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Je n'avais qu'une seule distraction : Tuer Je ne me nourrissais uniquement que de chaire et de sang Je ne pouvais mourir... Oui je suis immortel...
Je n'avais qu'une seule distraction : Tuer Je ne me nourrissais uniquement que de chaire et de sang Je ne pouvais mourir... Oui je suis immortel...
L'être humain n'est pas bon, chaque être humain a laissé un jour , le mal dominer en lui, pour après faire semblant d'être bon Votre Dieu, vous dites qu'il déteste les hypocrites, mais qui êtes vous réellement ?
Posez vous cette question et vous verrez que vous n'êtes pas en réalité différent de ce que vous pensez ne pas être.
C'est d'ici qu'était venu depuis mes ancêtres la haine pour cet être vivant couvert de peau et de chair dans un tas d'os qu'on appelait Homme !
J'avais appris à minimiser l'être humain!! Depuis le jour où mon père m'avait envoyé sur terre, il m'avait donné tellement de confiance que je n'avais peur de rien Il me disait que l'être humain ne saurai rien me donner que lui , Lucifer, mon père ne saura me donner, que même l'amour d'un père, ou d'un frère, personne sur terre où il m'envoie ne saurai me le donner !
La preuve quelques temps après mon arrivée, je voyais des frères s'entretuer, des guerres dans un même pays, du tribalisme et tous ces fléaux qui sauraient miner la société, la vie de l'être humain
J'étais venu sur terre avec toute la confiance qui puisse exister, même celui que mon père même craignait, Dieu , je le meprisais Dites moi quel parent saurai aimer quelqu'un qui fait peur à son père ? J'étais donc venu sur terre, avec tout le mal possible, je me nourrissais d'âmes, de souffles de vies et aussi des années de vie des êtres humains.
Lorsque je savais qu'il me restait environs dix ans à vivre, je renouvellais mon compteur avec deux , trois, quatre être humains qui avaient encore des années devant eux afin d'ajouter aux miennes.
Ne vous dites pas que c'était difficile, je savais lire le nombre de vie, ça s'affichait sur votre front et seul moi pouvait le voir, en un clin d'œil, j'aspirais cela et je ne vous laissais que quelques jours à vivre Il était imprudent de me croiser sur son passage lorsque je devais me renouveller...
Je n'avais aucune pitié !!!! Aujourd'hui ça fait plus de milles années que je suis sur terre, je ère parmi vous, je me faufile entre vous, je vis avec vous, je mange avec vous et je me nourris de vous...
- Aidez moi, s'il vous plaît aidez moi !
L'on pouvait apercevoir un vieillard à qui on pouvait donner 80 ans, très sale à même le sol dans un état assez grave qui réclamait de l'aide. Mais j'avais compris que le monde est tellement mauvais que personne n'avait daigné s'arrêter pour lui venir en aide Pourtant il avait vraiment l'air mal en point '' aidez moi " étaient les seuls paroles qu'il parvenait à sortir de sa bouche , il demandait de l'aide mais sur plus de cent personnes qui étaient passées près de lui ce jour, personne n'avait songé s'arrêter Ils préféraient lui lancer des regards, le dévisager , l'ignorer et le traverser comme quelqu'un qui avait la peste.
Et ce vieillard, c'était moi ! Oui, c'était moi, j'aimais m'amuser à faire ce genre de jeu, pour tester les humains et à presque chaque fois ça réussissait.
Je pouvais donc me faire une raison d'agir en mal, même si je n'en avais pas besoin !
Ce jour, les heureux élus furent un couple... Ils étaient entrain de s'approcher de moi sans m'avoir vu, lorsqu'ils furent proche de moi, je leur dis
- Aidez moi, Aidez moi!
La femme s'éffraya et traversa de l'autre côté en disant à son mari que, elle avait peur de moi, que j'étais un fou... Son mari s'était mis à sourire en la rassurant de ne pas avoir peur de quoi que ce soit
- c'est un vieillard, il ne saurai faire de mal à une mouche ! Hahahahaah!
Ils se sont éloignés et j'ai jeté mon dévolu sur eux, j'ai décidé de m'amuser avec eux , de passer le reste de temps près d'eux afin de les détruire moi le fou qui semblait être inoffensif.
J'étais resté là jusqu'à X heures avant de me transformer en margouillat pour rentrer où je vivais dans un cimetière Oui je préférais les cimetières, j'y étais à l'aise, c'était comme vous dans un hôtel ou alors un fidèle dans une église Moi je préférais les cimetières !
Je m'étais reposé quelques jours avant de demander à papa de me dire où ce couple se trouvait, je n'allais pas partir comme ça sans information... Il m'a envoyé leur localisation et une nuit en mouche je me suis transformé et je suis allé voir de plus près cette famille.
