/0/4777/coverbig.jpg?v=2f92d5c8bd275990cbf4b07b5751a64e)
Je n'avais qu'une seule distraction : Tuer Je ne me nourrissais uniquement que de chaire et de sang Je ne pouvais mourir... Oui je suis immortel...
Je n'avais qu'une seule distraction : Tuer Je ne me nourrissais uniquement que de chaire et de sang Je ne pouvais mourir... Oui je suis immortel...
L'être humain n'est pas bon, chaque être humain a laissé un jour , le mal dominer en lui, pour après faire semblant d'être bon Votre Dieu, vous dites qu'il déteste les hypocrites, mais qui êtes vous réellement ?
Posez vous cette question et vous verrez que vous n'êtes pas en réalité différent de ce que vous pensez ne pas être.
C'est d'ici qu'était venu depuis mes ancêtres la haine pour cet être vivant couvert de peau et de chair dans un tas d'os qu'on appelait Homme !
J'avais appris à minimiser l'être humain!! Depuis le jour où mon père m'avait envoyé sur terre, il m'avait donné tellement de confiance que je n'avais peur de rien Il me disait que l'être humain ne saurai rien me donner que lui , Lucifer, mon père ne saura me donner, que même l'amour d'un père, ou d'un frère, personne sur terre où il m'envoie ne saurai me le donner !
La preuve quelques temps après mon arrivée, je voyais des frères s'entretuer, des guerres dans un même pays, du tribalisme et tous ces fléaux qui sauraient miner la société, la vie de l'être humain
J'étais venu sur terre avec toute la confiance qui puisse exister, même celui que mon père même craignait, Dieu , je le meprisais Dites moi quel parent saurai aimer quelqu'un qui fait peur à son père ? J'étais donc venu sur terre, avec tout le mal possible, je me nourrissais d'âmes, de souffles de vies et aussi des années de vie des êtres humains.
Lorsque je savais qu'il me restait environs dix ans à vivre, je renouvellais mon compteur avec deux , trois, quatre être humains qui avaient encore des années devant eux afin d'ajouter aux miennes.
Ne vous dites pas que c'était difficile, je savais lire le nombre de vie, ça s'affichait sur votre front et seul moi pouvait le voir, en un clin d'œil, j'aspirais cela et je ne vous laissais que quelques jours à vivre Il était imprudent de me croiser sur son passage lorsque je devais me renouveller...
Je n'avais aucune pitié !!!! Aujourd'hui ça fait plus de milles années que je suis sur terre, je ère parmi vous, je me faufile entre vous, je vis avec vous, je mange avec vous et je me nourris de vous...
- Aidez moi, s'il vous plaît aidez moi !
L'on pouvait apercevoir un vieillard à qui on pouvait donner 80 ans, très sale à même le sol dans un état assez grave qui réclamait de l'aide. Mais j'avais compris que le monde est tellement mauvais que personne n'avait daigné s'arrêter pour lui venir en aide Pourtant il avait vraiment l'air mal en point '' aidez moi " étaient les seuls paroles qu'il parvenait à sortir de sa bouche , il demandait de l'aide mais sur plus de cent personnes qui étaient passées près de lui ce jour, personne n'avait songé s'arrêter Ils préféraient lui lancer des regards, le dévisager , l'ignorer et le traverser comme quelqu'un qui avait la peste.
Et ce vieillard, c'était moi ! Oui, c'était moi, j'aimais m'amuser à faire ce genre de jeu, pour tester les humains et à presque chaque fois ça réussissait.
Je pouvais donc me faire une raison d'agir en mal, même si je n'en avais pas besoin !
Ce jour, les heureux élus furent un couple... Ils étaient entrain de s'approcher de moi sans m'avoir vu, lorsqu'ils furent proche de moi, je leur dis
- Aidez moi, Aidez moi!
La femme s'éffraya et traversa de l'autre côté en disant à son mari que, elle avait peur de moi, que j'étais un fou... Son mari s'était mis à sourire en la rassurant de ne pas avoir peur de quoi que ce soit
- c'est un vieillard, il ne saurai faire de mal à une mouche ! Hahahahaah!
