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SACRIFICES POUR CEUX QU'ON AIME

SACRIFICES POUR CEUX QU'ON AIME

Auteur: Ma Plume
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Chapitre 1 CHAPITRE 1

Nombre de mots : 1352    |    Mis à jour : 25/11/2025

e des songes. Ces nuits-là se répétaient, toujours la même scène - une chambre à la lumière tamisée, une silhouette masculine dont les traits demeuraient à chaque fois flous, comme taillés dans l'omb

ue vorace qui consumait ses doutes et empl

oue la ramena à la réalité : quelqu'un l'avait réveillée. « Q-Que faites-vous toutes les deux ? » balbutia-t-elle, le cœur encore battant comme un tambour. Les silhouettes rassurées de sa belle-mère, Candace Dannings, et de sa demi-s

u es enceinte. À dix-huit ans. Imagine la honte. » Les mots frappèrent Gwendolyn comme des coups. Elle secoua la tête, répétant leur impossibilité, sentant la terr

'elle avait été droguée. Sa voix se perça enfin, tremblante mais furieuse : « C'est vous ? Vous m'avez empoisonnée pour me faire passer pour ce que je ne suis pas ? » Felicia rit, un bruit sec qui ressemblai

. Deux gardes, imposants et impassibles, la maîtrisèrent. L'odeur du cuir et de la sueur de la lutte emplissait la pièce, mais la rage de Gwendolyn n'en f

ta une pointe de cruauté : « Il t'a promis le mariage si tu tombais enceinte. Il s'est enfui. Tu n'es bonne qu'à être roulée dans la boue. » Les mots étaient des lames. Gwendolyn rugit, tenta

t, le monde se teinta de rouge. Les sens de Gwendolyn se brouillèrent ; des images furtives traversèrent son esprit - la bague, la voix, l'étreinte - mêlées à la froideur d'un sol qui se rapprochait. Elle sentit le

assez-vous de son corps. » Mais la nuit qui suivit - si la nuit suivit - ne fut pas celle d'un enterrement définitif. Le monde bascula, et sous la douleur, Gwendolyn percevait une détermination qui se formait comme une armure. Son cor

ait offert une bague imaginaire ? Ou bien n'était-ce là qu'un fil fragile, un confort dérisoire dans l'abîme ? La chambre où l'on avait essayé de l'enterrer contenait des témoins silencieux : le cliquetis des bijoux, la poussière d'un passé riche, et la respiration lente

ésistance, consciente qu'elle n'était jamais tout à fait la bienvenue. La trahison qu'elle venait de subir fit naître en elle une détermination farouche. La bague, même si elle semblait née d'un rêve, pouvait être le fil d'une machin

onge, stratégie, séduction - pour retourner la situation à son avantage. Elle n'accepterait plus d'être manipulée. Et si l'homme des rêves existait vraiment, il trouverait désormais une femme qui n'était plus victime m

nche serait douce, méthodique et inél

s plus

Avenport. Il était presque vingt-deux heures. Le moteur toussait à chaque virage, mais elle n'av

du gardien. « Hé ! Vous ne pouvez pas stationner là ! » hurla-t-il, mais Gwendolyn n'entendait plus rien. Pieds nus,

auvez ma fille ! » cria-t-elle, la voix brisée par la panique. Un médecin surgit aussitôt, prit l'enfant dans ses bras

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