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Le cœur d'un homme est profond comme une mer...Personne ne pourrait jamais en deviner ce qui s'y cache.
Le cœur d'un homme est profond comme une mer...Personne ne pourrait jamais en deviner ce qui s'y cache.
Chapitre 1 : un bon mogô
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Prémisse
Il est 22h et j'ouvre mon trolley pour la troisième fois.
Maman (au bout du fil) : je t'entends de loin !
Moi : tu penses que je devrais partir avec une valise ? En soit je n'y vais que pour trois jours mais j'ai l'impression que je vais regretter ma valise.
Elle : bien sûr que tu dois prendre une valise ! J'ai besoin que tu me prennes quelques pagnes. J'ai entendu dire qu'ils font de beaux pagnes.
Moi : justement maman, le but est de ne pas m'encombrer avec trop d'affaires. Juste u cas où tu n'avais pas compris pourquoi j'ai opté pour un trolley.
Elle : quand je voyageais et que je devais t'apporter le manioc, la vosgienne (pizza populaire au Gabon), et les coupés coupés il n'y avait pas de problème n'est-ce pas.
Elle utilise les mêmes arguments depuis que j'ai terminé mes études soit plus de 5 ans. Oui quand j'étais étudiante je voulais qu'elle vienne avec des trucs du pays.
Aujourd'hui, pour peu que je refuse de lui rapporter quelque chose, elle me sort son discours.
Elle : ok ! Que puis-je dire de plus, tu ne veux pas me rendre service.
Moi (rigolant) : je connais aussi cette technique maman ! Tu veux que je culpabilise.
Elle : tu devrais culpabiliser.
Moi : tu es sérieuse là ? Tu me fais prendre une valise quoi maman !
Je reste au téléphone avec jusqu'à ce qu'elle veuille bien raccrocher.
Je me retrouve à troquer mon trolley contre une valise pour lui faire plaisir, Dieu seul sait que je ne suis pas contente de le faire.
Après 15 minutes de rangements, je décide d'arrêter mon ordinateur et dormir.
Tic Tic Tic
Oh mon Dieu !
J'ouvre les yeux et il est déjà 8h du matin.
Je fonce à la salle de bain prendre une douche et je reviens en serviette dans la chambre car j'entends la sonnerie de mon téléphone.
Je ne reconnais pas le numéro alors j'hésite à répondre.
Après 3 petites secondes de réflexion, je décide de répondre et je découvre qu'il s'agit d'un collègue qui veut savoir si je suis "prête".
Moi : ton appel ne va pas m'aider !
Lui (rigolant) : non je voulais te dire que tu as oublié un document important sur mon bureau hier en partant.
Moi : document important ?
Lui : dis-moi merci, je viens de te sauver les fesses !
Moi : oh non je viens de recevoir ton mail.
Je regarde et je vois qu'il a scanné les papiers.
Moi : c'est un deal important, n'en parle à personne s'il te plaît.
Lui : je l'ai bien compris en le lisant. Bon voyage !
Je lui souhaite une belle journée avant de raccrocher.
Je suis vraiment embrouillé !
C'est le deal pour lequel je voyage en plus !
Je fonce m'habiller et je me rends à l'aéroport (en taxi car je ne souhaite pas laisser mon véhicule à là-bas).
******
Une fois que l'avion atterri j'affiche un sourire en regardant à travers l'ublo.
C'est la première fois que je viens à Abidjan, on m'a tellement parlé de cette ville.
J'ai hâte de découvrir les douceurs de la Côte d'Ivoire.
Étant en business classe, je descends assez rapidement et je vais au lounge attendre mes bagages.
Je mets moins de temps que prévu car un monsieur vient me prendre.
Il m'explique qu'il vient de la part de son patron et il me dirige à l'extérieur.
Moi : comment vous m'avez reconnu ?
Il sort son téléphone de sa poche et il me montre ma photo (celle que j'ai sur LindekIn = réseau social professionnel).
Moi : ah d'accord.
Je le suis bêtement jusqu'à son véhicule.
Il s'occupe de mes affaires tandis que je monte dans le véhicule.
Après plusieurs minutes de trajet il se gare devant mon hôtel et me demande combien de temps je compte prendre.
Moi : pardon ?
Lui (descendant mes affaires) : ils vous attendent à l'agence.
Je suis surprise de l'apprendre, je ne pensais pas m'y rendre avant demain matin.
Moi : ils vous l'ont dit ?
Lui : oui.
