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Il prit l'un de ses côtes
Il prit l'un de ses côtes
Partie 1
Adossée dans le fauteuil du Mariott hotel de Boston, je regarde les participants au colloque sur la relation d'aide. Des personnes arrivent des quatre coins du globe et je me sens un peu perdu dans cet environnement fait de luxe et de beauté.
Mais je ne me suis pas encore présenté. Je suis le Pasteur Paul-Yvan, je viens de la Côte d'Ivoire. Je sais vous vous dites que je suis un de ses grands pasteurs avec des pontes de la république qui me verse les grosse dîmes et les offrandes à 7 chiffres pour s'acheter une bonne conscience.
Non, je suis un jeune pasteur ivoirien, il y a trois ans, le Seigneur a mis sur ma route une jeune femme, atteinte de folie. Personne ne savait ni qui elle était ni d'où elle venait. A force de jeune et de prière, le Seigneur nous avait permis d'arriver au terme de cette délivrance. Et lorsqu'elle a retrouvé sa lucidité, nous avons découvert qu'elle était la fille d'un homme d'affaire gabonais. Nous avons pu contacter sa famille et leur expliquer ce que devenait leur fille qui étais portée disparu depuis bientôt 3 ans. Je vous laisse imaginer la joie et la délivrance que cette nouvelle à apporter. Tiens je vous raconterais cette histoire un jour... Mais mon attention vient d'être attirée par une arrivée...
Je fixe la délégation qui marche vers la réception, et j'ai l'impression de revoir une connaissance, mais en plus jeune... c'est bizarre, sosie ? Je me rapproche de la réception et j'entends la dame s'exprimer dans un espagnol que je ne comprends pas. Elle parle à la jeune dame en espagnol, mais je ne saisi pas ce qu'elle se dise waouh c'est frappant...
Je réfléchi, ou ai-je déjà croisé ce visage... je retourne m'asseoir dans le petit salon. Je ressens le besoin de prier.
Moi : Seigneur, c'est quoi cette sensation-là ? C'est qui cette jeune femme ? Qu'attends-tu de moi ?
Et une image me revient : Je me revois marchant dans le quartier de la sablière (libreville –Gabon) entrain de méditer la parole du jour, et cette maman qui vend des oranges et des fruits... Elle lève les yeux vers moi : Mon fils, il y a des oranges et des belles mangues hein...
Le choc... la Dame, hormis la tristesse dans son regard et le poids des années, j'avais l'impression de revoir cette jeune dame là... Waouh Seigneur, que se passe t-il ici ???
Je me lève pour remonter dans ma chambre. Il me faut prier un moment... Il n'y a pas de hasard avec le Seigneur, donc assurément il a un message à me faire entendre au vue de cette situation. J'arrive dans ma chambre et je prie et je médite...
La jeune fille dont je vous parlais tout à l'heure, Cathia, celle qui avait été guéri d'une folie. Je dirais même délivré car la Jeune dame avait découvert la chambre secrète du riche homme d'affaire qui l'entretenait malgré l'argent que son père lui envoyait. Après plus d'une année, de suivi, elle a pu réapprendre à vivre et une fois qu'elle a eu fait la paix avec elle-même, elle a exprimé le désir de rentrer au Gabon. Son père insistait pour que je rentre avec elle. Il tenait à tout prix à rencontrer, celui par qui Dieu était passé pour lui rendre sa fille.
C'est ainsi qu'il y a 6 mois je me suis retrouvé pour la première fois au Gabon. Dieu m'a fait la grâce de leur annoncer l'Evangile et Dieu a vraiment fait une grande œuvre dans cette famille. J'étais de retour à Abidjan quand j'ai reçu cet appel de Papa Avome :
- Pasteur comment vas-tu ?
- Je vais bien papa, et toi la famille j'espère qu'il n'y a rien de grave.