Ils se sont éloignés et j'ai jeté mon dévolu sur eux, j'ai décidé de m'amuser avec eux , de passer le reste de temps près d'eux afin de les détruire moi le fou qui semblait être inoffensif.
J'étais resté là jusqu'à X heures avant de me transformer en margouillat pour rentrer où je vivais dans un cimetière Oui je préférais les cimetières, j'y étais à l'aise, c'était comme vous dans un hôtel ou alors un fidèle dans une église Moi je préférais les cimetières !
Je m'étais reposé quelques jours avant de demander à papa de me dire où ce couple se trouvait, je n'allais pas partir comme ça sans information... Il m'a envoyé leur localisation et une nuit en mouche je me suis transformé et je suis allé voir de plus près cette famille.
C'était une famille assez modeste, qui avait une vie de paix et de bonheur, j'avais trouvé six personnes qui y vivaient, dont le couple et quatre enfants, mais en regardant de plus près, en regardant le sang qui coulait dans leurs veines, je me rendis compte que ce n'était pas vraiment le même sang... je compris en fait que ce n'était pas leurs enfants à eux mais ceux de leurs différents frères et sœurs qu'ils avaient décidé de garder.
Mais pourquoi un couple qui était assez âgé comme eux, n'avait pas d'enfants ... Dans les profondeurs de me recherches, je me rendis compte que ce couple était à la recherche d'un enfant depuis des années aujourd'hui ! Plus jeunes, ils avaient fait un enfant mais n'étant prêts, ils durent faire un avortement que leur Dieu n'avait pardonné N'étant un couple pieux , ils se confiaient à la médicine et aux marabouts pour avoir une solution, chose qui ne devait jamais fonctionner même dans des siècles et des siècles Une maison gaie.
Ils ne faisaient aucune différence entre les enfants et tout le monde était heureux ! Ces enfants même parfois les aimaient plus que leurs propres parents...
Je leur ai dit intérieurement de profiter de ces derniers moment car je serai bientôt là pour mettre un terme à tout celà et je comptais le faire.
Je n'aime pas la joie, le bonheur, bref tout ce qui rendait joyeux ! Je déteste !!! Le jour J arriva et ce jour là...
- Chérie, des pleures de bébés ? On a une voisine qui a accouché ou bien ?
- On n'a pas de voisine aussi proche au point d'entendre des pleures de bébés
- Mais d'où ça sort alors ?
Ils s'étaient levés pour venir ouvrir leur porte et là au seuil , ils virent ce petit garçon enveloppé dans un panier qui pleurait en débattant ses petits bras et ses petits pieds Il était tout mignon, tout fragile... Ils se sont regardés et n'ont qu'eu une seule idée : le faire entrer dans la maison afin qu'il n'attrape un coup de froid Ce bébé là, c'était moi...
Certains pères sont appelés papa alors qu'ils sont juste des géniteurs. Un vrai papa ne fait pas ce que le mien m'a fait.
Étant une lycéenne, elle tombe enceinte et déçoit son père qui la chasse de la maison.
Ne dit-on pas que celui qui trouve une femme trouve le bonheur surtout si c'est une femme vertueuse aux valeurs pieuses ? Une femme soumise et craignant Yahweh, le Dieu qu'Anicet Tamo, jeune ingénieur dans le monde du pétrole et résident en France, servait sans relâche en tant que bon chrétien. C'est donc désirant de trouver la chair de sa chair qu'il sera confronté à un choix déterminant où seul, le penchant spirituel de sa bien aimée lui servira de guide. Nous découvrirons tous si Anicet grâce à ses convictions spirituelles trouvera son bonheur, dans la nouvelle chronique.
Que se passe t'il quand une jeune femme devient l'objet de désire De l'homme le plus puissant du pays? Nia vient de perdre ses parents dans un accident à sa charge son petit frère Cédric et sa Grand-mère Amandine. Sans qu'elle ne le sache elle va attirer l'attention de Daniel le président de l'une des entreprises les plus puissantes de son pays. Que va t'il se passer dans la vie de cette jeune fille a peine sortie de l'adolescence ?
