La destinée de Émilie
La destinée de Émilie
Chapitre 1 : Le début du commencement
Il était 6h30 lorsque le réveil sonna. Emilie n'avait pas beaucoup dormi cette nuit, épuisée elle espérait que son époux arrêterait le réveil vu qu'il en était plus proche. Au bout de trente secondes d'attente elle dû se résigner. Toujours à moitié endormi, elle tenta de le secouer, mais hélas sa main ne rencontra que la couverture. Une fois de plus il n'était pas rentré.
Elle était nostalgique c'est sûr de ces reflexes d'autrefois lorsqu'au petit matin il lui suffisait de te toucher son homme pour qu'il arrête le réveil et vienne se blottir dans ses bras et cette séquence câlin qui donnait le ton à la journée, hummm.
Elle se donna du courage, ce ne sont pas les absences répétées de Charles Edouard qui allaient l'ébranler, même si elle savait qu'elle se mentait à elle-même.
Ce jour là elle avait passé la journée chez sa mère et était rentré à 21 h à sa grande surprise son cher et tendre l'attendait dans le salon.
A la vue de son époux sa colère se dissipa car malgré tout elle l'aimait et était contente de le voir de retour mais aussitôt son orgueil prit le dessus et elle ne montra aucun signe de joie ni d'affection. Elle lui en voulait tellement mais l'aimait encore plus.
-Emilie : bonsoir Charles-Edouard
-C-E : bonsoir
-Emilie : bon retour chez toi
Charles-Edouard resta silencieux, elle alla dans sa chambre, après s'être débarbouillée elle se changea et se parfuma, elle voulait le séduire tout en paraissant normal. De retour dans le salon elle trouva son époux au téléphone, elle lui prêta pas plus d'attention que ca et commença à mettre la table.
-Emilie : Charles la table est prête vient on va manger
-C.E : avant il faut que je te parle
Entendre son mari lui balancer cette phrase ... ca sentait pas bon du tout. Elle alla le retrouver dans le salon
-C.E : Emilie, si je suis là ce soir c'est pourqu'on parle
-Emilie : (impatiente) ca je l'avais bien compris , vas y je t'écoute Edouard
-C.E : on se connait depuis 6 ans et ca va faire 4 ans qu'on est marié et toujours pas d'enfant. C'est vrai qu'on avait décidé de ne pas en faire étant étudiant mais depuis on est marié et il n'y a toujours rien, je ne peux plus continuer ainsi.
-Emilie : Charles c'est pour ca que tu as déserté ton foyer ? tu crois que moi je ne veux pas etre mere, porter un enfant dans mon ventre, le mettre au monde et le voir grandir ? tu crois que moi aussi je n'en souffre pas?
-C-E : je ne sais pas ce que tu veux je ne suis pas magicien pour lire dans tes pensées.
-Emi : alors je vais te le dis, je veux aussi avoir des enfants
-C-E : alors bouge-toi, va à l'hôpital, ou je ne sais pas ou mais bouge-toi, fais quelque chose.
Apres cette phrase, le ton est monté
-Emilie : quoi ? qu'est-ce que tu me racontes la ? Edouard faut me respecter hein ? En janvier dernier je t'ai pas dit allons chez le médecin tu m'as dit quoi ? tu n'as pas le temps, je suis allée seule quand je suis revenue, tu as même refusé de voir mes résultats et maintenant tu me racontes quoi ? ne m'énerve pas Edouard, c'est pour ça que tu as déserté ?
-C.E : je vais aller faire quoi à l'hôpital, moi j'ai aucun problème. Et tu me parles de déserter je suis à l'armée ? Et puis je vais rester ici pour faire quoi ? y'a quoi ici qui me retiens? Faut te méfier de moi Emilie et ne me parle plus jamais sur ce ton, tu ne me connais pas hein malgré toutes ces années passé ensemble, tu ne me connais pas
-Emilie : vraiment je ne te connais pas tu n'as rien avoir avec l'homme que j'ai épousé, tu es devenu un homme que je ne connais pas, tu me manques de respect, tu découches tu n'assures meme plus tes responsabilités de chef de famille, tu ...