- Rien que de bonnes nouvelles mon fils. Ecoute j'ai rencontré l'organisatrice de la conférence mondiales sur la relation d'aide à Montréal le mois dernier. Elle m'a parlé du thème de cette année j'ai tout de suite pensé à toi, et je lui ai rendu ton témoignage. Tu recevras son appel pour y participer.
- Hum papa, je suis un petit pasteur hein, les grands rassemblements là, je ne sais pas si...
- Oui Paul-Yvan, je sais que tu ne veux pas de mon argent, mais ce coup-ci ce n'est pas moi qui paie. C'est pris en charge par les organisateurs, tu vas discuter avec eux directement. Tu me permettras juste de te soutenir pour te préparer hein... On est en mars hein, tes chemises pagnes woodin là, ça ne va pas marcher là-bas hein...
Nous avons ri et le processus était enclencher. Le pasteur Lisa, une charmante quinquagénaire m'a guidé, pour l'obtention du visa et toutes les formalités...
Et là cette rencontre...
Partie 2
Le réveil de mon portable retentit violemment dans la pièce, me faisant sursauter brutalement. Je m'étais assoupi. Il est 17h, nous avons une session que je ne veux pas rater. C'est un témoignage de ce que la relation d'aide peut faire. Sur la brochure, je lis, « Des chaines de la prostitution à son admirable lumière »...
Rapidement je me rafraîchis et j'attrape mon kit du participant. Heureusement que j'ai déjà repéré la salle. J'arrive dix minutes avant le début. Les francophones sont regroupés, je me retrouve avec des pasteurs du canada, de la France, des pays arabes et quelques-uns d'Afrique noir. Nous ne sommes vraiment pas nombreux...
La lumière s'éteint dans la salle, et le podium s'illumine. Le maître de cérémonie s'avance. Je prends mon casque et je le mets, juste à temps. La salle applaudi et je vois apparaître la jeune dame et son accompagnatrice de ce matin. J'entends la traductrice nous dire que la séance sera traduite en anglais et en espagnol et que l'intervenante s'exprimera en français.
« Bonjour, je m'appelle Cassandra. C'est un nom d'emprunt. En vous rendant mon témoignage je ne pourrais pas citer les lieux où j'ai été, ni les vrais noms des personnes que j'ai croisé car ma vie est encore menacé à ce jour.
Je suis originaire d'un pays d'Afrique. Mon grand frère vivait dans un pays européen où il semblait bien avoir réussi. Tous les mois il nous envoyait des sommes importantes, et nous avions mm commencé à construire une maison. Tout le monde nous enviait. Souvent je l'appelais pour le solliciter financièrement pour mes sorties entre copine et il était toujours prompte. Au début de cette triste aventure. Il était rentré pour les vacances. Des marques, de l'argent, du high Tech... et moi j'étais gavé de cadeau et d'argent. Nous avons fait le boucan. J'avais à peine 17 ans. Il insistait pour que je ne couche avec aucun de mes petits amis. Et tous ceux qui lui semblaient difficile à maitriser étaient éjectés. C'est l'une des raisons qui a poussé ma mère à lui faire confiance.
Ce n'était que mon demi-frère, mais il prenait tellement soin de moi, que lorsqu'il a proposé à ma mère et mon père de me laisser partir avec lui, ils n'ont pas hésité. La première chose qui aurait dû nous étonner était le fait qu'il ai fait toutes les démarches pour le voyage sans avoir besoin de moi ou de nos parents, pourtant j'étais mineure...
La seconde c'était le plan de vol. Au lieu d'aller directement à destination, notre voyage à durer presque 3 jours avec une partie du trajet en car... Arrivé à destination, il était vraiment gentil, il me donnait tout ce qui me plaisait, je faisais du shopping, mangeais dans des fast food et la rentrée approchait, mais personnes n'en parlait. J'avais remarqué que tous les soirs il y avait un défilé de jeune fille habillée de manière très sexy, il y en avait de toutes les nationalités et il y avait une dame, forte assez dur du regard qui les supervisait.
