Ma destinée, ma vie , mon choix , mes erreurs......
Ma destinée, ma vie , mon choix , mes erreurs......
Chapitre 1
Assise sur un tabouret, je débarrasse mes ongles des peaux mortes avant de mettre du vernis à ongle car ce soir, je dois me rendre à l'église.
J'ai repéré un beau jeune homme, hum je suis déjà in love (amoureuse), il a à peu près un mètre soixante, il n'est pas très gros ni très mince d'ailleurs, a de jolie petits yeux, une petite barbe qui lui donne l'allure de quelqu'un de sévère mais bon ce n'est pas le cas, selon moi !
Oh que j'aime cela !.
Euh je suis désolée !
je ne me suis pas encore présentée.
Je me prénomme Médelva, mon nom c'est MOUKAGNI et comme il faut ajouter celui de mon père, eh bien C'est KOUMBA.
J'ai 21 ans, fille unique de mon père et ma mère, je suis en classe de Terminal au LPEE ( LYCEE PAUL EMANE EYEGHE).
Bien sûr Je passe mon Baccalauréat cette année !
EN passant, mon père, monsieur Jean KOUMBA, est l'un des rares Punu qui ne respecte pas la tradition il fait ce que bon lui semble car dit-il ,<< j'ai fait l'école des blancs moi ! vous croyez que vos traditions m'intéressent ? beh vous vous leurrez !! >>
Il ajoute en disant << essayez de venir me toucher mystiquement avec votre vampire, moi Koumba je viendrais physiquement vous tirer dessus vous saurez pourquoi le porc-épic à des épines sur le corps parole d'un Punu.>>.
Et chaque fois que je repense à cela j'ai un baume au cœur car si mon père était le genre qui se laissait marcher dessus, il y a longtemps nous serions morts et enterrés.
Bref revenons à nos moutons.
Je tiens à préciser que je suis noire de peau, belle de figure, les yeux marron, un nez assez respectable, des lèvres pulpeuses, j'ai une belle paire de seins, un fessier rebondit, une paire de hanches à faire baver et enfin des jambes galbées.
En quatre mots : un corps de rêve...
Christine (depuis la cuisine) : Mède !!!
Moi (refermant le vernis à ongle) : Maman ?
Elle, c'est ma mère, Christine MABIKA la femme la plus soumise et pacifique au monde.
Belle de figure teint marron de taille moyenne, Elle est tout le contraire de papa, souvent je me demande comment elle a fait pour supporter mon père durant toutes ces années ! mais bon !
Chacune son fardeau !
Il faut que j'y aille.
Moi (m'avançant vers elle) : Maman je suis là.
Maman (assise sur un tabouret) : Hum ! depuis que je t'appelle !
Va m'acheter la banane de deux mille francs s'il te plaît.
Moi (boudant) : Roh maman !
Avec un gros soleil comme ça, ! il est treize heure, en plus ,je sors a peine des cours.
Maman (le regard mauvais) : Tchiup !
Depuis douze heure que tu es rentré !
Quand tu vas manger ça, tu vas aussi penser au soleil ?
Pardon vas-y ou, tu me remets mon argent.
J'esquisse une grimace avant de me décider à partir, ma mère me jette un regard qui me fait sourire.
Ce qui est évident c'est qu'elle a horreur de ça, elle sait que je sais ça.
Mais rien de plus amusant que de le faire.
Elle ramasse une babouche et fait semblant de la lancer vers moi, Je cours une bonne distance avant de me rendre compte qu'elle plaisantait.
Je longe le couloir qui mène au marché banane, en se rapprochant du marché, on pouvait trouver des étalages de toutes sortes de fruits et légumes sans compter .
Au début c'était un marché ou on ne vendait que des bananes d'où son appellation mais il n'est plus ce qu'il était, on y vend de tout maintenant.
Notre maison était en dur, crépis et peint en blanc car mon père avait misé une fortune « mes économies estudiantines » avait-il coutume de dire, pour la construction de celle-ci.