Moi : laissez-moi 20 minutes.
Lui : d'accord madame. Je vous attends ici.
Moi : ok.
Je marche jusqu'à l'accueil, je donne mon nom et on m'indique le numéro de ma chambre.
Je monte rapidement en empruntant l'ascenseur et je descends à mon étage.
Une fois dans ma chambre, je ne perds pas une seconde.
J'ouvre ma valise, je prends une robe de ville rouge, des escarpins noirs et je vais me changer.
Je lisse rapidement ma perruque et je parfume à nouveau.
Alors que je m'apprête à partir, je reviens devant le miroir.
Je ne suis pas tout à fait satisfaite, il me manque quelque chose !
Je remets un peu de bronzer sur mon visage et je mets un rouge à lèvre rouge vif.
Là, ça va !
Je prends ma pochette d'ordinateur et je la mets dans mon sac à main (il est assez large).
Je prends la carte de ma chambre et je redescends.
Je refais le même parcours (inverse) jusqu'au garage et je monte dans le véhicule.
Lui : tout va bien ?
Moi : oui merci, c'est bon.
Il démarre et on s'en va.
Pendant qu'on roule je contemple la ville. Il faut dire que l'Afrique reste l'Afrique. A travers la vitre je vois la bonne humeur des gens.
Après 17 minutes de route, il se gare devant l'agence en question.
Je descends et j'attends qu'il m'accompagne.
Je tremble un peu, j'avoue.
Alors que je suis en sale d'attente, je vois un homme en costume sortir d'un bureau avec le sourire.
Nos regards se croisent et je sens des chenilles me chatouiller les jambes.
Son sourire me perturbe.
Lui : bonjour.
Moi : bonjour.
Lui : je crois qu'on vous attend dans le bureau.
Moi : ah d'accord.
Je me lève et ma pochette tombe.
Scène digne d'un film n'est-ce pas ?
Non vu qu'il ne se presse pas de m'aider.
À vrai dire, il est déjà de l'autre côté de la salle.
Je récupère mes affaires et je rentre dans le bureau.
Je découvre une équipe de jeune avec quelques personnes d'un certain âge.
L'échange se passe plutôt bien, ils voulaient qu'on échange avant demain.
Tout se passe très vite alors je suis hors du bureau 1h plus tard.
Alors que je marche vers le véhicule du chauffeur quelqu'un me demande de faire attention.
Quand je regarde sur ma gauche je vois une moto.
Oups !
Lui : il faut regarder à gauche et à droite avant de traverser.
Je le regarde droit dans les yeux et :
Moi : dixit l'homme incapable de venir en aide à une femme dans le besoin ?
Lui : pardon ?
Moi : tout à l'heure ma pochette est tombé.
Il me fait un sourire et :
Lui : je ne voulais pas que nos têtes se cognent et qu'on reste à se regarder comme des gamins.
Moi : je vois que monsieur se justifie dans le vide.
Je le laisse là et je quitte les lieux.
1 jour plus tard -
Je jubile depuis cet après-midi : contrat signé !
Ce soir, je suis invité à un cocktail organisé par l'agence de communication qui s'occupe de la primature, quel honneur !
C'est l'agence avec laquelle j'ai sous-traité pour le deal.
Dès que j'ai appris qu'il devait avoir du beau monde j'ai demandé sur Twitter (réseau social) à ce qu'on me recommande une bonne make up artiste.
Elle (utilisant le spray pour marquer la fin de son travail) : et voilà.
Moi : franchement merci pour tout. J'étais vraiment dans le rush et ce n'était pas prévu.
En effet, je ne pensais pas sortir ce soir encore moins me rendre à un événement important.
Je me rapproche du miroir et je me trouve sublime, autant le dire à voix haute : SUBLIME !
Elle : ton accent là m'endjaille trop quoi !
Moi (souriante) : c'est le tien qui me fait sourire !
J'aime trop l'accent des Ivoiriens et depuis que je suis ici je rigole.
Je lui donne son argent mais avant de la laisser partir je lui demande de m'aider avec ma tenue.
Dieu est vraiment avec moi ! J'avais quand même mis une tenue de soirée dans ma valise : merci maman de m'avoir encouragé à prendre une valise plutôt qu'un trolley !
Ce soir cette robe m'est utile.
Elle monte le zip et je lui demande un dernier service.
Moi : c'est possible de me prendre une photo ?
Elle (souriante) : bien sûr ! Mais il faudra m'identifier hein. C'est comme ça que je gagne mes clientes.