Un soir tout à basculer. Je regardais le journal télévisé quand j'ai vu les reportages sur la rentrée. Aida (on l'appellera comme ça) étais à côté avec les filles. J'interpellais mon frère :
- Mais tu as bien dit aux parents que j'irais à l'école mais qu'est ce qui se passe ici ? D'abord qui sont ces filles-là ? c'est ce que tu fais pour envoyer l'argent au pays ? Moi je ne mêle pas de tes affaires mais mon histoire d'école je ne blague pas avec ça...
J'ai parlé pendant un moment, il me regardait le regard méchant l'air de dire, ma petite tu auras ce que tu cherches puis brutalement il est sorti et est revenue avec un verre. « Bois ça » ! Je ne comprenais pas, et je m'énervais, il ressorti et revint avec Aida. Et d'un seul regard elle me fit une prise qui m'empêchait de me débattre pendant que mon frère me déversait le contenu du verre dans la bouche. Aida m'empêchait de respirer pour m'obliger à avaler puis le trou noir...
(Pasteur Paul-Yvan)
-Seigneur, ce n'est pas vrai dites-moi que c'est un film, j'ai chaud j'ai froid... Mes collègues de tables sont tous silencieux, comme imprégné d'une douleur sombre...
(Cassandra)
Je me réveille attaché au lit de mon frère, bâillonner, la tête lourde, la nausée, je suis perdue... je fais un effort, je me rends compte que je suis nue, j'ouvre les yeux ! 4 paires d'yeux goguenards me scrutent avec des sourires niais. Mon frère est là, j'entends sa voix de loin « c'est bon elle se réveille, on peut commencer »...
Je vous passerais les détails, cher auditoire, mais retenez, que mon frère à assumer la responsabilité de me déflorer, violemment brutalement. Les autres étaient là pour m'ouvrir disait-il. J'ai été violé pendant combien de temps je ne sais pas. Quand la douleur devenait insoutenable je perdais connaissance. Je voulais mourir, mais je ne mourais pas, je reprenais mes esprits pour souffrir encore et encore... Je ne voulais plus me relever, mais il m'obligeait à avaler des mixtures, plus tard j'apprendrais que c'était de la drogue... et enfin je puis m'endormir, toujours attachée. Je me réveillais en me rendormais... je ne pouvais pas penser mon esprit était embué...
A un moment Aida rentra dans la chambre, je la regardais en la suppliant, tout ce que j'espérais c'était un peu de compassion. Elle me fit une injection... Et de nouveau le trou noir...
Je me suis réveillée, attacher par des menottes à un lit, dans une autre pièce. Je ne la connaissais pas. Mon pied était attaché, mais mes mains étaient libres. A part un verre d'eau je n'avais rien à portée de main. A croire qu'il y avait une caméra dans la pièce aussitôt que je me suis assise, un homme, un blanc, grand taillé comme un bloc de glace entra dans la pièce avec une dame. Une belle blonde au regard froid et caché derrière eux une africaine...
La dame parlait une langue que je ne comprenais pas et j'entendais une voix qui traduisait.
« Bien, je t'ai acheté à 50.000€ et j'entends rentabiliser mon investissement. Donc, Tu me dois 100.000€, tu as le choix. Tu peux être docile et tu commenceras dans une de mes vitrines à putes, ou alors Igor ici présent t'aidera à accepter ta situation... »
« Voici, Stone, elle sera ton guide ici. C'est votre maison... Il y a des caméras partout, les barrières sont électrifiés et tu n'as ni argent ni papiers pour t'enfuir... Si tu n'obéis pas Igor s'occupera de toi... Et tu iras faire le tapin dans la neige sous le froid pour t'apprendre les bonnes manières... »
Mon monde venait de s'écrouler autour de moi... Vendu par mon propre frère...
