/0/12957/coverbig.jpg?v=42fb47843f608a5386e67d58d768677d)
Le cœur d'un homme est profond comme une mer...Personne ne pourrait jamais en deviner ce qui s'y cache.
Le cœur d'un homme est profond comme une mer...Personne ne pourrait jamais en deviner ce qui s'y cache.
Chapitre 1 : un bon mogô
****
Prémisse
Il est 22h et j'ouvre mon trolley pour la troisième fois.
Maman (au bout du fil) : je t'entends de loin !
Moi : tu penses que je devrais partir avec une valise ? En soit je n'y vais que pour trois jours mais j'ai l'impression que je vais regretter ma valise.
Elle : bien sûr que tu dois prendre une valise ! J'ai besoin que tu me prennes quelques pagnes. J'ai entendu dire qu'ils font de beaux pagnes.
Moi : justement maman, le but est de ne pas m'encombrer avec trop d'affaires. Juste u cas où tu n'avais pas compris pourquoi j'ai opté pour un trolley.
Elle : quand je voyageais et que je devais t'apporter le manioc, la vosgienne (pizza populaire au Gabon), et les coupés coupés il n'y avait pas de problème n'est-ce pas.
Elle utilise les mêmes arguments depuis que j'ai terminé mes études soit plus de 5 ans. Oui quand j'étais étudiante je voulais qu'elle vienne avec des trucs du pays.
Aujourd'hui, pour peu que je refuse de lui rapporter quelque chose, elle me sort son discours.
Elle : ok ! Que puis-je dire de plus, tu ne veux pas me rendre service.
Moi (rigolant) : je connais aussi cette technique maman ! Tu veux que je culpabilise.
Elle : tu devrais culpabiliser.
Moi : tu es sérieuse là ? Tu me fais prendre une valise quoi maman !
Je reste au téléphone avec jusqu'à ce qu'elle veuille bien raccrocher.
Je me retrouve à troquer mon trolley contre une valise pour lui faire plaisir, Dieu seul sait que je ne suis pas contente de le faire.
Après 15 minutes de rangements, je décide d'arrêter mon ordinateur et dormir.
Tic Tic Tic
Oh mon Dieu !
J'ouvre les yeux et il est déjà 8h du matin.
Je fonce à la salle de bain prendre une douche et je reviens en serviette dans la chambre car j'entends la sonnerie de mon téléphone.
Je ne reconnais pas le numéro alors j'hésite à répondre.
Après 3 petites secondes de réflexion, je décide de répondre et je découvre qu'il s'agit d'un collègue qui veut savoir si je suis "prête".
Moi : ton appel ne va pas m'aider !
Lui (rigolant) : non je voulais te dire que tu as oublié un document important sur mon bureau hier en partant.
Moi : document important ?
Lui : dis-moi merci, je viens de te sauver les fesses !
Moi : oh non je viens de recevoir ton mail.
Je regarde et je vois qu'il a scanné les papiers.
Moi : c'est un deal important, n'en parle à personne s'il te plaît.
Lui : je l'ai bien compris en le lisant. Bon voyage !
Je lui souhaite une belle journée avant de raccrocher.
Je suis vraiment embrouillé !
C'est le deal pour lequel je voyage en plus !
Je fonce m'habiller et je me rends à l'aéroport (en taxi car je ne souhaite pas laisser mon véhicule à là-bas).
******
Une fois que l'avion atterri j'affiche un sourire en regardant à travers l'ublo.
C'est la première fois que je viens à Abidjan, on m'a tellement parlé de cette ville.
J'ai hâte de découvrir les douceurs de la Côte d'Ivoire.
Étant en business classe, je descends assez rapidement et je vais au lounge attendre mes bagages.
Je mets moins de temps que prévu car un monsieur vient me prendre.
Il m'explique qu'il vient de la part de son patron et il me dirige à l'extérieur.
Moi : comment vous m'avez reconnu ?
Il sort son téléphone de sa poche et il me montre ma photo (celle que j'ai sur LindekIn = réseau social professionnel).
Moi : ah d'accord.
Je le suis bêtement jusqu'à son véhicule.
Il s'occupe de mes affaires tandis que je monte dans le véhicule.
Après plusieurs minutes de trajet il se gare devant mon hôtel et me demande combien de temps je compte prendre.
Moi : pardon ?