Moi : ne t'en fais pas.
J'arrange le fil doré (décoratif) que j'ai sur la tête pour que ce le rendu soit comme je veux.
Ce soir je ne voulais pas porter ma perruque alors j'ai fait un chignon et j'ai utilisé ma perruque en guise de postiche.
Le rendu pouvait être pire, mais ça va, j'aime.
Je recule de trois pas et je regarde l'objectif.
Elle prend une photo et je lui demande de me montrer le rendu.
Lorsque je vois la photo, j'affiche un grand sourire : je l'aime trop.
Elle : faut pas faire et puis tu vas quitter Abidjan sans ton mogô !
Moi (rigolant) : ça veut dire ?
Elle : bon un vrai gars quoi ! Ton gars !
Moi (rigolant) : je pars demain, ce n'est pas évident.
Elle : huuum.
Je l'accompagne à la porte et je lui dis au revoir avec le sourire.
Quelle belle rencontre cette femme !
Quand je regarde l'heure sur mon téléphone, je vois qu'il est 20h30, allez, j'y vais !
Oui j'ai fait exprès d'avoir 1h de retard. Je connais les noirs, ils aiment venir en retard.
Je descends et je monte dans la voiture du chauffeur privé grâce à qui je me déplace depuis que je suis ici.
Heureusement que tout est au frais de mon entreprise ! Après tout, j'ai quand même signé un gros deal !
Après quelques minutes de trajet, je découvre le lieu de la cérémonie.
Je descends du véhicule et je lui dis d'aller faire un tour plutôt que rester ici seul dans son véhicule, je suis gentille, je sais !
Abidjan c'est vraiment le futur !
Je suis agréablement surprise de tout ce que je vois !
Eh bah pour rien au monde je devais rater un tel événement.
Je suis bien contente de mon look ce soir, toutes les femmes sont apprêtées.
Très vite, je fais face à la réalité. Je suis ici, à cette belle cérémonie, mais je ne connais personne.
Ça se voit d'ailleurs, tout le monde va dans les bras de tout le monde avec un grand sourire. Tandis que moi, je suis dans un coin, seule.
Je décide de prendre la première coupe de champagne que je vois passer en espérant qu'elle agisse vite en moi.
Je prends mon courage à deux mains et je me rapproche d'un groupe de femmes.
Une jolie femme : je t'avoue que j'ai de la chance.
Cette dernière me regarde droit dans les yeux et :
Elle : oui ?
Une grande femme comme quoi on me regarde aussi mal ? J'ai l'impression d'être au lycée en face de la chef de gang.
Moi : je passais.
Je bois un coup de plus et je dépose ma coupe de champagne sur la table en marchant vers l'inconnu.
En allant à l'autre bout de la cours, je découvre une bande d'hommes plutôt beaux gosses.
Ils ont tous un cigar en main, sauf un.
Je passe devant eux et :
Moi : c'est généralement le plus conscient qui se différencie de la troupe !
Oh non je n'ai pas osé ? Je parle beaucoup, je le sais, mais là j'ai littéralement vrillé.
Je continue de marcher et quand je sens que quelqu'un me suit je me tourne.
Un de la troupe : je suis vexé.
Moi : et c'est pas celui que je veux qui me parle !
C'est encore sorti seul.
Lui : tu veux lequel ? Je t'avoue que tous sont pris.
Moi : et toi non ? Tu penses que je te crois ?
Lui : au moins j'ai tenté.
Je rigole et :
Moi : je suis désolée si ça t'a vexé.
Lui : non je rigole. Tu es seule ce soir ?
Moi : oui dans tous les cas de figures.
Il éclate de rire et :
Lui : j'ai rarement croisé une belle femme aussi drôle.
Il me propose de me joindre à eux et bien sûr que je dis oui.
Quand ils nous voient nous rapprocher, ils arrêtent de rire. Un d'entre eux ose dire à son ami (je suppose qu'il s'agit de son ami) qu'il est fort !
Moi : non, je n'ai pas cédé à ses avances. Je suis ici parce que je suis seule et que j'ai besoin de compagnie.
Celui qui n'a pas de cigare me regarde et me fait un sourire, ça tombe bien : c'est le mogô qui m'intéresse.
Ah mais c'est lui ! Je le reconnais ! Il était à l'agence avant-hier : celui qui ne voulait pas m'aider.
Ils me demandent de me présenter et je dis l'essentielle.