(Pasteur Paul-Yvan)
J'entends des snif dans la salle, je sens un liquide coulé sur ma joue... je pleure... Et moi qui croyais avoir déjà rencontré toutes l'horreur de l'humanité... la voix de Cassandra s'éteind, on la sent étreint par une vive émotion. Son accompagnatrice, prend le micro et demande une pause de 10 minutes et l'emmène...
La salle se retire pour la pause dans le silence... je ne bouge pas de ma place...
Partie 3
(Pasteur Paul-Yvan)
J'ai les yeux clos « Seigneur, je suis faible, son témoignage me choque, j'ai mal et j'ai envie de m'enfuir en courant tant j'ai mal. Mais je comprends que je ne suis pas ici par hasard. Seigner je me cache en toi pour avoir ta force. Aide moi Seigneur je t'en supplie je ne peux pas le faire sans toi... »
J'entends les autres revenir à leur place, la séance reprend, je regarde ma montre il est 18h45. La jeune femme reprend son récit.
« J'ai vécu dans ce pays pendant presque 3 ans. Après une année de vitrine parce que j'étais docile j'ai intégré la maison des plaisirs. Une maison truffée de caméra dont les films étaient diffusés sur une chaine câblée dans toutes l'Europe. Pendant près d'une année. Puis est arrivée un étranger qui ne voulait que moi pour le weekend end, il m'avait vu sur cette chaine là et voulais passer son weekend end avec moi. J'étais aux anges car ce genre de prestation rapportait gros, plus de 5 000€.
Le temps passa, et le même, appelons le Eric, revint, tous les mois pendant 1 an, pour moi. Je commençais à m'attacher à lui. Et au cours d'une de ses visites, il m'informa de son désir de me ramener chez lui. Oh ce que j'ai jubilé, j'y ai vu ma délivrance. Enfin, sorti de l'enfer de ma prostitution. Si seulement je savais.
Après trois semaines de tractation, ma propriétaire, m'appela et me dit M. Eric viens de rembourser le reste de ta dette pour que tu puisses partir avec lui. Il t'a acheté à 48.000€. Il a désormais en sa possession, tous tes papiers et tu dois faire tes affaires il passera te chercher. Mais, qu'il soit bien clair, que si tu tentes de t'échapper, de nous dénoncer ou n'importe quoi d'autres, nous te retrouverons partout dans le monde et te le ferons payer très cher... Tu ne seras en sécurité nulle part...
Je n'écoutais rien de ce qu'elle disait car je ne voyais que la liberté au bout du tunnel. Dès que je pu je couru ranger mes quelques affaires, et je me rendis compte que je n'avais rien. Ce fut vite fait, j'étais assise dans le salon. Il arriva et nous sommes partis... et j'ai découvert que l'enfer a plusieurs pallier...
Nous sommes arrivés chez Eric, mais depuis quelques heures il avait changé, il n'était plus ni affectueux ni même chaleureux... il avait une belle maison, un peu éloigné de la ville avec un grand jardin. Mais une boule au ventre m'empêchait de jubiler, je sentais que quelque chose n'était pas net. Nous sommes rentrés, il m'a dit « suis-moi » et nous somme descendu à la cave. La une chambre austère avait été aménagé. J'avais un placard des vêtements décents. Une salle de bain. Nous sommes remontés à l'étage. Une belle femme était assise à la cuisine elle me regardait comme on apprécie un gigot. Puis Eric pris la parole :
« Je te présente Hilda, mon épouse, nous sommes un couple libertin et nous aimons le sexe. J'ai apprécié tes services et j'en fait pars à mon épouse qui a souhaité que nous nous attachions tes services. Ici tu seras traité humainement. Mais tu seras à notre disposition sexuellement, tu seras payé ne t'inquiète pas. Tu pourras contacter ta famille et leur envoyer de l'argent, après tout c'est pour cela que vous venez toutes en Europe non ? Mais si tu nous dénonces tes anciens patrons s'occuperont de toi... »
Le monde s'effondrait à nouveau sous mes pieds...