C'était une famille assez modeste, qui avait une vie de paix et de bonheur, j'avais trouvé six personnes qui y vivaient, dont le couple et quatre enfants, mais en regardant de plus près, en regardant le sang qui coulait dans leurs veines, je me rendis compte que ce n'était pas vraiment le même sang... je compris en fait que ce n'était pas leurs enfants à eux mais ceux de leurs différents frères et sœurs qu'ils avaient décidé de garder.
Mais pourquoi un couple qui était assez âgé comme eux, n'avait pas d'enfants ... Dans les profondeurs de me recherches, je me rendis compte que ce couple était à la recherche d'un enfant depuis des années aujourd'hui ! Plus jeunes, ils avaient fait un enfant mais n'étant prêts, ils durent faire un avortement que leur Dieu n'avait pardonné N'étant un couple pieux , ils se confiaient à la médicine et aux marabouts pour avoir une solution, chose qui ne devait jamais fonctionner même dans des siècles et des siècles Une maison gaie.
Ils ne faisaient aucune différence entre les enfants et tout le monde était heureux ! Ces enfants même parfois les aimaient plus que leurs propres parents...
Je leur ai dit intérieurement de profiter de ces derniers moment car je serai bientôt là pour mettre un terme à tout celà et je comptais le faire.
Je n'aime pas la joie, le bonheur, bref tout ce qui rendait joyeux ! Je déteste !!! Le jour J arriva et ce jour là...
- Chérie, des pleures de bébés ? On a une voisine qui a accouché ou bien ?
- On n'a pas de voisine aussi proche au point d'entendre des pleures de bébés
- Mais d'où ça sort alors ?
Ils s'étaient levés pour venir ouvrir leur porte et là au seuil , ils virent ce petit garçon enveloppé dans un panier qui pleurait en débattant ses petits bras et ses petits pieds Il était tout mignon, tout fragile... Ils se sont regardés et n'ont qu'eu une seule idée : le faire entrer dans la maison afin qu'il n'attrape un coup de froid Ce bébé là, c'était moi...
Certains pères sont appelés papa alors qu'ils sont juste des géniteurs. Un vrai papa ne fait pas ce que le mien m'a fait.
Étant une lycéenne, elle tombe enceinte et déçoit son père qui la chasse de la maison.
Ne dit-on pas que celui qui trouve une femme trouve le bonheur surtout si c'est une femme vertueuse aux valeurs pieuses ? Une femme soumise et craignant Yahweh, le Dieu qu'Anicet Tamo, jeune ingénieur dans le monde du pétrole et résident en France, servait sans relâche en tant que bon chrétien. C'est donc désirant de trouver la chair de sa chair qu'il sera confronté à un choix déterminant où seul, le penchant spirituel de sa bien aimée lui servira de guide. Nous découvrirons tous si Anicet grâce à ses convictions spirituelles trouvera son bonheur, dans la nouvelle chronique.
Que se passe t'il quand une jeune femme devient l'objet de désire De l'homme le plus puissant du pays? Nia vient de perdre ses parents dans un accident à sa charge son petit frère Cédric et sa Grand-mère Amandine. Sans qu'elle ne le sache elle va attirer l'attention de Daniel le président de l'une des entreprises les plus puissantes de son pays. Que va t'il se passer dans la vie de cette jeune fille a peine sortie de l'adolescence ?
Je suis Nina Mendez, j'ai 22 ans et je suis la fille unique de ma mère. Cette dernière m'a eue avec un autre homme puis, elle a refait sa vie avec un autre donc, j'ai des demis frères. Si vous voulez vous regarder, lisez mon histoire car elle est incroyable... Je vous réserve une surprise.
C'est bien de demander pardon quand on agit mal mais est-ce que tout péché est vraiment pardonnable?
Elle pensait signer un simple contrat de mariage pour satisfaire une condition administrative. Lui, héritier d'un empire tentaculaire, avait déclaré être marié pour faire échouer un mariage arrangé par sa famille. Aucun des deux ne savait qu'un acte officiel les liait vraiment. Lorsqu'elle reçoit un certificat de mariage certifié par l'État, elle croit à une erreur administrative. Mais lorsque l'homme, figure insaisissable du pouvoir économique national, apparaît en personne à la réception de fiançailles de sa sœur... et que le nom sur le certificat est le sien, elle comprend que cette union cache bien plus qu'une simple coïncidence. Le mariage, apparemment fictif, devient le centre d'un affrontement silencieux entre deux familles puissantes. La sienne, modeste mais avide d'ascension sociale, veut cacher le scandale. La sienne à lui, impitoyable, veut la faire disparaître. ❝ Pourquoi cette alliance illégitime a-t-elle été rendue officielle ? Pourquoi aucun des deux ne se souvient avoir consenti à cette union ? Et pourquoi tout le monde autour d'eux semble avoir quelque chose à y gagner... ou à y perdre ? ❞ Sous la façade d'un mariage de papier se dissimule un jeu de pouvoir où le titre d'épouse devient une arme, et le statut social une condamnation ou une protection. Plus elle cherche à annuler ce mariage, plus elle comprend que divorcer serait une erreur fatale.