Lui (descendant mes affaires) : ils vous attendent à l'agence.
Je suis surprise de l'apprendre, je ne pensais pas m'y rendre avant demain matin.
Moi : ils vous l'ont dit ?
Lui : oui.
Moi : laissez-moi 20 minutes.
Lui : d'accord madame. Je vous attends ici.
Moi : ok.
Je marche jusqu'à l'accueil, je donne mon nom et on m'indique le numéro de ma chambre.
Je monte rapidement en empruntant l'ascenseur et je descends à mon étage.
Une fois dans ma chambre, je ne perds pas une seconde.
J'ouvre ma valise, je prends une robe de ville rouge, des escarpins noirs et je vais me changer.
Je lisse rapidement ma perruque et je parfume à nouveau.
Alors que je m'apprête à partir, je reviens devant le miroir.
Je ne suis pas tout à fait satisfaite, il me manque quelque chose !
Je remets un peu de bronzer sur mon visage et je mets un rouge à lèvre rouge vif.
Là, ça va !
Je prends ma pochette d'ordinateur et je la mets dans mon sac à main (il est assez large).
Je prends la carte de ma chambre et je redescends.
Je refais le même parcours (inverse) jusqu'au garage et je monte dans le véhicule.
Lui : tout va bien ?
Moi : oui merci, c'est bon.
Il démarre et on s'en va.
Pendant qu'on roule je contemple la ville. Il faut dire que l'Afrique reste l'Afrique. A travers la vitre je vois la bonne humeur des gens.
Après 17 minutes de route, il se gare devant l'agence en question.
Je descends et j'attends qu'il m'accompagne.
Je tremble un peu, j'avoue.
Alors que je suis en sale d'attente, je vois un homme en costume sortir d'un bureau avec le sourire.
Nos regards se croisent et je sens des chenilles me chatouiller les jambes.
Son sourire me perturbe.
Lui : bonjour.
Moi : bonjour.
Lui : je crois qu'on vous attend dans le bureau.
Moi : ah d'accord.
Je me lève et ma pochette tombe.
Scène digne d'un film n'est-ce pas ?
Non vu qu'il ne se presse pas de m'aider.
À vrai dire, il est déjà de l'autre côté de la salle.
Je récupère mes affaires et je rentre dans le bureau.
Je découvre une équipe de jeune avec quelques personnes d'un certain âge.
L'échange se passe plutôt bien, ils voulaient qu'on échange avant demain.
Tout se passe très vite alors je suis hors du bureau 1h plus tard.
Alors que je marche vers le véhicule du chauffeur quelqu'un me demande de faire attention.
Quand je regarde sur ma gauche je vois une moto.
Oups !
Lui : il faut regarder à gauche et à droite avant de traverser.
Je le regarde droit dans les yeux et :
Moi : dixit l'homme incapable de venir en aide à une femme dans le besoin ?
Lui : pardon ?
Moi : tout à l'heure ma pochette est tombé.
Il me fait un sourire et :
Lui : je ne voulais pas que nos têtes se cognent et qu'on reste à se regarder comme des gamins.
Moi : je vois que monsieur se justifie dans le vide.
Je le laisse là et je quitte les lieux.
1 jour plus tard -
Je jubile depuis cet après-midi : contrat signé !
Ce soir, je suis invité à un cocktail organisé par l'agence de communication qui s'occupe de la primature, quel honneur !
C'est l'agence avec laquelle j'ai sous-traité pour le deal.
Dès que j'ai appris qu'il devait avoir du beau monde j'ai demandé sur Twitter (réseau social) à ce qu'on me recommande une bonne make up artiste.
Elle (utilisant le spray pour marquer la fin de son travail) : et voilà.
Moi : franchement merci pour tout. J'étais vraiment dans le rush et ce n'était pas prévu.
En effet, je ne pensais pas sortir ce soir encore moins me rendre à un événement important.
Je me rapproche du miroir et je me trouve sublime, autant le dire à voix haute : SUBLIME !
Elle : ton accent là m'endjaille trop quoi !
Moi (souriante) : c'est le tien qui me fait sourire !
J'aime trop l'accent des Ivoiriens et depuis que je suis ici je rigole.
Je lui donne son argent mais avant de la laisser partir je lui demande de m'aider avec ma tenue.