Nos voisins les plus proches, deux pour être précis, sont de nationalité Gabonaise : un nzebi et un punu. L'un d'eux se comporte comme un vrai ouest af (ouest africain).
Je viens d'arriver devant l'étale d'Amira la petite vendeuse béninoise, elle vit avec ses parents et fait partie des jeunes filles béninoises qui vont à l'école et viennent vendre au marché avec ses frères et sa mère après les cours.
Moi (la main sur la hanche lui tendant nonchalamment le billet de deux mille francs) : Mira je veux la banane.
Mira (prenant le billet ): combien?
Moi (fronçant les sourcils) : Aka ! tu ne vois pas que c'est deux mille franc, ou tu veux que je te fasse un dessin ?
[Lui tendant la main]
Donne la feuille et le crayon, je te fais un dessin.
Amira (incrédule) : Eh !!! mède, il faut un peu changer ! Peut-être, tu veux pour mille francs on ne sait jamais.
Elle ajoute,
Amira (la main à la hanche) : Tu les veux mûres ou semi-mûre ?
Moi (perdant patience) : Pardon sers moi on m'attend !!
Amira chercha un sachet blanc bio dégradable et mit les six gros doigts de banane semi-mûres à l'intérieur avant de me les remettre.
Je tourne le talon en me dirigeant vers la maison.
Trois minutes plus tard je tends le sachet à maman qui le prend et commence à éplucher les bananes pour ensuite faire la boulette (banane pilée) à papa car il en raffole.
Je me dirige ensuite vers ma chambre pour récupérer ma serviette et aller remplir mon seau dans la cour avant d'aller à la douche qui se trouve derrière la maison, seuls les parents disposent d'une douche interne dans leur chambre.
Trente minutes plus tard, j'étais fin prête, je prend ma sacoche noire met mon calepin et un stylo bleu à l'intérieure.
Je m'approche du miroir pour me mirer et faire de dernières retouches avant de mettre mon parfum des grands évènements, car, voyez-vous, j'ai au moins trois parfums à mon chevet, un pour les grands évènements : c'est un parfum un peu coûteux, "comme une évidence"... ah ah je sais que beaucoup tchip dans leur cœur, rire mais pour moi il est un peu couteux.
Ensuite il y a "l'un et l'autre", pour mes ballades en soirée et enfin "Ushuaia" le déo au coco, en sortant le matin pour l'école.
***
Pendant ce temps à l'église
La réunion des jeunes de l'église Mardochée Sion avait déjà débutée, on est samedi après-midi et certains, qui apprennent le samedi, ont encore leur tenue du lycée d'autres ont retiré leur chemise en gardant chacun leur haut qu'ils avaient en dessous de la chemise avec leurs pantalons pour les garçons et leurs jupes pour les filles.
Il y'a là, plusieurs jeunes lycéens et lycéennes pour la plupart, réunis, tous pour la gloire d'un seul homme ; "JESUS" enfin certains, bref.
J'arrive au niveau des battants de la porte d'entrée principale et me met à fouiller Barbara du regard, ma complice on s'est toujours dit « qui arrive avant l'autre, cherche l'autre » et on s'assoie toujours côte à côte pour mieux ''opérer'' ...
Dès que j'ai aperçu Barbara je me suis précipitée vers elle sans m'occuper du frère qui se tenait là pour la sécurité et l'accueil.
Je la rejoins, et en me voyant elle se redresse et esquisse un sourire auquel je réponds.
Je prends place près d'elle et baisse ma tête car la prière a débuté depuis un bon moment.
Barbara est une jolie fille brune avec de longs cheveux naturels, de taille moyenne, pas très grosse, toujours sérieuse quand elle le veut car parfois elle est chelou (louche) quand ça lui pique en bref c'est ma sirène à moi.