Linsey s'est fait poser un lapin par son fiancé pour s'enfuir avec une autre femme. Furieuse, elle s'est emparée d'un inconnu au hasard et a déclaré : « Marions-nous ! » Elle a agi sous le coup de l'impulsion, réalisant trop tard que son nouveau mari était Collin, qui a la réputation d'être un loser. Tout le monde s'est moqué d'elle, et même son ex lui a proposé de se réconcilier avec elle. Mais Linsey n'a pas hésité à refuser. « Mon mari et moi sommes très amoureux ! » Tout le monde pensait qu'elle délirait. Puis Collin s'est révélé être l'homme le plus riche du monde. Devant tout le monde, il s'est agenouillé et a brandi une magnifique bague en diamant. « J'ai hâte que nous soyons ensemble pour toujours, chérie. »
Les heures ensoleillées faisaient scintiller leur affection, tandis que les nuits au clair de lune enflammaient un désir imprudent. Mais lorsque Brandon a appris que sa bien-aimée n'en avait peut-être plus que pour six mois à vivre, il a froidement remis à Millie les papiers du divorce, murmurant : « C'est juste pour sauver les apparences, nous nous remarierons une fois qu'elle se sera calmée. » Millie, le dos droit et les joues sèches, a senti un vide dans son cœur. La séparation fictive est devenue définitive. Elle a discrètement mis fin à sa grossesse et s'est lancée dans une nouvelle vie. Mais Brandon s'est effondré, sa voiture dévalant la rue, refusant de laisser partir la femme qu'il avait rejetée, la suppliant de se retourner ne serait-ce qu'une seule fois.
La pluie de la Corniche d'Or s'écrasait contre notre pare-brise, tout comme mon estomac se tordait sous l'effet d'une douleur aiguë et familière. Marc conduisait, les jointures de ses doigts blanches, jusqu'à ce que son téléphone affiche « Inès ». Mon mari, son éternel toutou loyal, s'est évaporé en un éclair. « Élise, appelle un Uber. Inès a besoin de moi », avait-il déclaré, m'abandonnant malade et seule sur cette route sombre. C'était la neuvième fois que Marc choisissait son ex-petite amie plutôt que moi, sa femme. Le « neuvième adieu » d'un pari cruel orchestré par Inès il y a des années : « Neuf fois, Élise. Neuf. Et après, tu t'en vas. » Chaque incident était une blessure plus profonde : le dîner de notre anniversaire, mon opération d'urgence, l'enterrement de ma grand-mère. Je n'étais que son pansement, son « lot de consolation », un pion dans leur jeu tordu. Quelques jours plus tard, après qu'un accident d'ascenseur m'a laissée brisée et hospitalisée, Marc berçait Inès, sa terreur n'étant que pour elle. Je l'ai enfin vu avec une clarté glaçante : il ne m'avait jamais vraiment aimée. Mon mariage était un mensonge méticuleusement conçu, orchestré par Inès depuis l'université. Mon amour pour lui, cet espoir stupide et tenace, s'était finalement vidé, ne laissant qu'un vide douloureux. Mais le jeu était terminé. J'avais déjà signé les papiers du divorce qu'il avait négligemment oubliés, prête pour ma liberté. Quand Inès a plus tard tendu un piège vicieux pour m'humilier publiquement, m'accusant d'agression, un mystérieux inconnu est intervenu, changeant tout. C'était la fin d'un cauchemar, et le début de ma vraie vie.
En public, elle était la secrétaire de direction du PDG. En privé, elle était l'épouse qu'il n'avait jamais officiellement reconnue. Lorsqu'elle a appris qu'elle était enceinte, Jenessa était folle de joie. Mais cette joie a cédé la place à la peur lorsque son mari, Ryan, a ravivé la flamme avec son premier amour. Le cœur lourd, elle a choisi de le libérer et de partir. Lorsqu'ils se sont revus, l'attention de Ryan a été attirée par le ventre proéminent de Jenessa. « Tu portes le bébé de qui ? » a-t-il demandé. Mais elle s'est contentée de se moquer. « Ça ne te regarde pas, mon cher ex-mari ! »
Après deux ans de mariage, Sadie était enfin enceinte. Pleine d'espoir et de joie, elle a été prise au dépourvu lorsque Noah a demandé le divorce. Lors d'un meurtre prémédité, Sadie s'est retrouvée allongée dans une mare de sang, appelant désespérément Noah pour lui demander de la sauver, elle et le bébé. Mais ses appels sont restés sans réponse. Bouleversée par la trahison de Noah, elle a quitté le pays. Le temps passe et Sadie est sur le point de se marier pour la deuxième fois. Noah surgit, frénétique, et s'agenouille. « Comment oses-tu épouser quelqu'un d'autre après avoir mis au monde mon enfant ? »
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