Dieu est vraiment avec moi ! J'avais quand même mis une tenue de soirée dans ma valise : merci maman de m'avoir encouragé à prendre une valise plutôt qu'un trolley !
Ce soir cette robe m'est utile.
Elle monte le zip et je lui demande un dernier service.
Moi : c'est possible de me prendre une photo ?
Elle (souriante) : bien sûr ! Mais il faudra m'identifier hein. C'est comme ça que je gagne mes clientes.
Moi : ne t'en fais pas.
J'arrange le fil doré (décoratif) que j'ai sur la tête pour que ce le rendu soit comme je veux.
Ce soir je ne voulais pas porter ma perruque alors j'ai fait un chignon et j'ai utilisé ma perruque en guise de postiche.
Le rendu pouvait être pire, mais ça va, j'aime.
Je recule de trois pas et je regarde l'objectif.
Elle prend une photo et je lui demande de me montrer le rendu.
Lorsque je vois la photo, j'affiche un grand sourire : je l'aime trop.
Elle : faut pas faire et puis tu vas quitter Abidjan sans ton mogô !
Moi (rigolant) : ça veut dire ?
Elle : bon un vrai gars quoi ! Ton gars !
Moi (rigolant) : je pars demain, ce n'est pas évident.
Elle : huuum.
Je l'accompagne à la porte et je lui dis au revoir avec le sourire.
Quelle belle rencontre cette femme !
Quand je regarde l'heure sur mon téléphone, je vois qu'il est 20h30, allez, j'y vais !
Oui j'ai fait exprès d'avoir 1h de retard. Je connais les noirs, ils aiment venir en retard.
Je descends et je monte dans la voiture du chauffeur privé grâce à qui je me déplace depuis que je suis ici.
Heureusement que tout est au frais de mon entreprise ! Après tout, j'ai quand même signé un gros deal !
Après quelques minutes de trajet, je découvre le lieu de la cérémonie.
Je descends du véhicule et je lui dis d'aller faire un tour plutôt que rester ici seul dans son véhicule, je suis gentille, je sais !
Abidjan c'est vraiment le futur !
Je suis agréablement surprise de tout ce que je vois !
Eh bah pour rien au monde je devais rater un tel événement.
Je suis bien contente de mon look ce soir, toutes les femmes sont apprêtées.
Très vite, je fais face à la réalité. Je suis ici, à cette belle cérémonie, mais je ne connais personne.
Ça se voit d'ailleurs, tout le monde va dans les bras de tout le monde avec un grand sourire. Tandis que moi, je suis dans un coin, seule.
Je décide de prendre la première coupe de champagne que je vois passer en espérant qu'elle agisse vite en moi.
Je prends mon courage à deux mains et je me rapproche d'un groupe de femmes.
Une jolie femme : je t'avoue que j'ai de la chance.
Cette dernière me regarde droit dans les yeux et :
Elle : oui ?
Une grande femme comme quoi on me regarde aussi mal ? J'ai l'impression d'être au lycée en face de la chef de gang.
Moi : je passais.
Je bois un coup de plus et je dépose ma coupe de champagne sur la table en marchant vers l'inconnu.
En allant à l'autre bout de la cours, je découvre une bande d'hommes plutôt beaux gosses.
Ils ont tous un cigar en main, sauf un.
Je passe devant eux et :
Moi : c'est généralement le plus conscient qui se différencie de la troupe !
Oh non je n'ai pas osé ? Je parle beaucoup, je le sais, mais là j'ai littéralement vrillé.
Je continue de marcher et quand je sens que quelqu'un me suit je me tourne.
Un de la troupe : je suis vexé.
Moi : et c'est pas celui que je veux qui me parle !
C'est encore sorti seul.
Lui : tu veux lequel ? Je t'avoue que tous sont pris.
Moi : et toi non ? Tu penses que je te crois ?
Lui : au moins j'ai tenté.
Je rigole et :
Moi : je suis désolée si ça t'a vexé.
Lui : non je rigole. Tu es seule ce soir ?
Moi : oui dans tous les cas de figures.
Il éclate de rire et :
Lui : j'ai rarement croisé une belle femme aussi drôle.
Il me propose de me joindre à eux et bien sûr que je dis oui.
Quand ils nous voient nous rapprocher, ils arrêtent de rire. Un d'entre eux ose dire à son ami (je suppose qu'il s'agit de son ami) qu'il est fort !