J'ai toujours la tête baissée quand j'entends l'officient clôturer la prière par un
L'officient (le micro à la main) : au nom de JESUS CHRIST nous avons prié, et tous les saints disent....
Et à l'assemblée de répondre : amennnnnnnn.
Ensuite une des chantres prend le micro et nous annonce qu'on passe au moment de l'adoration .
Barbara qui est déjà debout me touche à l'épaule, me faisant signe de me lever ce que je fais sans me faire prier.
On se met à adorer les yeux fermés les mains levées c'est mon moment préféré, je peux faire mes bêtises mais quand il s'agit d'adorer Dieu je le fais sérieusement.
L'adoration terminé on passe aux moments de réjouissances, le temps de louange c'est le moment favori de Barbara, elle se balance dans tous les sens me bousculant parfois au passage.
Pendant ce temps, je cherche celui qui me fait battre le cœur dans l'assemblée mais je ne le vois point , ce qui m'attriste.
Dix minutes plus tard l'officient prend la parole , nous demande de prendre place et invite le responsable du mouvement jeunesse qui vient partager sur l'art de suivre le Seigneur.
Mes pensées sont cependant partagées entre ce qu'il dit et le fait de pas voir mon bel inconnu.
Barbara qui, vient de remarquer ma triste expression me fixe,
Barbara (l'air inquiète) : Qu'as-tu ma copine ? Murmura-t-elle.
Moi (triste) : Barbie je ne vois pas mon Don Juan !! murmuré-je en retour.
Barbara (ennuyée) : Oh ! Le nouveau de la dernière fois ?
Moi (ironique) : Non celui de tout à l'heure ! Grrrrrrr. Je te parle de lui, bien sur aka !
Barbara (amusé) : Rohh toi hein ! Change un peu ! Regarde, tu ne le vois pas là-bas, regarde du côté des musiciens !
Moi (regardant dans la direction qu'elle me montrait) : Aie ! Je n'ai pas remarqué, il est maintenant au groupe Louange ?
Ça alors ! M'exprimé-je le cœur battant sans pourtant cacher mon étonnement et ma surprise.
Barbara (me fixant avec les yeux qui louche) : Bon maintenant concentre toi à la prédication.
Puis elle se remet à écouter religieusement l'orateur.
Mais sans vous mentir dès l'instant ou j'ai vu où il se trouvais, je ne le quittait plus des yeux il est entrain de jouer du piano ?
Quoi ???
Il joue du piano ?
mais alors là je crois que j'ai vraiment besoin que quelqu'un me pince ! dites-moi que je rêve ça alors!!!
Prologue Mado (assise à même le sol le pagne noué autour des reins) : Oyoooooo mon enfant oooo mon Dieu ! Pourquoi ma fille, ooo Seigneur snif ! Qu'ai-je fait pour mériter un tel sort. Ma fille est sensé m'enterrer pas moi oooooo ihhhhhh [Posant mes mains sur mes jambes] Kerene (allongée à même le sol) : Maman, sniff ! J'ai mal au cœur, ma propre sœur, à cause d'une catin ! Mado (appuyant les mains sur les genoux) : Ma fille ooooo mon Dieu ! J'ai porté neuf mois, Seigneur tu as vu ma douleur, tu as vu combien de fois je me suis battu quand son père nous a quitté. Quand ma belle famille m'a mise dehors avec ma fille ! Ihhhh maman ohhh ! C'est donc comme ça la douleur qu'on ressent ? [Tendant les bras avec supplication] Kerene...Kerene ohhhh! Ma fille, je vais mourir. Kerene (avançant son bras vers sa mère les larmes plein les yeux) : Maman, non ! Sniff, si tu meurs aussi, qui restera avec moi ! Mado (la tête en arrière) : Tu as ton père ! Ohhhh mon Dieu ! Fabrice ! [Les yeux levés vers le ciel] Tu meurs et ta fille aussi meure ? Quoi, tu ne voulais pas qu'elle reste avec moi ? Où bien tu veux que je vienne avec vous ? Kerene (se redressant) : Je t'interdit de parler comme ça maman, sniff. Tu n'as pas d'amour pour moi aussi ? Je suis ton sang aussi ! C'est vrai, ma sœur est morte de la pire des façons, mais tu ne vas pas me laisser aussi ? Il vaudra mieux que je vienne avec vous si tu décides de la suivre. Mado (inconsolable) : Ouh ouh snif ! [La main sur la poitrine] Désolée, j'ai vraiment mal. Ta sœur, la tête de la famille nous à quitter à cause d'un conard, un sorcier. Il n'a qu'à se pointer ici oooooooo [les mains sur la tête ] ihhhh...wooo ma fille ooo ! Fernand (les bras le long du corps) : Mado, explique moi ce qui s'est passé, je viens d'apprendre que ma nièce nous a quitté ? Mado (la tête baissée) : Oui oh tate, [levant les yeux enflés vers lui] Je ne sais pas... snif comment... son... sorcier de mari... snif s'est arrangé pour le faire... Fernand (les mains aux hanches) : Et où est -il maintenant ? Mado (la voix faible) : Porté disparu ooooo Fernand ! Snif Il me laisse avec un corps inanimé ooo ! [S'arrêtant un instant de pleurer] Je fais quoi avec ça ? J'ai besoin de ma fille vivante...oyooooo brrrrrrr snif. Fernand (furieux) : On va le retrouver ce salaud ! Et il va le payer très cher. Je l'aurai prévenu. Il l'a épousé pour en finir avec elle ? Tout l'argent qu'il lui donnait c'était pour l'achever ? Quand je disais que je suis contre ce mariage, j'avais raison ! Hanna (les bras croisée) : Fernand !!! Fit-elle sur un ton de reproche. L'heure n'est pas à la condamnation ! Où à chercher qui a tort ou raison ! Mado n'a jamais su que ce mariage l'aurait tué, chacun veut le bonheur de son enfant. Fernand (se rapprochant dangereusement) : Toi, tu parles en tant que qui ? Me suis-je adressé à toi ? Hanna (reculant) : Non, mais ... Fernand (levant la main) : Alors la ferme ! Ma nièce est morte à cause de la négligence de sa propre mère, point barre ! Hanna (calmement) : Tu croix que ça changera quoi ? Tu ajoutes encore la douleur à ta sœur. Fernand (s'adressant à Kerene) : J'espère que toi aussi tu ne feras pas les même erreurs que ta sœur ? Aller épouser quelqu'un d'une ethnie barbare comme ça ! Dit-il en s'adressant à Kerene. Kerene (essuyant les larmes du revert de la main) : Non tonton, snif. Mado (qui se remis à pleurer de plus belle) : Snif...Toi Fernand, tu oses me juger, tu croix que je peux faire du mal à ma propre fille ? Eh Dieu ! Toi même tu sais combien j'ai conseillé ma fille de son vivant ! [S'enroulant à même le sol] Snif, ooooooo Seigneur ma fille est morte eh ! Oyo ni sa ma djabé éh lé lé lé... muané, ghure eh lé ! (Je ne savais pas eh...ma fille eh vient eh). Fernand (se dirigeant vers la maison) : En tout cas je ne laisserai pas cette affaire impunis ! Cet homme va regretter