-C-E : (avec mépris) kiakiakiakia, tu me parles de quelle famille ? Elle est ou cette famille ?
-Emilie : (en se placant devant son homme) c'est moi ta famille, moi
Il s'était assis, laissant Emilie debout face de lui. Le silence était retombé pas la tension toujours perceptible entre les deux amants. Apres ce qui avait semblé être une éternité pour Emilie, Charles-Edouard releva la tête en regardant sa femme droit dans les yeux
-C-E : je te donne 2 mois pour être enceinte, deux, si tu n'y arrive pas, j'épouserai une autre femme.
Les époux s'étaient couchés chacun dans son coin du lit s'évertuant à ne pas traverser cette frontière imaginaire qui apparait dans le lit conjugal lorsque la colère et la frustration prennent le dessus sur la l'amour et la compréhension Emilie n'avait pas fermé l'œil de toute la nuit et les ronflements de son mari attisait sa colère et l'anéantissait de désespoir. Seigneur j'ai toujours aimé et respecté cet homme qu'est mon époux, je ne l'ai jamais trompé, chaque jour je m'évertue à entretenir ce foyer, Pourquoi ça ne marche pas ? Pourquoi je n'arrive pas à avoir un enfant? Juste un, je n'en demande pas plus.
Elle avait tellement pleuré que ce samedi matin, elle n'eut pas la force de quitter son lit. Son mari lui était déjà reparti. Elle écrivit à ses deux sœurs le même message.
« Urgent, Charles –Edouard encore ».
Quelques minutes plus tard elles étaient là. Sandra et cassandre étaient en réalité ses cousines mais leur maman étaient décédée en leur donnant la vie et c'est la mère d'Emilie leur tante qui les éleva .
C'était vraiment le cas typique des jumelles qui se ressemblent et font tous ensemble à la seule différence qu'elle avait deux personnalités diamétralement opposée. Cassandre était extravertie, elle parlait sans arrêt, n'avait pas froid aux yeux et alors que Sandra était introverti, plus sage, elle écoutait beaucoup, réfléchissait avant de parler et arborait toujours un sourire plein de bienveillance
Elles trouvèrent Emilie dans sa chambre
-Sandra : Emi qu'est ce qui s'est passé ?
-Cassandre : tu demandes ce qui s'est passé d'après toi qu'est ce qui peut se passer ? il est même ou ton Charles-Edouard la?
-Emi : il est sorti le matin je ne sais pas où il est parti, on s'est disputé hier et il m'a dit que j'ai deux mois pour être enceinte
-Cassadre : il est cinglé, que c'est toi qui décide ?
-Sandra : mais Emi, allez-y à l'hôpital voir si vous avez un problème. Même si pour moi vous ne totalisez que trois années de mariage, oui vous n'avez pas encore bouclé la quatrième année. Attendons ca viendra.
-Emi : Sandra, on devait allé chez le médecin il y'a trois mois, il m'a dit qu'il n'a pas le temps. Ce jour la je suis allé seule
-Sandra : Alors ?
-Emi : le gynécologue m'a fait savoir que tout était normal, au début je croyais que c'était parce que j'avais pris la pilule longtemps mais le médecin m'a dit qu'il n'en était rien et tout était normal, on devait attendre et continuer d'avoir des rapports.
-Cassandre : ton mari là il perd la boule, c'est lui qui ne part pas à l'hôpital et il vient te faire des coups de pression. La solution facile, bon Emi ca va aller je te propose de tenter autre chose, souvent la médecine occidentale montre ses limites on va aller voir un tradipraticien.
-Sandra/Emilie : quoi ?
-Cassandre : quoi de quoi ? Vous ne savez pas que dans la foret y'a toutes les herbes pour nous soigner, le gars va trouver la plante qu'il te faut, tu vas coincer ton mari dans un coin de la maison, tu lui sautes dessus et 9 mois plus tard tu accouches des jumeaux, c'est tout.
Cassandre avait toujours le mot pour faire rire, mais quelque part elle n'avait pas tort. Il y'avait plusieurs moi l'une de ses collègues atteinte de stérilité secondaire lui avait avoué avoir conçu grâce à l'aide d'un naturopathe. Ça avait donné des idées à Sandra qui connaissait bien le problème de sa sœur, elle allait demander à son ami le numéro de ce monsieur.