J'ai vécu avec Eric & Hilda pendant 3 ans. Pour le voisinage j'étais la fille au pair. Bien traité et, au bout de 6 mois j'ai appelé ma maman, j'avais tellement honte que je n'ai rien pu lui dire. Simplement je lui envoyais de l'argent. Puis je suis tombé enceinte d'Eric... Hilda a commencé à se montrer cruelle à me faire manger à même le sol... Pendant ma grossesse, elle a commencé à introduire des amis aux couples à nos ébats. Elle disait-elle avoir besoin d'une autoroute pour mettre au monde son batard.
Eric lui était gentil, il veillait à ce que je fasse mes visites, et fit même un trousseau. J'attendais des jumeaux. Il était heureux. I fit venir un architecte, qui décora une nurserie. J'espérais que de lui donner des enfants changeraient ma situation. Après 32 semaines de grossesse, mon fils et ma fille sont nés prématurés. A la suite d'un rapport violent avec le prof de tennis de Hilda... Je devais être heureuse d'avoir accouché mais non...
Je suis rentrée à la maison, les enfants dormaient à la nurserie et moi par terre pour m'occuper d'eux... Quand ils ont 3 mois j'ai commencé à subir des pressions pour signer les papiers de l'adoption qui ferait d'hilda leur mère. D'abord c'était des demandes, ensuite elle m'a proposé 50 .000€, mais je ne voulais pas c'était la seule dignité qu'il me restait. Mes enfants.
Des qu'ils ont eu 6 mois, elle a commencé à organiser des partouzes géantes ou j'étais la victime. Je ne cédais toujours pas, puis un jour ce fut un chien un dog allemand. Je me suis tellement défendu que le chien m'a planté ses crocs dans le dos...
J'étais presque morte, je me suis réveillée à l'hôpital et là j'entendais quelqu'un prier pour un malade à côté... et j'ai commencé à pleurer...
Hello c'est les vacances je décide de m'écrire un peu. Plongez vous dans mon monde
L'histoire de Samrane, c'est l'histoire de tous les hommes, c'est l'histoire de l'orgueil et de la presse sociale. L'histoire de l'amour qui fuit quand on le cherche
Prologue (Quelque part au Nigeria) (il y a quelques années) Dans une hutte sombre, un homme d'une certaine classe est assis sur une paillasse rougit par la poussière face à un féticheur. - Oga - Ashe... - Oga, je suis venu te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi. - Ashe... - Grâce à toi mes pirogues de sable sont prospères ! Mes mines de gravier aussi. Oga je suis millionnaire... - Ashe... - Oga, tu es très fort et tes génies sont très puissants et je leur ai apporté ce qu'ils aiment... - Ashe...
Prologue Un jour le lion malade, aho lolololo il a demandé la cause de sa maladie, Rien ne saurai le guérir aho lolololo Ama zinkpè, zinkpè sans caleçon Zinkpè bonne appétit merci! Mes amies et moi rivalisons d'ardeur dans un déhanchement pleins de joie. Nous éclatons de rire... "Dotou! Dotou!" J'aperçois les femmes qui reviennent des champs à la lisière de la forêt. Ma mère m'appelle pour que je vienne la décharger de son bagage de tête. Elle porte mon petit frère Tundé sur son dos, ses outils dans une main et sur sa tête un fagot de bois. Elle a l'air fatiguée. J'abandonne mes jeux et me précipite pour la décharger. Le fagot est transféré d'elle à moi et je me saisis de ses outils.