Moi : non, je n'ai pas cédé à ses avances. Je suis ici parce que je suis seule et que j'ai besoin de compagnie.
Celui qui n'a pas de cigare me regarde et me fait un sourire, ça tombe bien : c'est le mogô qui m'intéresse.
Ah mais c'est lui ! Je le reconnais ! Il était à l'agence avant-hier : celui qui ne voulait pas m'aider.
Ils me demandent de me présenter et je dis l'essentielle.
Ah pardon ! Je perds parfois mes manières :
Je m'appelle Ludy Otonda, je suis une femme de teint "caramel" et aux formes appréciées par une catégorie d'homme. Non je n'ai pas les seins de Nastou ou encore les femmes d'Eudoxie Yao, mais ça va, je suis tout aussi bien.
Je suis âgée de 27 ans et je dois avouer que je pensais avoir un enfant et un chéri à cet âge.
Mais ce qui ne tue pas rend plus fort n'est-ce pas ? Je suis chargée de communication dans un cabinet de communication Institutionnelle à Libreville, au Gabon. Je suis d'ailleurs ici pour un deal entre mon cabinet et une agence annexe à la primature d'Abidjan. Un contrat à plusieurs chiffres, comme je les aime !
Je suis un idéal pour certains hommes voire beaucoup. Mais malheureusement, je n'ai pas de chance en amour.
Kamidi, jeune, belle, pleine de vie mais pourquoi tant de problème dans sa vie ?
Enora une jeune femme pleine de vie et folle amoureuse de Julien Retemba décide de laisser tomber sa vie en France pour retrouver ce dernier. Dès son retour dans son pays natal elle apprend que celui qu'elle considère comme son fiancé à un autre engagement. Mais il se trouve que cet engagement n'est pas simple, Que va faire Enora ?
Eliya est une jeune femme qui intègre une famille plein de secrets, très tôt, on réalise qu'elle aussi en a un.. Ce n'est qu'à ce moment que l'histoire prend une autre tournure.
Réussir, c'est se décider,c'est refuser de s'arrêter et de se laisser effrayer par n'importe quel obstacle... Quand la volonté de réussir est grand, le risque d'échec est petit... Au bout du tunnel...
Lorsqu'ils étaient enfants, Derek a sauvé la vie de Norah. Des années plus tard, après un accident de voiture qui avait fait de Derek un légume, Norah l'a épousé sans hésiter et a même utilisé ses connaissances médicales pour le guérir. Pendant les deux années de son mariage, Norah aimait son mari de toute son âme et a espéré lui rendre la pareille. Mais lorsque la première amour de Derek est revenue, ce dernier a demandé le divorce. Norah a signé l'accord de divorce sans hésiter. Bien qu'elle soit considérée comme une femme délaissée, peu de gens connaissaient ses véritables talents. Elle était pilote de course, designer de renom, hacker talentueuse et docteure réputée. Regrettant sa décision, Derek l'a suppliée de lui pardonner. À ce moment-là, un charmant PDG est soudain apparu, serrant Norah dans ses bras et disant à Derek : « Va-t'en, c'est ma femme ! » Norah a été choquée et s'est exclamée : « Qu'est-ce que tu as dit ? »
Joelle pensait pouvoir changer le cœur d'Adrian après trois ans de mariage, mais elle a découvert trop tard qu'il appartenait déjà à une autre femme. « Donne-moi un bébé, et je te libèrerai. » Le jour où Joelle a commencé à accoucher, Adrian voyageait avec sa maîtresse dans son jet privé. « Je me fiche de savoir qui tu aimes. Ma dette est payée. À partir de maintenant, nous n'avons plus rien à voir l'un avec l'autre. » Peu de temps après le départ de Joelle, Adrian s'est retrouvé à genoux en train de supplier. « S'il te plaît, reviens vers moi. »
Toute ma vie, j'ai cru que mon Alpha, Kaëlen, était mon âme sœur. Un don sacré de la Déesse de la Lune. Mais la veille de mes dix-huit ans, il a présenté une autre louve, Séraphina, comme sa Luna. Il s'est servi d'un louveteau emprunté dans un complot cruel pour anéantir mon âme. Quand des Rogues ont attaqué notre meute, un lustre en argent s'est décroché et a chuté vers nous. Kaëlen a bondi. M'ignorant. Sans un regard. Il a protégé Séraphina de son corps. Me laissant là. Prête à être écrasée. Il ne s'est jamais retourné. Plus tard, après m'avoir accusée à tort de l'avoir blessée, il a traîné mon corps meurtri jusqu'à un bassin d'eau glacée et m'a poussée sous la surface. Alors que je luttais pour respirer, il s'est penché sur moi, sa voix un rugissement de commandement. « Si tu la touches encore une fois, je te retirerai ton nom et je ferai de toi une Rogue. » En voyant l'homme que j'aimais essayer de me tuer, le dernier de mes espoirs s'est finalement réduit en cendres. Cette nuit-là, j'ai accepté une offre pour rejoindre la meute de Bois-d'Argent. Puis, je suis allée à la forge et j'ai jeté dans les flammes chaque souvenir qu'il m'avait donné, regardant la fille qui l'aimait brûler et disparaître à jamais.