Les jours qui suivirent Charles Edouard était de retour à la maison, mais le climat était toujours aussi glacial entre les deux époux, c'est à peine s'ils s'adressaient la parole. Entre temps les jours passaient et le sursis de 2 mois tirait vers la fin. Galvanisées par Cassandre, les trois sœurs allèrent rencontrer un naturopathe spécialiste en infertilité. Il remit à Emilie une décoction à boire au coucher, ce soir entrait évidement dans sa période d'ovulation avec comme recommandation de faire l'amour avec son époux dans un délai de 24h.
Les jumelles étaient pleines d'espoir mais Emilie semblait préoccupée. Par pudeur elle avait volontairement omis de dire à ses sœurs que son mari ne la touchait plus depuis plusieurs mois. Comment allait-elle faire pour le ramener dans son lit?
Hello c'est les vacances je décide de m'écrire un peu. Plongez vous dans mon monde
L'histoire de Samrane, c'est l'histoire de tous les hommes, c'est l'histoire de l'orgueil et de la presse sociale. L'histoire de l'amour qui fuit quand on le cherche
Prologue (Quelque part au Nigeria) (il y a quelques années) Dans une hutte sombre, un homme d'une certaine classe est assis sur une paillasse rougit par la poussière face à un féticheur. - Oga - Ashe... - Oga, je suis venu te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi. - Ashe... - Grâce à toi mes pirogues de sable sont prospères ! Mes mines de gravier aussi. Oga je suis millionnaire... - Ashe... - Oga, tu es très fort et tes génies sont très puissants et je leur ai apporté ce qu'ils aiment... - Ashe...
Prologue Un jour le lion malade, aho lolololo il a demandé la cause de sa maladie, Rien ne saurai le guérir aho lolololo Ama zinkpè, zinkpè sans caleçon Zinkpè bonne appétit merci! Mes amies et moi rivalisons d'ardeur dans un déhanchement pleins de joie. Nous éclatons de rire... "Dotou! Dotou!" J'aperçois les femmes qui reviennent des champs à la lisière de la forêt. Ma mère m'appelle pour que je vienne la décharger de son bagage de tête. Elle porte mon petit frère Tundé sur son dos, ses outils dans une main et sur sa tête un fagot de bois. Elle a l'air fatiguée. J'abandonne mes jeux et me précipite pour la décharger. Le fagot est transféré d'elle à moi et je me saisis de ses outils.
On n'avait jamais souhaité sa venue. Depuis toujours, Lola portait le poids d'une existence refusée, subissant les sarcasmes et les regards chargés de dédain. Dans sa maison d'enfance, les mots les plus cruels coulaient comme un poison familier : on lui prédisait qu'aucun homme digne ne voudrait d'elle, qu'elle ne mériterait jamais qu'un époux perdu ou sans honneur. Les années passèrent, et Lola devint une femme au regard calme mais aux cicatrices invisibles. Un jour, elle revint dans la demeure de son passé, non pas pour y chercher l'affection qu'on lui avait refusée, mais pour en finir avec les chaînes du sang. Elle voulait tourner la page, définitivement. Pourtant, à peine avait-elle franchi le seuil qu'une scène inattendue la désarma : deux petits êtres se jetèrent contre ses jambes, leurs bras serrés autour d'elle. - Maman, ne pars pas, laisse-nous devenir tes enfants ! Le second, les yeux humides, ajouta d'une voix tremblante : - Maman, papa pleure sans toi... Il dit qu'il veut un autre bébé avec toi ! Tout autour, les visages qui jadis s'étaient réjouis de ses larmes demeuraient figés, confus, incapables de comprendre ce qui se jouait sous leurs yeux. Et c'est alors qu'une voix grave s'éleva, imposant silence à tous : - Mon épouse, je vous en supplie... rentrez à la maison. Celui qui parlait n'était autre que l'homme le plus puissant du pays, celui dont la seule présence faisait taire les rumeurs. Et, pour la première fois, le nom de Lola fut prononcé non plus avec honte, mais avec respect.