Sa sœur refuse catégoriquement d'épouser son fiancé. On dit de lui qu'il est hideux, froid... et pire encore, impuissant. Sa mère s'agenouille, implorant Clara : « Ma fille... sauve ta sœur. Prends sa place à l'autel. » Un frisson parcourt son échine . C'est insensé... et pourtant, Clara accepte. Le soir des noces, tout bascule. L'homme qu'on disait monstrueux est d'une beauté à couper le souffle. Mais son regard, glacé, la transperce : - Tu es d'une laideur sans nom. Elle s'attendait à une indifférence polie... elle découvre une brutalité inattendue. Il la plaque sur le lit, ses mots tranchants comme une lame : - Peu importe ton visage. À présent, tu es mienne. Clara relève les yeux, son cœur battant à tout rompre. Elle ose répliquer d'une voix ferme : - Toi, en revanche... tu n'as rien d'impuissant. Et quand il arrache enfin ses déguisements, révélant un visage d'une beauté envoûtante, son sourire s'assombrit : - Il semblerait que les rumeurs étaient fausses... mais désormais, tu ne pourras plus échapper à ton rôle d'épouse.
Dans mon ancienne vie, Bastien, mon fiancé, et mon frère, Hugo, étaient mon univers, les piliers inébranlables de mon existence. Puis, Clara est arrivée – une fille aux larmes faciles, sans histoire – et en un clin d' œil, elle a tout volé. Mon fiancé a rompu nos fiançailles, mon frère a brisé sa promesse de me protéger. Tous deux se sont tournés vers elle, me traitant comme une intruse. J'ai été publiquement humiliée, bousculée, accusée de jalousie. Ils ont permis qu'elle vole la formule de parfum inachevée de ma mère, mon héritage le plus précieux. Pire encore : la montre Cartier de ma mère, celle qu'elle m'avait léguée et que j'ai vue à son poignet, Bastien l'a brisée sous mes yeux. Et Hugo voulait donner le refuge de ma mère à cette usurpatrice. Leur trahison a dépassé l'entendement. Ce jour-là, au fond de cet abîme de douleur, j'ai réalisé que l'amour que je leur portais était mort. Et, étrangement, la haine aussi. Il ne restait qu'un vide glacial. Comment des êtres que j'avais tant aimés ont-ils pu me dénier mon existence même, me traiter en ennemie pour une étrangère? Alors, j' ai décidé de disparaître. J' ai mis le feu à notre appartement parisien, à tous nos souvenirs, laissant des indices pour qu' on me croie morte dans les flammes. C'était la seule façon de renaître de mes cendres, loin d'eux, sous un nouveau nom, Léa Martin. Mais ce qu'ils ont ignoré, c'est que cette mort n'était que le début de ma véritable vie, et la leur, celle d'un remords sans fin.
Je me suis réveillée après cinq ans dans le coma. Un miracle, selon les médecins. Mon dernier souvenir, c'était de pousser mon mari, Damien, pour l'écarter de la trajectoire d'un camion. Je l'avais sauvé. Mais une semaine plus tard, à la mairie, j'ai découvert un acte de décès établi deux ans plus tôt. Les noms de mes parents y figuraient. Et puis, la signature de Damien. Mon mari, l'homme que j'avais sauvé, m'avait déclarée morte. Le choc a laissé place à un vide glacial. Je suis retournée chez nous, pour y trouver Angélique Martin, la femme qui avait provoqué l'accident. Elle y vivait. Elle a embrassé Damien, un baiser désinvolte, familier. Mon fils, Émile, l'appelait « Maman ». Mes parents, Anne et Gilles, l'ont défendue, disant qu'elle faisait « partie de la famille maintenant ». Ils voulaient que je pardonne, que j'oublie, que je comprenne. Ils voulaient que je partage mon mari, mon fils, ma vie, avec la femme qui m'avait tout volé. Mon propre fils, l'enfant que j'avais porté et aimé, a hurlé : « Je veux qu'elle s'en aille ! Va-t'en ! C'est elle, ma maman ! » en pointant Angélique du doigt. J'étais une étrangère, un fantôme qui hantait leur nouvelle vie heureuse. Mon réveil n'était pas un miracle ; c'était un dérangement. J'avais tout perdu : mon mari, mon enfant, mes parents, mon identité même. Et puis, un appel de Zurich. Une nouvelle identité. Une nouvelle vie. Catherine Dubois était morte. Et désormais, je ne vivrais que pour moi.