« Ahh ! » Elle était en train de gémir. Elle ne voulait rien ressentir pour cet homme. Elle le détestait. Les mains de l'homme ont commencé à se déplacer sur tout son corps. Elle a sursauté lorsqu'il a tiré la chaîne arrière de sa robe. La chaîne s'arrêtait au bas de sa taille, si bien que lorsqu'il l'a refermée, le haut de son dos et sa taille étaient exposés. « Ne touche pas à m-ummm ! » Les doigts du jeune homme se promenaient sur son dos nu et elle a appuyé sa tête sur l'oreiller. Ses caresses lui donnaient la chair de poule sur tout le corps. D'une voix grave et en colère, il lui a murmuré à l'oreille : « Je vais te faire oublier ses caresses, ses baisers et tout le reste. Chaque fois que tu toucheras un autre homme, tu ne penseras qu'à moi. » - - Ava Adler était une intello oméga. Tout le monde la malmenait parce qu'ils la trouvaient laide et peu attirante. Mais Ava aimait secrètement le mauvais garçon, Ian Dawson. Il était le futur Alpha de la meute Mystic Shadow. Mais il se moque des règles et des lois, car il n'aime que s'amuser avec les filles. Ava n'avait pas conscience de l'arrogance de Ian jusqu'à ce que son destin se mêle au sien. Il l'a négligée et l'a profondément blessée. Que se passerait-il si Ava devenait une belle fille capable de séduire n'importe quel garçon, et que Ian regrettait ses décisions ? Et si elle avait une identité secrète qu'elle n'avait pas encore découverte ? Et si les rôles s'inversaient et que Ian la suppliait de ne pas le quitter ?
Shenie et Yanie étaient des sœurs jumelles identiques. Après le divorce de leurs parents, Yanie a vécu avec leur père riche, tandis que Shenie a suivi leur mère pauvre. Dès lors, les sœurs jumelles ont connu des destins différents. L'une était comme un cygne élégant tandis que l'autre était comme un vilain petit canard. Cependant, en grandissant, Shenie était courageuse, belle et pure. Au contraire, sous l'influence de la méchante marâtre, Yanie est devenue intrigante et arrogante. Yanie voulait épouser l'homme le plus riche de New York, Charles, qui était séduisant, beau et mûr. Cependant, Charles n'acceptait qu'une vierge comme épouse alors que Yanie n'était pas qualifiée. Yanie a donc pensé à sa sœur jumelle, Shenie. Yanie a menacé Shenie de se joindre à son plan malveillant. Étonnamment, ce fut le début de la rencontre de Shenie avec son prince charmant.
Madisyn a découvert avec stupeur qu'elle n'était pas l'enfant biologique de ses parents. À cause des manigances de la vraie fille, elle a été mise à la porte et est devenue la risée de tous. Alors qu'on la croyait issue d'une famille de paysans, Madisyn a découvert que son vrai père était l'homme le plus riche de la ville et que ses frères étaient des personnalités renommées dans leur domaine respectif. Ils la couvraient d'amour, avant d'apprendre que Madisyn avait sa propre entreprise florissante. « Arrêtez de me harceler », lui a dit son ex. « Mon cœur n'appartient qu'à Jenna. » « Comment oses-tu penser que ma femme a des sentiments pour toi ? », a affirmé un mystérieux gros bonnet.
© 2018-now Kifflire
TOP