir veuve, alors elle m'a forcée à épouser son fiancé décédé. Et je n'avais pas le droit de lui refuser. En fait, j'étais la fille biologique de la famille Smith. Ma sœur était adoptive. Ma sœur et moi avions été échangées à l'hôpital alors que nous venions de naître. Mes parents avaient déjà eu une relation profonde avec elle. Alors ils ont choisi de me sacrifier. Le jour du mariage, j'ai été emmenée dans la salle de deuil. "Madame, veuillez tenir compagnie au Maître et laissez-le se réchauffer." dit la gouvernante avec une expression froide. Je n'ai pas pu m'empêcher de lever les yeux vers le portrait au-dessus du cercueil, et mon cœur a raté un battement à ce regard. L'homme du portrait était plus beau que les superstars d'Hollywood. Carroll Brown ? Mon mari décédé ? Wow, il était vraiment beau ! Je ne savais pas combien de temps s'était écoulé lorsque mon estomac a commencé à se rebeller. Après un coup d'œil au cercueil, j'ai avalé ma salive puis j'ai supplié en croisant les doigts. « M. Carroll, je meurs de faim ! Puis-je manger vos pâtisseries ? Cela ne vous dérange pas, n'est-ce pas ? "Je fais." « Ah ! » Effrayé, j'ai eu des sueurs froides. Mes jambes sont devenues molles et je suis tombé au sol. J'ai crié "Fantôme !" Carroll retroussa les lèvres, se pencha et toucha le cercueil noir. "M. Carroll est ressuscité des morts. Que pensez-vous de ce titre demain?"
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Pour payer les frais médicaux de son frère, Rozanne Clark a été forcée de coucher avec un inconnu, sans savoir qu'il s'agissait de Zayden Nelson, le président du groupe Accenco. Cependant, elle a été chassée de la famille Clark dès qu'elle a terminé sa tâche. Elle n'a donc eu d'autre choix que de partir à l'étranger. Plus tard, elle a donné naissance à une paire de jumeaux. Cinq ans plus tard, Rozanne a terminé ses études et est devenue andrologue. Un jour, elle a rencontré Zayden à l'hôpital. Zayden était beau et super riche. Cependant, son seul défaut était qu'il ne s'intéressait à aucune femme. Il a donc demandé à Rozanne de lui rendre visite pour soigner sa maladie. Pendant ce temps, il continuait à chercher la femme avec laquelle il a couché il y a cinq ans. De façon inattendue, une fois touché par Rozanne, la bosse de Zayden a durci de façon incontrôlable...
Enceinte de huit mois, je pensais que Damien et moi avions tout pour être heureux. Une maison parfaite, un mariage plein d'amour, et notre fils miracle en route. Puis, en rangeant son bureau, j'ai trouvé son certificat de vasectomie. Il datait d'un an, bien avant même qu'on commence à essayer. Perdue, paniquée, je me suis précipitée à son bureau, pour n'entendre que des rires derrière la porte. C'était Damien et son meilleur ami, Édouard. « Je n'arrive pas à croire qu'elle n'a toujours rien compris », gloussa Édouard. « Elle se pavane avec son ventre énorme, elle rayonne comme une sainte. » La voix de mon mari, celle qui me murmurait des mots d'amour chaque nuit, était pleine de mépris. « Patience, mon ami. Plus elle s'arrondit, plus la chute sera dure. Et plus mon gain sera énorme. » Il a dit que tout notre mariage n'était qu'un jeu cruel pour me détruire, tout ça pour sa précieuse sœur adoptive, Elsa. Ils avaient même lancé un pari sur l'identité du vrai père. « Alors, le pari tient toujours ? » demanda Édouard. « Je parie toujours sur moi. » Mon bébé n'était qu'un trophée dans leur concours malsain. Le monde a basculé. L'amour que je ressentais, la famille que je construisais, tout n'était qu'une imposture. À cet instant, au milieu des ruines de mon cœur, une décision a germé. Froide. Claire. J'ai sorti mon téléphone, ma voix étonnamment stable en appelant une clinique privée. « Bonjour », ai-je dit. « Je dois prendre un rendez-vous. Pour une interruption de grossesse. »
Vivant avec sa mère depuis sa naissance, Djamila croyait que cela allait encore se suivre pendant plusieurs années lorsqu'on lui annonça qu'elle allait épouser le Sultan de son pays ; Rachid Al-Alimi, sultan du Yémen, était dans l'obligation de se marier car le peuple Yéménite réclamait de lui une femme et un héritier au trône mais il n'avait personne comme candidate pour assurer ce rôle.
En regardant les papiers du divorce, mes lèvres se sont courbées en un sourire moqueur. 'Quelle grande idiote suis-je ? Comment peux-je penser qu'il donnera une chance à ce mariage ? Comment puis-je oublier que je n'étais pour lui qu'un outil pour se défouler jusqu'à ce que sa bien-aimée Tina revienne. Puisqu'elle est revenue, comment pourrait-il me laisser là ?' "Après avoir signé ces papiers, vous recevrez 100 millions de dollars en guise de pension alimentaire." ajouta l'avocat. A cause de ses paroles, je suis revenue à mes esprits, ai pris le stylo qu'il me tendait et ai signé mon nom. J'étais aussi épuisée par ce mariage, tant physiquement que mentalement. Même si je voulais que mon enfant naisse dans une famille complète, je ne voulais pas qu'il ait une belle-mère et vive misérablement comme moi pour le reste de sa vie. Après avoir pris les papiers de ma main, l'avocat m'a donné la carte bancaire, a fait demi-tour et s'apprêtait à partir quand il s'est arrêté à la porte. Il s'est ensuite retourné et a ajouté : "M. Leblanc a dit qu'il espérait que vous ne le harcellerez pas, sinon vous devrez en assumer les conséquences." Les mots de l'avocat étaient comme un couteau qui me transperçait le cœur, mais j'ai quand même acquiescé. De toute façon, je ne prévois pas non plus d'avoir quoi que ce soit à voir avec lui à l'avenir. Je veux juste vivre une belle vie avec mes enfants. Après le départ de l'avocat, la chambre est retombée dans le silence. J'ai posé ma main sur mon ventre et dit à mes enfants : "Bébé, je suis désolée, maman ne peut pas t'offrir une famille complète ! Mais je te le promets, je ferai de mon mieux pour te donner l'amour d'une mère et d'un père." 'Quant à en donner un de mes enfants, je ne le ferai jamais. Ce sont mes bébés et ils ne sont qu'à moi. Je vais les mettre au monde et les élever quoi qu'il arrive...' Quatre ans plus tard... Freyja est revenue au pays avec ses trois enfants, pour hériter de l'entreprise laissée par son grand-père...
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