Katharina, fille de l'Alpha Ramus de la meute Omnirous, vit sous la tyrannie de son père depuis la mort de sa mère, qu'il lui reproche. Battue et humiliée, elle rêve de liberté. Le soir du couronnement de Zeus, le nouveau roi des loups, elle désobéit à son père pour assister à sa première transformation. Là, sans le savoir, elle attire l'attention de Zeus, qui perçoit en elle l'odeur de sa compagne prédestinée. De son côté, Zeus refuse ce lien. Froid, violent et façonné par son père pour gouverner sans émotions, il considère l'amour comme une faiblesse. Sa mère, la reine Éléonore, au contraire, croit fermement que sa destinée est de retrouver son âme sœur et le pousse à ne pas l'ignorer. Fuyant la brutalité de son père, Katharina rejoint la meute de l'Alpha Duren. Elle gagne sa place parmi ses guerriers après des épreuves, mais découvre peu à peu que Duren cache ses propres ambitions et n'est pas digne de confiance. Pendant ce temps, Zeus, en proie aux complots, aux attaques de rogues et aux manipulations de son père qui veut l'unir à Loui, lutte entre ses devoirs royaux et le lien qu'il ressent malgré lui envers Katharina. Leurs chemins finissent par se croiser de nouveau. Zeus découvre que Katharina est non seulement la fille d'un Alpha mais aussi sa véritable compagne. Cependant, tiraillé entre son refus du destin imposé par la Déesse de la Lune et ses sentiments naissants, il décide de la mettre à l'épreuve en organisant un tournoi dont la gagnante deviendra sa reine. Katharina, encore marquée par la douleur et la trahison, devra se battre non seulement pour prouver sa force, mais aussi pour affronter un roi qui la désire sans vouloir l'aimer.
Jennifer Smith était la fille d'Alpha. Sa famille a été détruite par des traîtres qui venaient du sein de leur meute. Sa mère est décédée d'une maladie; son père a été assassiné par le Beta ; et sa meute a été occupée. Seule et emprisonnée, Jennifer s'est échappée pour avoir recours à la meute de Dark River, où elle a fini par être réduite en esclavage. Bien qu'elle ait été constamment maltraitée et insultée, elle n'a jamais cédé ni admis sa défaite. Son compagnon s'est avéré être Anthony Jones, le prince lycan du royaume d'Osman. Le royaume d'Osman régnait sur toutes les meutes. Mais le noble prince semblait avoir son propre secret. Le pouvoir puissant de Jennifer a attiré le prince et elle a rapidement été amenée au terrain royal d'entraînement, où son destin a changé à jamais. Avide de vengeance contre ceux qui avaient détruit sa famille, Jennifer s'est donnée coprs et âme à l'entraînement. Le prince Anthony refuserait-il Jennifer à cause de son humble identité ? Que leur arriverait-il sur le terrain d'entraînement ? Que choisirait-elle entre l'amour et la haine ? Et quel était le secret du prince ?
Pendant trois années de patience et de souffrance, Christina s'est occupée de la maison, mais elle a finalement été abandonnée sans pitié par l'homme en qui elle avait confiance. Il a même présenté sa nouvelle maîtresse, faisant de Christina la risée de toute la ville. Libérée, elle a perfectionné ses talents longtemps ignorés, étonnant la ville par ses succès éclatants. En découvrant qu'elle avait toujours été un trésor, son ex-mari, rongé par le regret, s'est mis à la poursuivre. « Chérie, reviens-moi ! » Avec un sourire narquois, Christina lui a répondu : « Va te faire foutre. » Un magnat vêtu d'un costume de soie a passé son bras autour de sa taille. « Elle est mon épouse désormais. Gardes, faites-le sortir d'ici ! »
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