pourquoi il a tué ma nièce. Il ferait mieux de ne plus jamais apparaître sinon c'est moi qui finira avec lui. Tchip. Je vais de ce pas, rejoindre les autres. Kerene (qui jusque là n'avait dit mot) : Tante Hanna, pourquoi tonton Fernand se comporte comme ça ? Il voit bien qu'on a perdu yaya, son corps n'est même pas encore enterré et déjà il vient accuser maman. Hanna (les mains aux hanches) : Ah ma fille ! C'est sa manière à lui de pleurer ta sœur. [Me tournant vers Mado] il faut te lever, on va aller au salon, au lieu de rester à même le sol. Mado (épuisée) Snif, rien n'a plus d'importance Hanna, je ne suis plus rien sans ma fille. Que j'ailles au salon où que je reste dehors à même le sol, ma fille ne reviendra plus jamais à la vie. Kerene (la supliant) : Maman, s'il te plaît pense aussi à moi, je suis aussi ta fille. Hanna (la main sur son l'épaule) : La petite à raison, une de tes filles est partie, tu en a une deuxième soit forte pour elle aussi. [L'aidant à se lever ]
Cinq ans après leur mariage, Hannah a surpris Vincent en train de se glisser dans un hôtel avec son premier amour, la femme qu'il n'avait jamais oubliée. La scène lui a tout dit : il l'avait épousée uniquement parce qu'elle ressemblait à son véritable amour. Bouleversée, elle l'a piégé pour qu'il signe les papiers du divorce et, un mois plus tard, elle lui a dit : « Vincent, c'est fini. Que votre lien ne se rompe jamais. » Les yeux embués de larmes, il l'a prise dans ses bras avec désespoir. « C'est toi qui es venue vers moi en premier. » La société de Hannah s'est mis alors à prospérer, s'élever rapidement vers une introduction en bourse. Lors de l'événement, Vincent l'a vue serrer la main d'un autre homme. Dans la cabine d'essayage, il l'a acculée, les larmes aux yeux. « Il est vraiment aussi parfait que ça ? Hannah, je suis désolé... épouse-moi à nouveau. »
Après sept ans passés dans un cachot pour un crime que je n'avais pas commis, mon âme sœur prédestinée, l'Alpha qui les avait laissés m'entraîner, a enfin ouvert la porte de ma cellule. Il a annoncé que je prendrais ma place de Luna à ses côtés, non par amour, mais parce que la loi l'exigeait. Mais à l'instant où un lien mental affolé l'a prévenu que sa précieuse Séraphine – ma sœur adoptive, celle qui m'avait piégée – avait du mal à respirer, il m'a abandonnée sans un second regard. Cette nuit-là, blottie dans une cabane poussiéreuse, j'ai surpris la conversation secrète de mes propres parents. Ils projetaient de me faire exiler. Définitivement. Mon retour avait bouleversé Séraphine, et son « cœur fragile » ne pouvait supporter le choc. Je suis restée allongée dans l'obscurité, ne ressentant rien. Pas de surprise. Pas même de douleur. Juste un froid profond et vide. Ils me rejetaient. Encore. Mais alors qu'ils complotaient mon exil, un message secret m'est parvenu – une offre d'évasion. Une nouvelle vie dans un sanctuaire loin au nord, où je pourrais laisser la Meute de Sombrelune derrière moi pour toujours. Ils pensaient se débarrasser de moi. Ce qu'ils ignoraient, c'est que j'étais déjà partie.