Je suis Nina Mendez, j'ai 22 ans et je suis la fille unique de ma mère. Cette dernière m'a eue avec un autre homme puis, elle a refait sa vie avec un autre donc, j'ai des demis frères. Si vous voulez vous regarder, lisez mon histoire car elle est incroyable... Je vous réserve une surprise.
C'est bien de demander pardon quand on agit mal mais est-ce que tout péché est vraiment pardonnable?
Maia a grandi comme une héritière choyée, jusqu'à ce que la véritable fille revienne et la fasse accuser à tort. Avec l'aide de son fiancé et de sa famille, elle a envoyé Maia en prison. Quatre ans plus tard, libérée et mariée à Chris, le fils illégitime tristement célèbre, Maia était considérée par tous comme une perdante. Mais ils ont rapidement découvert qu'elle était en secret une joaillière renommée, une hackeuse d'élite, une chef cuisinière célèbre et une conceptrice de jeux vidéo de premier plan. Alors que son ancienne famille implorait son aide, Chris a souri calmement. « Chérie, rentrons à la maison. » C'est seulement à ce moment-là que Maia a réalisé que son mari « inutile » était en réalité un magnat légendaire qui l'adorait depuis le début.
J'ai trouvé le document par accident. Aiden était absent, et je cherchais les vieux boucles d'oreilles de ma mère dans le coffre-fort quand mes doigts ont effleuré un épais dossier inconnu. Ce n'était pas le mien. Il s'agissait du « Fonds Patrimonial de la Famille Herrera », et le principal bénéficiaire de l'énorme fortune d'Aiden, ce n'était pas moi, sa femme depuis sept ans. C'était un garçon de cinq ans nommé Leo Herrera, et son tuteur légal, inscrit comme bénéficiaire secondaire, était Haven Herrera, ma belle-sœur adoptive. Mon avocat de famille l'a confirmé une heure plus tard. C'était réel, inattaquable, et établi depuis cinq ans. Le téléphone a glissé de ma main. Un frisson glacial s'est répandu en moi. Sept ans. J'avais passé sept ans à justifier la folie d'Aiden, ses colères, sa possessivité, croyant que c'était une partie tordue de son amour. J'ai traversé le manoir froid et silencieux jusqu'à l'aile est, attirée par le son des rires. À travers les portes vitrées, je les ai vus : Aiden, faisant sauter Leo sur son genou, Haven à côté de lui, sa tête reposant sur son épaule. Et avec eux, souriant et câlinant l'enfant, se trouvaient les parents d'Aiden. Mes beaux-parents. Ils étaient une famille parfaite. « Aiden, le transfert final des actifs de Knox dans la fiducie de Leo est terminé », a déclaré son père en levant une coupe de champagne. « Tout est parfaitement en ordre maintenant. » « Bien », a répondu Aiden, sa voix posée. « L'argent de la famille de Charlotte devrait toujours appartenir à un véritable héritier Herrera. » Mon héritage. L'héritage de ma famille. Transféré à son fils naturel. Mon propre argent, utilisé pour assurer l'avenir de sa trahison. Ils le savaient tous. Ils avaient tous conspiré. Sa rage, ses crises psychologiques et sa maladie n'étaient pas quelque chose que tout le monde pouvait supporter. C'était un enfer spécial qu'il avait réservé rien que pour moi. Je me suis éloignée de la porte, mon corps froid comme la glace. J'ai couru jusqu'à notre chambre, celle que nous avions partagée pendant sept ans, et j'ai verrouillé la porte. J'ai regardé mon reflet, le fantôme de la femme que j'étais. Une promesse silencieuse s'est formée sur mes lèvres, silencieuse mais absolue. « Aiden Herrera », ai-je murmuré à la pièce vide. « Je ne te reverrai jamais. »