Pendant trois ans, j'ai tenu un registre secret des péchés de mon mari. Un système de points pour décider du moment exact où je quitterais Adrien Mattei, l'impitoyable bras droit du Milieu marseillais. Je pensais que la goutte d'eau serait l'oubli de notre dîner d'anniversaire pour réconforter son « amie d'enfance », Ariana. J'avais tort. Le véritable point de rupture est arrivé quand le plafond du restaurant s'est effondré. En une fraction de seconde, Adrien ne m'a pas regardée. Il a plongé sur sa droite, protégeant Ariana de son corps, me laissant seule face à une tonne de cristal prête à m'écraser. Je me suis réveillée dans une chambre d'hôpital stérile, la jambe en miettes et le ventre vide. Le médecin, tremblant et blême, m'a annoncé que mon fœtus de huit semaines n'avait pas survécu au traumatisme et à l'hémorragie. « Nous avons essayé d'obtenir les réserves de sang O négatif », a-t-il balbutié, refusant de croiser mon regard. « Mais le Dr Mattei nous a ordonné de les garder. Il a dit que Mlle Lefèvre risquait un choc traumatique à cause de ses blessures. » « Quelles blessures ? » ai-je murmuré. « Une égratignure au doigt », a admis le médecin. « Et de l'anxiété. » Il a laissé notre enfant à naître mourir pour garder des poches de sang pour la coupure de sa maîtresse. Adrien est finalement entré dans ma chambre des heures plus tard, imprégné du parfum d'Ariana, s'attendant à ce que je sois l'épouse dévouée et silencieuse qui comprenait son « devoir ». Au lieu de ça, j'ai pris mon stylo et j'ai écrit la dernière entrée dans mon carnet de cuir noir. *Moins cinq points. Il a tué notre enfant.* *Score Total : Zéro.* Je n'ai pas hurlé. Je n'ai pas pleuré. J'ai simplement signé les papiers du divorce, appelé mon équipe d'extraction et j'ai disparu dans la pluie avant même qu'il ait eu le temps de se retourner.
Pour réaliser le dernier souhait de son grand-père, Stella s'est marié en hâte avec un homme ordinaire qu'elle n'avait jamais rencontré auparavant. Cependant, même après être devenus mari et femme sur le papier, ils menaient chacun leur vie séparément, se croisant à peine. Un an plus tard, Stella est revenue à ville de Seamarsh, espérant enfin rencontrer son mystérieux mari. À sa grande surprise, il lui a envoyé un message, demandant inopinément le divorce sans même l'avoir rencontrée en personne. Grinçant des dents, Stella a répondu : « Très bien. Divorçons ! » Suite à cela, Stella a fait un geste audacieux et a rejoint le Groupe Prosperity, où elle est devenue une attachée de presse travaillant directement pour le PDG de la société, Matthew. Le PDG, beau et énigmatique, était déjà marié et réputé pour sa dévotion inébranlable à sa femme en privé. À l'insu de Stella, son mystérieux mari était en réalité son patron, sous une identité différente ! Déterminée à se concentrer sur sa carrière, Stella gardait délibérément ses distances avec le PDG, bien qu'elle ne pût s'empêcher de remarquer ses tentatives délibérées de se rapprocher d'elle. Avec le temps, son mari insaisissable a changé d'avis. Il a soudain refusé de poursuivre la procédure de divorce. Quand son identité alternative serait-elle révélée ? Au milieu d'un mélange tumultueux de tromperie et d'amour profond, quel destin les attendait ?
Le jour de son mariage, Khloe a été piégée par sa sœur et son époux, qui l'ont accusée d'un crime qu'elle n'avait pas commis. Elle a été condamnée à trois ans de prison, où elle a beaucoup souffert. Lorsque Khloe a finalement été libérée, sa sœur diabolique a utilisé leur mère pour forcer Khloe à coucher avec un homme âgé. Heureusement, le destin a voulu que Khloe rencontre Henrik, le chef de la mafia, séduisant mais impitoyable, qui a changé la vie de Khloe. Malgré la froideur d'Henrik, il a choyé Khloe plus que quiconque. Il l'a protégée, l'a soignée et l'a aidée à se venger.
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