Ah pardon ! Je perds parfois mes manières :
Je m'appelle Ludy Otonda, je suis une femme de teint "caramel" et aux formes appréciées par une catégorie d'homme. Non je n'ai pas les seins de Nastou ou encore les femmes d'Eudoxie Yao, mais ça va, je suis tout aussi bien.
Je suis âgée de 27 ans et je dois avouer que je pensais avoir un enfant et un chéri à cet âge.
Mais ce qui ne tue pas rend plus fort n'est-ce pas ? Je suis chargée de communication dans un cabinet de communication Institutionnelle à Libreville, au Gabon. Je suis d'ailleurs ici pour un deal entre mon cabinet et une agence annexe à la primature d'Abidjan. Un contrat à plusieurs chiffres, comme je les aime !
Je suis un idéal pour certains hommes voire beaucoup. Mais malheureusement, je n'ai pas de chance en amour.
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Ma famille se situait au seuil de pauvreté et n'avait plus aucun moyen de payer ma facture de scolarité. Je devais travailler à temps partiel tous les jours pour joindre les deux bouts et payer mes études. C'est alors que je l'ai rencontrée - la jolie fille de ma classe avec qui tous les garçons rêvaient de sortir. Il était clair pour moi qu'elle était trop bien pour moi. Cependant, j'ai rassemblé tout mon courage et lui ai dit courageusement que j'étais tombé amoureux d'elle. À ma grande surprise, elle a accepté d'être ma petite amie. Elle m'a dit, avec le plus beau sourire que j'aie jamais vu, qu'elle voulait que le premier cadeau que je lui fasse soit le dernier iPhone. Un mois plus tard, mon dur travail a enfin porté ses fruits. J'ai pu acheter ce qu'elle voulait. Mais pendant que j'emballais mon cadeau, je l'ai vue dans les vestiaires en train d'embrasser le capitaine de l'équipe de basket. Puis elle s'est impitoyablement moquée de mes insuffisances et m'a ridiculisé. Pour couronner le tout, le type avec qui elle m'a trompé m'a même frappé au visage. Le désespoir m'a envahi, mais je ne pouvais rien faire d'autre que de m'allonger par terre et de les laisser piétiner ma fierté. Mais soudain, mon père m'a appelé et ma vie a été bouleversée. Il s'avère que je suis le fils d'un milliardaire.
Trois années de silence, de soumission et d'effacement. Puis un départ. Un divorce inattendu, signé dans l'arrogance, avec la certitude qu'elle reviendrait. Mais derrière la douceur apparente, une autre femme se cachait : une stratège, une guerrière. Depuis des années, elle préparait son moment, tapie dans l'ombre, prête à attaquer là où ça ferait le plus mal. L'homme qu'elle a quitté se croit intouchable, entouré d'une nouvelle compagne et d'alliés faussement loyaux. Il ne voit pas que l'avocate engagée contre lui dans une affaire colossale n'est autre que son ancienne épouse, masquée sous un pseudonyme, déterminée à le faire tomber. Ce qu'elle découvre dans les dossiers renforce sa volonté : ce n'est plus une revanche sentimentale, c'est une réparation. Il a détruit sa famille. Elle détruira son empire. Le jour du procès, il ne reconnaît pas celle qui se tient devant lui. Pas avant qu'elle retire ses lunettes, qu'elle prenne la parole et que le masque tombe. En un instant, il perd tout : pouvoir, contrôle, illusions. Elle ne reste pas pour savourer sa victoire. Elle ne veut ni chaos, ni spectacle. Elle voulait sa liberté. Et elle l'a reprise.
Arabella, une prodige formée par l'État, a obtenu sa liberté après sept années brutales. De retour chez elle, elle a trouvé sa tante se prélassant dans le manoir de ses parents décédés, tandis que sa sœur jumelle fouillait les poubelles à la recherche de restes. La fureur l'a rendue folle. Elle a ruiné l'entreprise de sa tante du jour au lendemain et s'est inscrite à l'école de sa sœur, écrasant le harcèlement scolaire. Quand les gens se moquaient de de ses origines modestes, une famille prestigieuse l'a accueillie et le laboratoire national l'a soutenue. Les journalistes se sont précipités, les influenceurs ont été séduits, et les rivaux jaloux ont vu leur succès s'évanouir. Même Asher, le magnat réputé impitoyable, s'est adouci, murmurant, « J'ai arrangé tes problèmes, maintenant, sois à moi. »
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