Joelle pensait pouvoir changer le cœur d'Adrian après trois ans de mariage, mais elle a découvert trop tard qu'il appartenait déjà à une autre femme. « Donne-moi un bébé, et je te libèrerai. » Le jour où Joelle a commencé à accoucher, Adrian voyageait avec sa maîtresse dans son jet privé. « Je me fiche de savoir qui tu aimes. Ma dette est payée. À partir de maintenant, nous n'avons plus rien à voir l'un avec l'autre. » Peu de temps après le départ de Joelle, Adrian s'est retrouvé à genoux en train de supplier. « S'il te plaît, reviens vers moi. »
Vanessa se sentait comme la femme la plus chanceuse du monde entier lorsqu'elle épousa enfin l'homme qu'elle aimait secrètement depuis sept ans. Si seulement elle avait su qu'elle venait de se préparer à une vie de critiques et de souffrances... Les élites l'assaillaient de reproches à chaque occasion. On disait qu'une jeune femme de province comme elle ne méritait pas d'être avec un homme aussi distingué. Malgré tout, Vanessa fermait les oreilles et gardait les yeux sur Killian. Tout ce qui importait, c'était qu'il était enfin à elle, même s'il ne l'aimait pas en retour. Vanessa croyait fermement que l'amour pouvait grandir avec le temps. Elle pensait que si elle traitait bien Killian, il finirait par tomber amoureux d'elle. Mais elle reçut le plus grand choc lorsque Killian continua à l'ignorer. C'était comme verser de l'eau dans le sable. Ce n'est qu'un jour que Vanessa réalisa qu'elle perdait son précieux temps. Même avant d'épouser Killian, elle avait tout. L'argent n'était pas un problème pour elle. Elle avait un visage joli, un corps à couper le souffle et le charme pour lequel les garçons mouraient. Pourquoi alors devrait-elle continuer à gaspiller ses années de jeunesse sur un robot sans émotion ? Vanessa demanda le divorce et décida qu'ils prendraient des chemins séparés. Killian accueillit cette décision jusqu'à ce qu'il la voie dans les nouvelles après le divorce. Son ex-femme soumise était devenue une toute nouvelle personne. Un moment, elle dînait avec un magnat de la technologie. Et le moment suivant, elle était supposée sortir avec une étoile montante. La jalousie envahit Killian en un instant. Il jeta son téléphone contre le mur et cria : « Putain ! C'est ma femme ! » Lorsqu'ils se rencontrèrent à nouveau, Killian tenta de s'approcher d'elle. Mais Vanessa sourit simplement poliment et dit : « Monsieur, je ne crois pas que nous nous soyons rencontrés. Puis-je savoir qui vous êtes ? » Killian ne pouvait pas en croire ses oreilles !
Sept ans auparavant, Emerald Hutton avait laissé sa famille et ses amis pour le lycée à New York, berçant son cœur brisé dans ses mains, pour échapper à une seule personne. Le meilleur ami de son frère, qu'elle aimait depuis le jour où il l'avait sauvée des petites brutes quand elle avait sept ans. Brisée par le garçon de son rêve et trahie par ses proches, Emerald avait appris à enterrer les débris de son cœur au plus profond de ses souvenirs. Jusqu'à sept ans plus tard, elle doit revenir dans sa ville natale après avoir terminé ses études universitaires. La ville où réside maintenant un milliardaire au cœur froid, pour qui son cœur mort battait autrefois. Traumatisé par son passé, Achille Valencian était devenu l'homme que tout le monde craignait. La brûlure de sa vie avait rempli son cœur de ténèbres. Et la seule lumière qui l'avait gardé sain d'esprit était une fille aux taches de rousseur et aux yeux turquoise qu'il avait adorée toute sa vie. La petite sœur de son meilleur ami. Après des années de séparation, lorsque le moment est enfin venu de capter sa lumière sur son territoire, Achille Valencian va jouer à son jeu. Un jeu pour réclamer ce qui lui appartient. Emerald sera-t-elle capable de distinguer les flammes de l'amour et du désir, et les charmes de la vague qui l'avait autrefois inondée pour protéger son cœur ? Ou laissera-t-elle le diable l'attirer dans son piège ? Car personne n'a jamais pu échapper à ses jeux. Il obtient ce qu'il veut. Et ce jeu s'appelle... Le piège d'Ace.
Laide et obèse Olivia Harper est la risée de la ville lorsque son fiancé rompt leurs fiançailles. Olivia réussit à perdre du poids et revient plus tard dans une beauté éblouissante. Son ex-petit ami lui apporte des fleurs et s'excuse en disant : "J'avais tort, Olivia". Je ferai n'importe quoi pour que tu reviennes vers moi, et je le ferai. Olivia sourit et lui répond : "Les vrais hommes ne s'attardent pas sur le passé." Après s'être mis en colère, il dit à Olivia : " Tu n'es qu'une idiote chargée de bagages dont je me suis débarrassé. Personne ne voudra jamais de toi à part moi !"
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