Stella avait autrefois savouré la dévotion de Marc, mais sa cruauté dissimulée l'avait profondément blessée. Elle avait brûlé leur photo de mariage à ses pieds alors qu'il envoyait des messages coquins à sa maîtresse. La poitrine serrée et les yeux brûlants, Stella lui avait donné une gifle cinglante. Puis elle avait effacé son identité, s'était engagée dans une mission de recherche classée secret défense, avait disparu sans laisser de traces et lui avait laissé une bombe cachée. Le jour du lancement, elle a disparu ; à l'aube, l'empire de Marc s'est effondré. Tout ce qu'il a trouvé, c'est son certificat de décès, et il s'est effondré. Lorsqu'ils se sont revus, lors d'un gala, Stella était aux côtés d'un magnat. Marc l'a suppliée. Avec un sourire narquois, elle lui a répondu : « Tu n'es pas à ma hauteur, mon ex. »
Lucia Balstone pensait avoir choisi le bon homme avec qui passer le reste de sa vie, mais c'est lui qui a mis fin à ses jours. Leur mariage de dix ans a semblé être une blague lorsque son mari l'a poignardée avec un poignard. Heureusement, Dieu n'est jamais aveugle aux larmes des gens. Lucie a eu une seconde chance. Elle renaît à l'âge de 22 ans, avant que toutes les choses terribles ne se produisent. Cette fois, elle était déterminée à se venger et à laisser payer ceux qui lui faisaient du mal ! Elle a fait une liste détaillée de ses objectifs, et la première chose sur sa liste était d'épouser l'ennemi de son ex-mari, Alonso Callen !
"Mademoiselle Roche, il est temps pour vous de divorcer de Monsieur Arnaud et de rentrer à la maison. Vous êtes la seule héritière que le Maître attend." ~•~ Pour l'amour, Julianna a accepté le mariage arrangé avec Franklin William Arnaud. Elle a tout fait pour gagner le cœur de son mari, mais lorsque son ancien amour est revenu, elle a réalisé que tous ses efforts étaient en vain. Franklin a exigé un divorce la nuit de leur anniversaire de mariage, quitte à la menacer. Le cœur brisé, elle a finalement abandonné toutes ses illusions à son sujet et est rentrée chez elle pour être l'héritière. La prochaine fois qu'elle a rencontré Franklin, ils n'étaient plus des couples mais des adversaires. "Monsieur Arnaud , dois-je vous le rappeler encore ? Nous avons divorcé." "Julia, c'est l'erreur la plus stupide que j'ai jamais faite. Reviens à moi, s'il te plaît."
Rena est entrée dans une liaison avec Waylen, un milliardaire, un soir où elle avait trop bu. Elle avait besoin de son aide, tandis qu'il était attiré par sa beauté. Ainsi, ce qui devait être une aventure d'une nuit s'est transformé en quelque chose de sérieux. Tout allait bien jusqu'à ce que Rena découvre que le cœur de Waylen appartenait à une autre femme. Lorsque son premier amour est revenu, il a cessé de rentrer à la maison, laissant Rena seule toutes les nuits. Elle a supporté cela jusqu'à ce qu'elle reçoive un chèque et une note d'adieu un jour. Contrairement à ce à quoi Waylen s'attendait, Rena avait un sourire sur son visage en lui disant au revoir. « Ça a été amusant, Waylen. J'espère que nous ne croiserons jamais nos chemins. » Mais comme le destin l'aurait voulu, leurs chemins se sont de nouveau croisés. Cette fois, Rena avait un autre homme à ses côtés. Les yeux de Waylen brûlaient de jalousie. Il a craché : « Comment as-tu pu te mettre avec un autre homme ? Je pensais que tu n'aimais que moi ! » « Comme tu l'as dit, aimais, c'est du passé ! » Rena a jeté ses cheveux en arrière et a rétorqué : « Il y a plein de poissons dans la mer, Waylen. De plus, c'est toi qui as demandé une rupture. Maintenant, si tu veux sortir avec moi, tu dois attendre ton tour. » Le lendemain, Rena a reçu sur son compte des milliards et une bague en diamant. Waylen est réapparu, s'est agenouillé et a dit : « Puis-je m'intercaler dans la file d'attente, Rena ? Je te veux toujours. »
© 2018-now Kifflire
TOP